Vendredi 30 mars 5 30 /03 /Mars 06:23

Dure semaine pour maman!

Avec  les fessées de papa trois soirs de suites, ses grosses fesses n'ont plus le temps de reprendre leur couleur blanche.

Ce matin, elle n'a pas pu aller travailler. J'ai téléphonné à son paton pour l'avertir. Il n'est pas content mais bon! tout le monde a le droit d'être malade que ce soit de la tête ou du cul.

Je monte l'avertir que son patron accepte un jour d'absence mais qu'elle doit impérativement reprendre le travail demain.Elle n'est pas dans sa chambre. le bruit de la douche m'indique non seulement où elle est mais surtout dans quelle tenue! J'attends silencieusement la fin de ses ablutions en me remémorant la soirée d'hier. c'est devenu une habitude pour papa de la fesser toute nue même si Christine ou moi sommes présents, pourtant je ne me lasse pas de regarder.

La douche s'est arrètée, maman est donc sortie de la cabine et doit s'essuyer, nue devant la porte. Sans frapper, j'entre dans la salle de bain. j'ai bien calculé mon coup! Elle enroule la serviette en turban pour eponger ses cheveux. Rien sous la main pour se cacher. Elle me tourne le dos et n'a pas remarqué tout de suite mon entrée indiscrète.

 

Les fesses sont toujours marquées. De profondes lignes sombres zèbrent le cul maternel. Le dos et les cuisses sont dans le même état et, bien que je ne les vois pas, je sais que le ventre et les seins n'ont pas été épargnés non plus.

 

-Sors d'ici tout de suite!

-pourquoi? je t'ai déjà vue toute nue

-Ce n'est pas parceque ton père te laisse assister à nos disputes que tu peux venir te rincer l'oeil sur moi. Je ne suis pas ta petite amie!

- Ma copine n'a pas un si gros cul que toi!

 

Maman se retourne pour me giffler, mais malgré l'exiguité de la salle de bain je n'ai aucun mal à esquiver sa main. Ce raté la met hors d'elle. Elle en oublie de cacher son minou, ce qui me laisse froid, c'est son cul que j'aime regarder;

 

-Si tu ne sors pas immédiatement, tu vas te prendre la plus belle fessée de ta vie 17 ans ou pas!

- Tu ne pourras jamais m'attraper, ça ne me fait pas peur!

 

Depuis la visite de son amie Andrée et la perte de mon pucelage qui en a suivi, j'ai pris plus d'assurance. Je suis devenu bien plus insolent et ce n'est pas la première fois que je réponds d'une façon qui, il y a moins d'un an, aurait vallu un fameux changement de couleur à mon postérieur.

 

-La correction que papa t'a donnée hier, tu l'avais méritée. A cause de toi, l'ambiance du diner est pourrie depuis le début de la semaine.

- tu crois que je n'ai pas vu ton sourire quand ton pere a baissé ma culotte? Alors ne viens pas me dire que je pourris l'ambiance, tu es bien trop content du spectacle que je donne involontairement.

-De toute façon, tu aimes montrer ton cul si j'en crois ce que papa a dit hier, alors pourquoi pas à moi?

-Parceque je suis ta mère et que tu n'as pas à me regarder toute nue!

-Je regarde si je veux; et si ça t'ennuye de me montrer tes seins et ta chatte poilue, retourne toi.

 

La discution s'enfle de plus en plus. maman est rouge de colère, bien plus que de honte. Une seconde tentative de me giffler rate sa cible. Cette fois,les ongles ont effleuré ma joue. Déséquilibrée par son mouvement, maman s'est rattrapée à mon peignoir qui s'ouvre en grand. Je n'ai pas de pyjama. Je dors nu depuis quelques temps.

 

- Essayes encore de me frapper une fois, et je complète la fessée que papa t'a donnée!

-......

 

Maman en reste sans voix. Moi-même n'ose croire que j'ai osé menacer ma mère d'une fessée. Mais c'est trop tard, les mots sont sortis et il n'est pas question que je me rétracte.Je la défie du regard. Petit à petit, elle baisse les yeux. J'ai gagné! Il faut pourtant que je reprenne l'initiative:

 

-Je pourrais dire à papa , ce soir, que je t'ai vue avec ton amant au super marché.

-Mais.....c'est un mensonge!

- Qui penses tu que papa croira?

-Ne fais pas celà, s'il te plait. Ton père me tuerait!

-Te tuer? non, mais ton gros cul rouge décorerait de nouveau le salon  plusieurs jours de suite. je trouve d'ailleur qu'il a pâli depuis hier soir, ses couleurs ont bien besoin d'être ravivées.

 

j'ai été trop confiant. Je pensais que ma dernière vanne l'avait brisée. Avant de me rendre compte de ce qu'il m'arrivait, elle s'est assise sur le bord de la beignoire et m'a basculé en travers de ses cuisses. Une main a écarté mon peignoir déjà ouvert et l'autre donne à mon cul la couleur que je prétendais donner au sien. Une courte pause dans la fessée, trop courte pour ue je puisse réagir. La serviette qui épongeait ses cheveux est venue armer la main vengeresse. Le lourd tissus mouillé me cingle des cuisses jusqu'au milieu du dos , insistant particulièrement sur la partie charnue de mon individu. je réalise que je suis plus habillé qu'elle ce qui est le monde a l'envers dans le domaine de la fessée. Au rythme des coups, mes attributs cognent contre ses cuisses nues, à quelques cm de son minou; et, bien sur, l'effet est quasi immédiat. Elle a du le sentir et celà l'a perturbée car la main qui me maintenait fermement se relache. En 10 minutes de fessées mon derrière me brûle et ma colère monte en moi aussi vite que mon sexe se dresse.Je profite de son hésitation pour échapper à son emprise. Je suis campé devant elle sans m'occuper de mon indécence. Je lui arrache des mains la serviette humide.

 

- tu vas regretter ce que tu viens de me faire. Papa va t'arracher la peau du cul dès ce soir!

-Non! ne dis rien s'il te plait. je...je préfère.........

-Quoi? que préfères tu?

- tout, plutot que de subir ce que ton père me ferait si il devait douter de ma fidèlité.

- Vraiment tout?

-O....oui

-Alors lève toi et penche toi sur le lavabo!

-Ne sois pas trop sévère, il ne faut pas que ton père voit les marques!

-IL ne fera pas la différence entre celles qu'il ta infligées hier soir et celles de ce matin.

 

Soumise, maman prend la position que je lui ordonne. je palpe le gros cul tendu vers moi. Puis, un bout de la serviette enroulé autour de ma main, je taquine ses fesses de l'autre bout. Maman frissonne et je doute que ce soit de froid. elle se contracte ce qui augmente les capitons qui décorent son gros derrière. Sans un mot, je lève le bras au dessus de ma tête et abats la serviette.L'extrémité trempée claque sur la peau. un cri m'apprend que j'ai visé et dosé juste. C'est une pluie incessante de coup qui redonne au cul maternel la couleur qu'il avait hier soir quand papa l'a laissée au salon. Le martinet improvisé a la bonne longueur pour couvrir à chaque fois toute la largeur. je ne m'occupe ni des cuisses ni du dos. juste les fesses.

 

Je ne sais pas combien de fois j'ai lévé et abaissé le bras. Je suis essouflé, en nage, épuisé. fesser ma mère n'a pas calmé mon érection, bien au contraire.je laisse tomber la serviette sur le carrelage et, des deux mains, malaxe les enormes globes rouge vif.Je passe les doigts entre eux, les écarte, me régale de la vue du trou plissé.J'avance un peu plus la main.

 

-Mais tu es trempée!!!!!!!!!!!

 

Maman n'ose ni répondre ni bouger. Je comprends pourquoi elle se plie si docilement aux exigences punitives de papa. Elle est au bord de l'orgasme et en bon fils, je ne peux pas la laisser dans cet état.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : A mon tour de fesser - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 06:10

-Bonjour, Michel, dis à ta maman que je suis arrivée

-Mais, elle n'et pas là, elle travaille!

- Oh! et à quelle heure rentre-t'elle?

-vers 17 heures 30.

-Tu es seul à la maison?

-Oui, papa ne rentre que tard ce soir et Christine est chez nos grands-parents.

-C'est ennuyeux, je dois parler à ta maman, elle a un double de mes clés et j'ai oublié les miennes ce matin. Tu m'offres l'hospitalité jusqu'à ce qu'elle rentre?

 

Sans réfléchir, je m'écarte de la porte et laisse entrer cette femme qui m'a toujours intimidé. Seul chez moi depuis le matin, je n'ai pas pris beaucoup de soin à ma tenue, un slip, un short et un t shirt sont bien suffisant en ce mois de septembre très chaud.

Arrivé dans le salon, je rougis jusqu'au cheveux. Ne pensant pas que l'importun qui m'avait dérangé entrerait, j'ai laissé la revue  gay que je lisais sur la table. Je tente maladroitement de contourné Andrée pour subtiliser discrètement la preuve de mon inconduite, mais elle est plus rapide que moi. Elle s'assied dans un fauteuil bas, et attrape la revue qu'elle feuillette illico.

 

-Et bien! c'est du propre! Je doute que tes parents sachent le genre de lecture qui t'occupe en leur absence.

-..........

 

Je baisse la tête et bredouile une vague histoire de revue oublée par un copain ce matin. je vois bien qu'elle ne me croit pas un seul instant. Son sourire montre assez qu'elle se moque de moi en me laissant me dépétrer dans mes explications fallatieuses.

 

-Il fait chaud, sers moi un verre.

-Que voulez vous boire? eau, bière, vin?

-Un verre de vin me conviendrait mais ne me laisse pas boire seule. Ce n'est pas poli

- Je vous apporte celà de suite. laissez moi vous débarasser de cette revue, je vais la rangé pour la rendre à mon copain demain.

-Non. Apporte le vin et les verres, j'ai envie de lire aussi.

 

Quand je reviens de la cuisine avec les boissons, Andrée est toujours occupée à lire. Elle lève la tête, m'invite à m'asseoir en face d'elle et commence à déguster son vin d'une bouche gourmande.

 

-Je ne comprends pas comment celà peut être possible!

-Quoi donc?

-Il y a tant de femmes Célibataire ou veuves ( elle est divorcée depuis des années) et ces beaux jeunes hommes qui font l'amour entre eux c'est honteux!

 

je ne sais que répondre. Il y a bientot deux ans que son fils me défonce la rondelle sans pour autant être homo.. En l'écoutant, je la détaille un peu. elle a mis comme toujours une minijupe qui dévoile largement ses cuisses musclées. Sa position dans le fauteuil bas accentue encore le peu de longueur de son vetement et elle semble ne pas le remarquer. Ses seins, libre de tout soutien gorge, sont etroitement moulés par son chemisier. Elle a ouvert sa veste et quand elle lève son verre, je devine la tache plus sombre de ses aréoles. comme si je n'étais pas là, elle croise soudain les jambes si haut que sa culotte rose me fait un clin d'oeil. Je détourne le regard un instant, mais hypnotisé par ce bout de tissus, mes yeux reviennent d'eux mêmes sur son antre secret.

 

-As tu fini de regarder mes cuisses?

-Euh, je ne regardais pas.

-Ne me prends pas pour une idiote j'ai bien suivi ton regard. A ton age tu as quand même déjà vu des jambes de femmes? a moins que tu ne sois plus attiré par celle des hommes?

-mais non , Andrée, je vous assure que je ne regardais pas vos cuisses. Et oui j'ai déjà vu des femmes nues.

- en vrai? ou en photo?

-euh.... en vrai

-Combien? ne me ments pas!

- 3

-des femmes que je connais?

-C'est possible, je ne sais pas

 Une fois de plus j'ai du rougir comme une pivoine en commettant ce mensonge. mais comment lui dire que ces trois femmes sont sa fille, ma soeur et maman?

 

-Et...... ça t'a plu?

-o..oui!

- Des gamines de ton age je supose?

-Et une femme plus agée aussi.

- De quel age? vieille, ou de l'age de ta maman ou du mien?

- De.... l'age de... maman

- Mince, grosse? Toute nue ou juste en petite tenue?

- Vous me gènez!

-allons, ne sois pas si troublé nous sommes entre adultes. Dis moi tout, je le veux.

- Ben... toute nue et grosse.

-Grosse comme ta maman?

-oui

 

Elle replonge dans la lecture de ma revue quelques minutes puis recommence son interrogatoire

 

-Dis moi, As tu déjà fouillé dans la lingerie de ta maman?

-...........

-Allez ne sois pas si timide, tout les garçons le font. J' ai surpris plus d'une fois Jean le nez plongé dans mes petites culottes, et pas seulement les propres.

 

Elle éclate de rire en me regardant droit dans les yeux. Ses jambes sont encore plus croisées qu'au début de notre discution. Ce n'est plus un bout de tissus que je vois mais sa culotte entière y compris quelques poils indiscrets qui s'en échappent.

 

-oui j'ai deja ete dans sa commode

- as tu mis une de ses culottes?

-oui mais elles sont trop grandes pour moi.

-arrete de regarder la mienne, tu es indiscret

-je ne regardais pas

-menteur, si tu continues, tu sais bien que je t'ai déjà donné la fessée et je pourrais recommencer!

- je suis adulte maintenant, je n'ai plus a la recevoir!

-tu veux parier?

 

Son ton, à mi chemin entre le rire et la sévérité me secoue brusquement. je ne sais plus que penser. cette femme de l'age de maman me parle de ses dessous et de me déculotter à 17 ans. l'effet est immédiat. Si je suis resté calme en regardant sa culotte, l'idée d'être à nouveau cul nu sur ses genoux gonfle mon short.je pose les mains sur mon ventre pour lui cacher mon impudeur.

 

-Alors? tu n'oses plus rien dire! Tu as peur pour tes petites fesses? Pas si petites que cela d'ailleur je me souviens que tu en as de bien dodues.

-Vas me remplir mon verre stp, il fait chaud, j'ai soif.

 

J'emporte les verres vides à la cuisine pour les remplir, tout en prenant bien garde de ne pas lui faire face. Je ne bois jamais et le vin me tourne un peu la tête.Quand je retourne au salon, mon sexe s'est remis en repos mais je n'ose plus regarder Andrée dans les yeux

 

- merci. tu n'as toujours pas répondu à ma question!

-Laquele?

-Penses tu que je ne pourrais plus te donner une bonne fessée sur ton cul nu?

-Je n'ai rien fait pour en mériter une

-oui tu t'es rincé l'oeil sur ma culotte et celà t'a fait bander cochon!

- Si vous ne vouliez pas que je la vois, il ne fallait pas me la montrer, alors je ne sais pas lequel de nous deux mérite d'être fessé.

 

Je n'en reviens pas d'avoir osé de tels mots! Ca doit être le vin, A peine prononcées je regrette mes paroles. je ne sais plus où me mettre.Andrée se joue de moi. Elle prend un air sévère que dément le ton de sa voix. Ses cuisses ne sont plus croisées. Ele est assise bien droite dans le fauteuil, comme l'était mon institutrice derrière son bureau.

 

-De toute façon, quand je dirai à ton papa le genre de lecture qui est la tienne, je suis certaine que malgré tes 17 ans, ton cul vas rougir et même saigner!

-Vous... vous n'allez pas faire celà????

-Et pourquoi pas? Je n'ai pas cru un seul instant à ton histoire de revue oubliée par un copain. Et puis tu la lisais tu as donc une attirence pour les hommes et celà, ton papa ne le supportera pas.

- S'il vous plait ne lui dites rien

-A toi de choisir. Ou ton pere ou moi. Mais l'un de nous te fessera aujourd'hui!

 

Ayant plus d'une fois vu l'état des fesses de maman après une correction, mon choix est vite fait. Mieux vaut la main de cette femme que le fouet de mon père.

 

-Tu as fait ton choix?

-S'il faut passer par là, autant que ce soit vous.

-Et bien viens ici, baisse short et slip et mets toi en position!

 

Mi appeuré, mi excité par la situation, je m'apporche d'elle et timidement fais glisser mon short sur mes genoux.Sans un mot, elle me fait signe de l'enlever completement, puis de faire suivre mon slip qui est de nouveau gonflé. Je me sens ridicule ainsi vêtu de mon seul t shirt. J'ai  beau le tiré sur mes cuisses, il n'est pas assez long pour cacher quoi que ce soit. D'un claquement de doigt, elle m'intime l'ordre de me positionner comme un gamin sur ses cuisses qu'elle a découvertes. Je suis encore face à elle. j'ai un hoquet de surpise en constatant que pendant mon court séjour dans la cuisine, elle a oté sa culotte. j'obeis sans le moindre commentaire,la tête remplie de questions sur les motivations réelles de la meilleure amie de maman. je passe sur le coté du siège et me place comme elle l'exige.

 

-Que penses tu de 50 claques sur chacune de tes fesses? Est ce suffisant pour te punir de ta curiosité?

-oui...... largement

- demande le moi alors!

-?????????

-Demande moi de te fesser et n'oublie pas de préciser le nombre de claque et la raison de la punition

-voulez vous me donner 50 claque sur chaque fesse pour avoir oser regarder votre culotte?

-Et combien estimes tu en mériter pour avoir osé bander devant moi?

-les 100 claques sont pour solde de tout compte s'il vous plait.

-Ca je verrai suivant ton comportement

 

A peine a -t'elle achevé de parler que la première claque tombe. elle n'est pas très forte mais je la sens bien quand même.

comme la première fois qu'elle m'a fessé, elle prend tout son temps. Elle sait que personne ne nous dérangera avant deux bonnes heures. Andrée fait coincider les coups avec le tic tac de l'horloge du salon. Enfin le tic pas le tac car c'est a raison d'une claque toute les deux secondes que je reçois ma punition.Dès la 40ème je suis pres de jouir. elle doit bien remarquer l'état de mon sexe coincé entre ses cuisses nues, a quelques cm de son minou nu également. Elle marque une pause. Mon excitation retombe un peu.Quand elle reprend c'est par série de 10 avec à chaque fois un arrêt qui m'évite de lui maculer les jambes. mes mouvements, combinés aux siens ont remonté sa jupe jusque sous son ventre, et, quand je me redresse fessée terminée, j'ai une vue complète de son intimité qu'elle ne tente pas le moins du monde de me cacher.

 

-as tu eu très mal?

-assez oui mais c'était supportable

- te voilà ou plutot NOUS voilà dans un bel état!

-Je suis désolé je ne peux pas contôler celà.

-Peut-être pas, mais tu peux y remédier.

-Que voulez vous dire?

-Ne fais pas l'innocent! tu as bien compris ce que je veux. et ce sera bien mieux que de te branler en regardant des hommes nus, aussi beaux soient ils.

 

Elle s'est levée. Elle me tire par la main vers le canapé sur lequel elle s'étend.Sans me lacher, elle dégraffe sa jupe, soulève les fesses et la descend jusqu'à ses chevilles. Un coup de pied envoit le vêtement sur le sol. toujours d'une main, elle déboutonne son chemisier qu'elle écarte me dévoilant en plus ses petits seins fermes et nus.Cuisses grandes ouvertes, sans un mot, elle m'attire sur elle.

La vue de cette femme toute nue, offerte a un effet desastreux sur ma libido. Aussi vite il s'était dressé, aussi vite, mon sexe ramollit et retombe.

Andrée est furieuse et déçue:

-Quoi! je ne te plais pas?

-C'est que.......

-Ne me dis pas que tu es puceau!

-oui, je n'ai jamais couché avec une femme.

-tu ne l'as quand même pas fait avec des hommes???????

-Jusqu'ici, oui, seulement avec des garçons, et ce n'était pas moi qui était actif!

-tu es un enculé? Il n'y a que la fessée ou l'intromission d'un sexe dans ton cul qui te fait bander?

-.........

Je suis mort de honte, prèt à pleurer comme un gosse. Voir le cul de maman me fait duricir comme une bète, et là, alors que j'ai une femme offerte à portée de ma queue, je n'éprouve aucune envie.

M'ayant ordonné de rester à genoux, sans bouger, au pieds du canapé, Andrée se dirige vers la cuisine et en reviens avec la bouteille de vin qu'elle vide dans nos verres.

-Puisque c'est celà qu'il te faut!!

 

Avant d'avoir pu escuissé le moindre geste, je me retouve avec le goulot de la bouteille enfoncé profondément dans le derrière. Mon sexe s'est redressé aussitot. Andrée se recouche sur le canapé et, sans lacher le gode improvisé, m'attire à nouveau sur elle.Dès que je suis sur son ventre, elle glisse sa main libre entre nous et me guide en elle. C'est un double cri qui ponctue la perte de mon pucelage "avant". La main de ma maitresse court sur mon cul, le pinçant, le gifflant de plus en plus fort au fur et à mesure que son plaisir monte. L'autre main active la bouteille en moi et très vite j'innonde pour la première fois l'intérieur d'un minou. Elle ne me lache pas pour autant, me force à continuer de m'activer en elle jusquà ce qu'à son tour elle me crie son orgasme.

 

 Nous restons nus tout les deux un long moment. Elle me serre dans ses bras, me berce comme un bébé, ma tête sur ses nichons. Quand enfin, elle reprend ses esprit c'est pour m'ordonner:

 

-nettoye moi maintenant, avec ta langue

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : la fessée pour le plaisir
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Mardi 27 mars 2 27 /03 /Mars 06:17

Aurelie et Jean passent la journée avec nous, Andrée, leur maman, les a conduits et parle un peu avec ma soeur avant de prendre congé de de nous laisser. Mon ami a apporté un trivial pursuite.Nous nous installons autour de la table du salon.

C'est Aurelie qui dicte les règles:

 

- Chaque joueur n'aura que 4 vetements sur lui. Chaque fois qu'un joueur gagne un "fromage", il désigne un autre qui doit oter un  vetement. le premier tout nu a perdu, le premier au centre a gané. Le second décidera du gage que le perdant devra au gagnant.

 

les filles optent pour une jupe et un pull sur leur culotte et soutien gorge, Jean et moi choisissons short, t shirt et sweat par dessus notre slip.

Très vite il est évident que les filles s'acharnent sur moi. Après moins d'une demi-heure de jeu je suis en slip alors que les filles n'ont encore oté que leur pull.Je ne me fais pas d'hillusion sur mon sort. La chance tourne enfin. Coup sur coup, je gagne 2 "fromages" et Christine doit exhiber sa petite culotte qui a bien du mal à cacher ses grosses fesses. Quand Jean gagne un coup à son tour, un ouf de soulagement s'échappe de la bouche de ma soeur. Je me prépare déjà à baisser mon dernier vêtement quand, à notre grande surprise:

 

-Aurélie, retire ta jupe!

 

Avec un sourire un peu jaune, notre amie nous dévoile une petite culotte si fine que nous n'avons aucun mal à remarquer qu'elle se rase le minou. Christine arrive sur une case d'intersection. je serre les fesses. Trop pressée de me faire perdre, ma soeur répond à la question de sa copine précipitament et........ se trompe. le jeu continue un moment sans qu'aucun de nous n'arrive a s'immobiliser sur une bonne case. Brusquement tout change. Aurelie fait, par vengence, oter son short à son frère, ce dernier gagne le soutien gorge de sa soeur, et j'arrive à mon dernier "fromage": Question de sport! Je ne suis pas très au courant dans ce domène et je crains le pire.

 

Comment s'appelle la course de ski en Norvège.......

 

Je n'entends même pas le reste de la question. La semaine dernière en attendant mon tour chez le medecin j'ai justement lu un reportage sur ce sujet

 

-La... la  va...vassalopette!!!!

-Oui , c'est la bonne réponse

 

J'ai très envie de faire retirer son soutien à Aurélie mais je préfère m'assurer de n'être pas le perdant et c'est Christine qui se retrouve nue. Elle ne peut baisser sa culotte sans se lever ce qui offre à jean une bonne vision de la touffe de poils brun qui décore la chatte de ma soeur. L e slip de mon ami est gonflé.

Je ne suis pas encore certain ni de gagner ni de ne pas êrtre le perdant, il faut encore que j'arrive à la case finale.

Successivement, la culotte d'Aurelie, mon slip puis celui de jean rejoignent le tas de vêtements. Nous sommes tous à poils!

La chance reste avec moi et au premier essais, j'installe mon pion au centre, avec en plus une question de musique à laquelle je n'ai aucune difficulté à répondre. j'ai gagné! En deux tour, Jean me rejoint au centre. La lutte entre les filles se poursuit un cour moment. Aurélie gagne le dernier duel. Christine a perdu!

 

-Jean, quel sera le gage de ma soeur?

- Tu as été fessé tant de fois devant et par moi, j'aimerais te voir dans l'autre rôle

-NNNNNNNOOOOONNNN! pas ça.

 

Ma soeur n"a pu se retenir de crier son désaccord, mais les règles avaient été acceptée et elle ne peut s'y soustraire.

Je me lève du canapé et m'installe sur une chaise que j'ai placée au milieu du salon. Bien que nous l'ayons tous vue, Chrisitine  cache sa chatte de ses mains en s'apporchant, tête basse, de moi.

 

- Couchée en travers de mes genoux comme une gamine, ça vous convient?

-Oui, le cul bien tendu

- Tu vas avoir du travail pour rougir de si grosses fesses!

 

Les remarques et les rires de nos amis font rougir ma soeur jusqu'au cheveux. Mais, bonne joueuse en fin de compte, elle se place comme ordonné, le cul tourné vers le canapé.

Jean bande comme un cochon, sa soeur a déjà la main sur son minou, et Chrisitine ne peut pas ne pas sentir sous son ventre que moi aussi je suis terriblement excité.

 

-vas-y, 50 claques bien fermes

- sur chaques fesses!

 

Le verdict est tombé. En tant que bourreau, je n'ai d'autres choix que d'obéir. je malaxe un peu le gros cul puis commence à coups espacés à le faire rougir. Chrisitine crie bien que j'estime n'avoir pas frappé très fort. Pris par l'excitation, je durcis mes claques. C'est la première fois de ma vie que je donne une fessée. Les autres comptent en riant: 20,21,22,21,22,23,22,23..... je ne me suis pas appercu de suite qu'ils trichaient mais je n'ai pas l'intention de le leur faire remarquer. Le cul prend une belle couleur brique et les cris de ma soeur se sont transformés en gémissements. Jean se branle sans vergogne et sa soeur s'est entré deux doigts dans le minou. l'un à coté de l'autre, il m'offre un spectacle aussi agréable que celui des grosses fesses sous ma main.

 

Plus personne ne compte.même pas Chrisitine. son cul est uniformément rouge. je ne vois même pas de trace de mes doigts. jean se lève et, toujours en s'astiquant le membre, s'approche de moi. je sais qu'il va jouir, je connais bien son regard vitreux quand sa sève est prète à jaïr. En effet, à peine est il à 50 cm du cul de ma soeur qu'il éjacule. Son sperme macule les fesses rouges, coulant sur et entre elles. J'en barbouille la raie culière lorsque je sens, sur ma cuisse, un liquide bien plus abondant s'écouler. Ma soeur a fait pipi sur moi!!!!!!!!!

Par fesseessurprises - Publié dans : A mon tour de fesser - Communauté : la fessée pour le plaisir
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 06:09

Depuis plus d'un an, les fessees sont de retour dans ma vie. Seules les orties de cette salope de Ginette n'ont plus été utilisées. Christine en reçoit de moins en moins pour la bonne raison que je les prends souvent à sa place. Papa parle ouvertement devant nous de celles qu'il inflige à maman, mais, avant de passer à l'acte il nous envoit toujours, ma soeur et moi, dans notre chambre.

Ma jeune vie sexuelle a pris l'orientation gay. Même si j'aime bien voir une fille nue, je suis toujours puceau mais loin d'être vierge du derrière. Marc, puis Jean, puis d'autres copains ou freres de copines de Christine ont visité et se sont épanchés abondament dans mon cul.

 

Ce soir, l'ambiance est lourde comme du plomb à la maison. Le diner s'est passé dans un silence impressionant. Maman a les yeux aussi rouge que mes fesses. Elle pleure depuis son retour du jardin où elle a du avoir une discution orageuse avec papa. Christine et moi nous lançons des regards en cachette. Nous savons ce que cette athmosphère signifie. Il fait chaud en cette fin aôut et c'est   avec une presque parfaite coordination que l'orage éclate aussi bien à l'extérieur qu'au salon.

 

-Cesse de pleurnicher, il fallait réfléchir avant!

 n'osant regarder son mari dans les yeux, maman balbutie une excuse:

- Je ne l'ai pas fait expres, c'est un hazard.

- C'est un hazard si tu es allée justement aujourd'hui dans ce magazin où tu ne mets jamais les pieds et justement au moment où lui aussi y était? tu te moques de moi en plus!

-chéri je te jure...

-Arrete de me mentir! Quel bel exemple tu donnes à nos enfants!

-Ils n'étaient pas là, ils ne savent rien

- Si je l'ai su le jour même, ils ne tarderont pas à le savoir aussi et j'aime autant que ce soit par moi que par un étranger qu'ils l'apprennent.

- Je t'assure qu'il ne s'est rien passé

-Menteuse! Non seulement tu me trompes mais tu me prends pour un imbécile?

-..................

Dans le jardin, les éclairs et le martellement de la pluie marquent chaques phrases échangées par nos parents. Maman est en larmes, j'ai de la peine pour elle et c'est avec apréhension que j'attends l'ordre de papa de rejoindre ma chambre. Je n'ai jamais vu mon géniteur aussi rouge de colère.

 

Papa la pousse au bout de son mensonge, elle s'embrouille dans ses excuses, se contredit, bafouille, elle fini par se lever et tente de sortir du salon mais papa l'attrape par le poignet et lui fait faire volte face.

 

-Reste ici. Je n'en ai pas fini avec toi. Tu vas payer par où tu as pèché.

 

Il ne nous regarde pas. A-t'il oublié notre présence? Chrisitine et moi nous faisons tout petits ce qui est un exploit en considération du fait qu'en un an j'ai poussé comme une mauvaise herbe et que ma soeur a développé une paire de fesses et une poitrine semblables, maintenant à celles de maman.

Perdu dans mes pensées, je sursaute lorsque l'ordre claque comme le tonnerre.

-retire ta jupe et ta culotte

-Chéri!!!!!!!

-Ne discute pas

-mais...... les enfants!

-Quoi les enfants? Si tu montre ton gros cul à un étranger, ils peuvent bien le voir eux aussi

-Non, pas ça, s'il te plait. C'est déjà bien assez qu'ils sachent

-Oui ils savent que je te fesse quand tu le mérites, oui ils savent qu'une faute doit être punie à n'importe quel age, et alors?

- Je ne peux quand même pas me déculotter devant eux!

- Il y avait du  monde dans le magazin quand tu as embrassé à pleine bouche ton amant, alors estime toi heureuse qu'il n'y ait que Christine et Michel qui voient ton gros cul rougir ce soir

-Non, je n'accepterai jamais de me montrer nue à mon fils!

-Il a presque 16 ans, ce ne sera pas le premier cul qu'il verra. Fin de discution, retire jupe et culotte ou je te les arrache de force.

 

Eclatant en sanglot, maman fini par céder. Elle nous tourne le dos et dégraffe sa jupe qui tombe sur le carrelage. Elle a une jolie culotte fleurie qui lui moule les fesses.

 

- la culotte aussi ais-je dit!

 

Elle a tout le mal du monde à obéir. Ses mains sont posées sur l'élastique mais elle ne se résout pas à baisser le dernier rempart de sa pudeur.Cette hésitation met papa hors de lui. Brutalement il tire sur le chemisier faisant voler quelques boutons,et l'envoit rejoindre la jupe. Puis, avec ce qui me semble être un sourire sadique, fait subir le même sort à la culotte. L'élastique n'a pas résisté. C'est un chiffon déchiré que papa jette loin de lui.Maman a plaqué ses mains sur son derrière. Geste bien inutile, les fesses sont si grosses que les doigts grassouillets n'en cachent pas le quart.

 

- Penche toi, pose les mains sur a table, tends ton cul, ecarte les cuisses.

 

Les ordres tombent sechement papa si distingué d'habitude, semble prendre un malin plaisir à utiliser un langage de charretier.maman est complètement vaincue, elle obeit comme une automate sans plus se soucier de nous qui ne perdons pas une miette du spectacle. Comme l'année dernière, papa s'est placé de coté. Est-ce pour mieux battre le cul de maman ou pour mieux nous le montrer je ne le saurai jamais. la fessée commence par des claques sonores. Chaque fois que la main paternelle quitte le fessier, elle laisse sa signature en rouge sur la blancheur du cul.Je compte 100 claques plus ou moins espacées, plus ou moins rapides suivant l'envie de papa. Maman ne crie pas mais je comprends aux mouvements convulsifs de son dos qu'elle sanglotte silencieusement.

 

Tout comme lorsque Christine et moi étions cachés sur la mezzanine, papa délaisse les grosses fesses ecarlates pour aller fouiller dans un tiroir de son secrétaire. Il en revient avec le martinet que je ne connais que trop bien, mais aussi avec une regle carrée de 50 cm de long. Quand il pose la règle sur la table, à coté des mains de maman, celle-ci sursaute violement.

 

- Non, pas ça! tu sais que je ne la supporte pas.

-Tais toi, ce n'est pas te donner du plaisir que je veux faire

 

Le martinet s'abbat sur le dos tendu, juste sous l'attache du soutien gorge.De surprise , maman a crié cettte fois. Se ravisant soudain, papa cale le manche du martinet sous son bras et s'applique à dégraffer le dernier vêtement de maman qui va rejoindre les autres.  papa se recule un peu et reprend la correction. Cette fois, c'est à hauteur des épaules que les lanières mordent. Il fouette systématiquement, posément; chaque coup est un peu plus bas que le précédent.

 

j'ai placé mes mains sur ma braguette pour cacher la bosse qui s'y est formée dès l'apparition du gros cul maternel. chrisitine se penche sur mon oreille et me chuchotte:

-Inutile de te cacher, papa aussi bande. Tu ne l'as pas remarqué?

 En effet, Hypnotisé par la correction, je n'avais d'yeux que pour le cul exposé. Mais ma soeur à raison, le pantalon de papa est gonflé.

 

Les lanières sont maintenant au creux des reins de maman, chaque coup lui arrache un cri. Tout le dos a pris la même couleur que le cul: rouge brique. La cadence ralenti au fur et à mesure que les coups arrivent sur les fesses. Celles-ci ont droit à un traiement de faveur. Ce n'est plus une cinglade en travers du tout. papa s'occupe alternativement d'un globe puis de l'autre. Il faut bien reconnaitre qu'il y a la place!

 

Arrivé au bas des fesses, papa change de tactique. Il a écarté les pieds de maman , lui ouvrant grand les cuisses. Il change de place entre chaque coup. le martinet s'enroule sur la jambe, puis papa se place de l'autre coté et marque l'autre jambe pour la symétrie. Il va ainsi jusqu'a creux des genoux. Depuis que la peau laiteuse des cuisses rougit, ce ne sont plus des cris mais des hurlements qui s'échappent de la bouche de maman. Elle ne peut plus tenir. Ses jambes lachent. Elle tombe à genoux, la poitrine posée sur le marbre de la table. papa la contourne, se place devant elle.

 

-Ecarte tes fesses des deux mains!

-...........

-allons j'attends!

- tu... ne . vas quand ...meme pas......

-oui, là aussi tu vas le recevoir et ce ne sera pas fini pour autant.

 

convaincue que rien ne le fera fléchir, maman prend ses grosses fesses martyrisées et les écarte. Je ne regarde pas son minou ouvert, je n'ai d'yeux que pour l'anus brun, plissé.

 

-Dix coups là avant de terminer par ta laiterie!

 

Il lui laisse quelques secondes le temps de bien réfléchir à la douleur qu'elle va ressentir puis abbat de toute sa force les lanière entre les fesses. Je m'y attendais, et pourtant  le vagissement de douleur me fait sursauter.

Papa énumère les dix coups. Une fois de plus il prend son temps entre chaque cinglade.

 

-Retourne toi maintenant et redresse toi.

 

Complètement anéantie, maman obeit sans discuter. Son ventre tombe sur son minou le cachant à moitié, mais je n'en suis pas frustré. Je m'avoue que c'est surtout son cul qui m'a plu.

Papa pince les tetons. Pas méchament, juste pour les faire durcir. Il a mis les mains de maman derrière sa tête.l'oblige à se cambrer. D'une main il la maintient dans cette position, de l'autre il se saisit de la règle.

maman n'a plus la force de protester, ce seront 5 coups de regle sur chaque tétines qui termineront la correction.

 

-Au lit, les enfants! Et, Michel, ..... passe par les toilettes avant de te coucher, cela évitera de salir tes draps

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 00:41

D'une main ferme, elle m'a plié jusqu'au sol, le nez sur les grosses goutes de sperme. Pas besoin d'ordre, je sais ce qu'il me reste à faire. Je joue les dégoutés pour lui donner le change. Un fois le sol relèché, elle m'a saisi par les cheveux et a appliqué mes levres sur le bas de la trainée de semence qui macule sa jambe. Le contact du bas sur ma langue me deplait, mais elle ne me laisse pas le choix. Dès que je fais mine de m'écarter, je sens ma tignace prète à me quitter. Elle remonte ainsi ma tête tout le long de la coulée de sperme. Je lèche et j'avale de plus en plus difficilement, la langue et la gorge sechées par le nylon. Arrivé à sa cuisse, j'ai une vue surprenante sous sa jupe courte. L'amie de maman met des culottes aussi fines et transparentes que ses bas.

 

Andrée a tout dit à maman au telephonne,enfin presque tout, ensuite elle a écouté un court instant et elle a raccroché.

 

Je suis au coin. Tout nu. Les fesses en feu. J'entend des pneus crisser sur le gravier devant la maison. Maman entre, accompagnée de sa collègue Ginette. Je déteste cette grosse femme toujours en sueur. Elle sent fort. Je me demande quand elle se lave?

 

Dès qu'elle a posé le pied sur la terrasse, Ginette éclatte dun rire vulgaire :"tiens, la lune rouge en plein jour d'été, c'est pourtant signe de neige!"

- je ne pense pas qu'il neige aujourd'hui, lui répond maman, mais il va pleuvoir une belle série de coups de martinet.

 

Sans ajouter un mot, ma mère s'est approchée de moi. Elle a du prendre la martinet en passant par le salon car une première cinglée m'arrache immédiatement un hurlement. elle a visé la partie la plus marquée de mon gros cul. Je tente de me protèger les fesses avec les mains, mais aussitot, ce sont elles qui recoivent la morsure des lanières et instinctivement je les retire pour les replacer sur le mur.

 

Tout les dix coups, j'ai droit  à une remarque.

 

-Ainsi, monsieur, se balade le cul nu devant ses amis!

 

- Ainsi, monsieur, se permet de pelotter le derrière d'une jeune fille!

 

-Ainsi, monsieur jouit quand on le fesse!

 

-On va voir si le martinet fait autant plaisir à monsieur!

 

maman s'essoufle, j'entend sa respiration se précipiter. Elle hallète presque.

 

-Tu te fatigue pour rien, lui dit Ginette.

La garce a parlé a l'oreille de maman qui a cessé de me fouetter sans pour autant me laisser quitter le coin.

Un instant plus tard je l'entend revenir du jardin en précisant "qu'avec ça, pas besoin de se donner chaud et c'est encore plus efficace que le martinet!"

 

La main de fer d'Andrée me serre la nuque et me pousse vers une chaise surlaquelle la grosse ginette s'est assise, une main cachée derrière le dos. Irrésistiblement , je suis basculé en travers ses genoux. avec une souplesse que je n'aurais jamais devinée chez une si grosse femme, elle passe un pied sur l'arrière de mes chevilles. Elle me bloque les jambes. sa main libre me pousse les épaules de sorte que ma tête touche presque le carrelage. j'ai le cul tendu vers le ciel, les fesses un peu écartées.

 

-Sur un cul aussi bien soigné, les orties vont faire merveille, vous allez l'entendre chanter!

 

Sans me laisser le temps de réfléchir à la signification de sa remarque, Ginette se met à me carresser le derrière avec le bouquet d'orties qu'elle est allée cueillir au jardin; en penant bien garde d'enfiler un gant de cuisine au préalable.

Pour commencer, le contact est plutot doux, frais, presque apaisant pour mes grosses fesses écarlates. Celà change très vite. Une brûlure insupportable remplace la sensation de douceur. Elle ne frappe pas fort, au contraire elle frotte plutot lentement les urticacées sur et entre mes fesses. Je hurle à m'en casser la voix.

 

Autour de moi, ce ne sont que rire et commentaires, plutot retenus de la part des ados, distingués d'Andrée et de maman et égrillards de la grosse Ginette

 

- tu vois? comme ça, tu peux y aller jusqu'à demain sans te fatiguer. Et meme quans tu auras fini, il sentira la morsure des orties pendant plusieurs heures encore!

 

Chacun à son tour, maman, Andrée mais aussi Christine, Aurélie et Jean vont me passer ce nouvel outil de punition sur et entre les fesses, jusqu'a l'anus, jusqu'au dessous des testicules.

 

-File au lit, je ne veux plus te voir avant demain!

-laisse le se frotter le cul si il en a envie, plus il se frottera plus cela piquera!

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : fessées publiques
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