Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 05:59

Lorsqu' Isabelle avait surpris Sébastien occupé à fumer, elle avait été prise d'une rage incontrolable. Son mari était mort d'un cancer et la jeune femme ne pouvait imaginer perdre son fils de la même façon. Malgré ses 12 ans, Sébastien avait eu doit à une fessée mémorable. S'en s'occuper de la présence de la famille, ni même de la petite copine qu'elle avait récupérée à la sortie de l'école comme chaque mercredi, Isabelle avait attrappé le gamin sous son bras. Baisser short et slip n'avait pris qu'une demi seconde. A cette époque, Sébastien était encore un poids plume, Les pieds du garçon ne touchaient plus terre et il eut beau gigoter comme un petit diable, le seul effet de ses mouvements de défence fut que ses vètement tombèrent sur le sol avant même que la première claque n'arrive sur les petites fesses.

 

L'oncle, la tante, le cousin et la copine étaient restés silencieux. Etonnés, gènés, mais aussi pour les enfants, intéressés par le petit cul nu qui rougissait au fur et à mesure que la main maternelle ponctuait le sermon sur le danger du tabac.

 

Sébastien, de son coté, n'avait pas encore consience du spectacle qu'il donnait. seul la douleur  de son posterieur  le faisait crier. La pluie de claques semblait ne jamais devoir s'arreter, les fesses et les cuisses brûlaient de plus en plus sans que sa maman ne faiblisse. La correction dura longtemps.

 

Ce n'est que quand la cadence fini enfin par relentir que le pire vint pour le garçon. Son cousin, ami et complice de toujours, confident de tout, fit remarquer en éclatant de rire:

 

Waouhhh! On voit tout son petit zizi sous son cul!

 

Bien sur, le cousin et ses parents avaient déjà vu plus d'une fois le zizi de Sébastien, lors des bains et des changements de vètements; mais, cette fois, il y avait une autre spectatrice et ça, le puni ne pouvait pas le supporter. Ses mouvements frénétiques des jambes qui s'étaient calmés un peu, reprirent de plus belle, quand il entendit le rire de sa copine accompagner celui de celui qui venait de le trahir si honteusement.

 

A peine l'étau du bras maternel se fut il desserré, que le gamin s'enfuit cacher sa honte et sa douleur dans sa chambre.

Etendu en travers de son lit, Sébastien pleura toutes les larmes de son corps. Rien n'aurait pu atténuer la mortification. Il ne vint pas déjeuner, ni gouter , ni dîner. Ce n'est que tard dans la soirée que ses larmes se calmèrent en même temps que la brûlure de ses fesses  s'estompait. Son sommeil fut troublé de cauchemards épouventables. Il revivait  l'humiliation d'avoir été vu cul nu, il entendait le rire de celle qu'il pensait etre son amie, ses reflexions sur le petit cul tout rouge, sur le doigt supplémentaire qui pendait sous son ventre.....

 

Le soleil était à peine levé quand le gamin sortit de sa torpeur. Il réfléchit au fait que les vacances d'été commencaient ce jour là et, qu'en septembre, il allait entrer dans la "grande école". Il n'aurait pas à subir les sarcasmes des copains certanement avertis par les indiscrétions des deux enfants ayant assisté à son humiliation. Très vite, il n'eut plus qu'une seule idée en tête: se venger!

 

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Durant les 4 années qui suivirent, Sébastien se mit au sport. De petit et malingre, il devient un beau jeune-homme musclé. Il avait grandi au point de dépasser Isabelle de 5cm, ses bras , ses jambes, son ventre n'étaient plus que muscles durs sans une once de graisse.

La fameuse fessée, loin d'être oubliée, avait eveillé en lui une libido furieuse. Ses journées commençaient et finissaient  systématiquement par une masturbation frénétique.  Le petit bout de chair qui, à 12 ans, pendait sous son ventre s'était, comme le reste de son corps, développé pour devenir un sexe imposant, exigeant plusieurs fois par jour des carresses que l'ado ne refusait jamais de lui prodiguer. Ses premières éjaculations, il avait pris soin de les eponger ou de les lancer au fond des toilettes. Puis, ses besoins de jouir augmentant de jour en jour, il avait fini par les laisser maculer ses draps. Malgré celà il était resté puceau. ses seules connaisances du corps féminin, il les avait découvertes dans des revues achetées sous le manteau et ensuite grace aux films "X" téléchargés sur internet.

 

Quand elle avait découvert les taches sur les draps de son fils, la première réaction d'Isabelle avait été la colère mélangée de honte et, il faut bien l'avouer, d'un trouble profond à l'idée que son bébé devenait un homme.

Elle s'était confiée à ses parents qui lui avaient conseillé de laisser faire. Son père lui avait expliqué que c'était normal pour un garçon de cet age, que tous le faisaient, que lui-même ........

Si cette discution avait appaisé colère et honte, le trouble qu'elle ressentait à chaque lessive des draps de plus en plus raidis de sperme sèché n'avait cessé d'augmenter. Elle se surprenait de plus en plus souvent à tendre l'oreille, le soir, vers la chambre de son fils, guétant les bruits ou les gémissements révélateurs de l'activité de sa progéniture. Bien souvent, quand elle percevait le son caratéristique de l'agitation nocturne de Sébastien, les mains de cette maman veuve deuis trop longtemps, s'égaraient comme de leur propre volonté, vers son entre-cuisses. les samedi, au moment de la lessive, les draps de sébastien n'étaient plus les seuls à être maculés.

Bientot ce furent ses culottes qui disparurent pour réapparaitre sous le lit du garnement. Dans un premier temps des dessous propres, volés dans son armoire, mais bien vite remplacés par des culottes portees et mise dans le panier à linge sale qu'Isabelle retrouvait maculées de sperme dans la chambre de son fils.

 

Enfin, elle s'arma de courage et cécida d'avoir une discution avec le coupable.  Toutes les mamans en auraient fait de même, malheureusement pour celle-ci, elle avait très mal choisi le jour: Le 30 juin, date anniversaire de la fessée mémorable appliquée sur le petit cul de celui qui, depuis, était devenu un ado de grande taille entretenant avec soin sa musculature.

Elle attendit que Sébastien descende pour le petit-déjeuner. Dans la poche de son peignoir, la culotte de l'avant-veille retouvée une fois de plus sous le lit du garçon. 

 

-Il faut que nous ayons une conversation tout les deux

-A quel sujet maman?

-tu deviens un homme et je comprends que tu ais des envies, mais....;

-mais quoi, maman? Où veux tu en venir?

-A ceci! dit-elle en sortant de sa poche le bout de tissus sali. 

 

Sébastien reconnut immédiatement la culotte qui avait si bien epongé sa jouissance de la veille. Il sentit son sang refluer , ses jambes trembler comme si elles allaient cesser de le supporter. Il s'assit su la chaise la plus proche tête basse, honteux, ne sachant que répondre. En un instant le souvenir de l'odeur délectable qu'il avait trouvée dans ce bout de tissus si intime lui submergeat l'esprit. Il se revit le sexe tendu, gonflé; les couilles lui faisant mal à force de vouloir libérer le flot de sperme qu'il avait tenté de retenir au maximum, et enfin la jouissance. La culotte avait à peine pu absorber la totalité de ses jets tant l'odeur de femmelle qu'il avait inhalée était forte ce soir là.

 

-Je te préviens, mon garçon! Si tu n'arrêtes pas de faire tes saletés dans mes sous-vètements, je vais devoir m'occuper de ton peit cul malgré tes 16 ans!

-maman!!!!

-tu as compris?

 

Reprenant du poil de la bête, Sébastien se releva. Et, fixant sa maman droit dans les yeux, s'approcha d'elle au point de la dominer de toute sa taille. Isabelle recula jusqu'a ce que ses fesses viennent buter contre la table. son fils, son petit garçon chéri avait un air si menaçant qu'elle prit peur. Elle comprit enfin son erreur. Parler de fessée à cet ado devenu presqu'un homme le jour anniversaire de la terrible humiliation qu'elle lui avait infligée, avait été une maladresse considérable. Elle tournait la tête de gauche à droite, cherchant une possibilité d'échapper à son rejeton. Mais c'était trop tard, Elle était coincée. Elle aurait voulu ravaler ses derniers mots, mais celà aussi était impossible.

 

Ne se controlant plus, Sébastien prit sa mère par le col du peignoir et, reculant avec elle jusqu'a la chaise qu'il avait quittée l'instant précédant se laissa tomber renversant dans le même mouvement la pauvre femme en travers de ses cuisses.

 

-Tu parles facilement de fessées! Je pense qu'il serait temps que tu sache vraiment ce que c'est!

-Sébastien!!!!!! Lache moi immédiatement!

 

Plutot que de répondre, le garçon appliqua dérechef une solide claque sur la croupe tendue que ne protégeait que le fin tissus. La surprise plus que la douleur fit crier Isabelle. Elle se débatit tentant d'échapper à l'emprise du bras qui la retenait dans cette position humiliante. Rien n'y fit. Son fils était bien trop fort pour elle. Au contraire, les mouvements frénétiques de ses cuisses firent remonter le court vètement, dévoilant le bas du derrière.Les claques continuaient de tomber, de plus en plus fortes, imposant des battements de jambes de plus en plus amples. Au fur et à mesure ,les cris s'amplifiaient et le tisus remontait. Les fesses, petit à petit, se dénudaient. Bientot la main vengeresse entra en contact avec la peau que ne protégeait aucune culotte.

 

Lorsqu'il s'appercut que ses doigts touchaient le cul nu, Sébastien entreprit de maintenir sa maman en place par la seule force de son bras gauche laissant ainsi toute liberté à la main de remonter le peignoir. Aidé par les mouvements desordonnés qui avaient, en plus, fait se relacher le noeud de la ceinture, la main du garçon parvint à decouvrir le fondement d'Isabelle jusqu'au milieu du dos. De son coté, la main doite continuait inlassablement ses va et vient fesseurs. Le cul devenait de plus en plus rouge voire écarlate.

 

D'un seul coup, les cris de la punie cessèrent. Le silence uniquement troublé par le son des claques sur le gros fessier surprit l'ado. Il mit un certain temps pour comprendre la raison du changement. Etait-ce le cul nu, le fait que ce soir le cul de sa mère, la première fessée qu'il administrait ou plus probablement un mélange de tout celà; toujours est-il que son sexe avait pris une ampleur rarement atteinte même dans ses rèves les plus érotiques. En un mot, le garnement bandait comme un ane et sa mère l'avait senti sous son ventre dénudé. La punition cessa. La main corectrice vint se poser sous le gras des fesses, entre les cuisses, au ras de la toison.

 

Aucun de deux ne parlait ni ne bougeait. Leurs respirations haletantes, seules, provoquaient un mouvement rapide des poitrines.

 

Sébastien fut le premier à rerendre contact avec la réalité. L'odeur! L'odeur si souvent humée ces six derniers mois!

L'odeur des jolies culottes qu'il volait dans le bac à linge sale! L'odeur de la chatte d'une femme avait envahi l'athmosphère de la pièce.

 

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives
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