fessées de maman

Mardi 2 mai 2 02 /05 /Mai 05:32

C'est avec un peu d'appréhension que Sébstien, vétu juste d'un short  court et d'un t shirt tout deux blanc et moulants, entra au salon. Sa mère l'attendait assise sagement sur le canapé sa robe estivale légèremet remontée sur ses cuisses.

 

-Il y a longtemps que tu fais tes cochonneries dans mes dessous?

 

-Et toi, il y a longtemps que tu me mates sous la douche?

 

Prise de court, Isabelle, se sentit  rougir des pieds à la tête.

 

-C'était la preière fois, je.....je ne savais pas....que tu étais tout nu .....et      

 

-ben oui bien sur, j'ai l'habitude de prendre mes douches tout habillé

 

-De .....toute façon, je n'ai rien vu!

 

-Menteuse!  Tu es restée pusieurs minutes à me mater. Moi je m'en moque que tu me regardes à poils occupé à me branler mais alors ne viens pas faire ta Sainte-Nitouche après!

 

-Ecoutes! Ca suffit! Et je compte sur ta discrétion au sujet de ce qui s'est passé ce matin.

 

-Quoi? Que tu m'ais vu me branler, ou que je t''ai rougi le cul?

 

-les deux et ne parles pas aussi grossièrement

 

-Qu'est-ce qui te dérange? que je parle de ton  cul ou que je dise branler?

 

-Arrète s'il te plait! Ce n'est pas un sujet de discution entre une maman et son fils de 16 ans

 

-Et bien moi je veux en parler. Et tout d'abord je veux savoir: Papy te fessait souvent quand tu étais gamine?

 

-Ca ne te regarde pas! 

 

-J'ai le droit de savoir si ton cul connaissait déjà la main de l'homme avant ce matin.

 

-...........

 

Isabelle, comprenant que la situation lui échappait complètement, s'enferma dans un mutisme boudeur. Son fils, qui n'en menait pas large en entrant dans la pièce, s'affranchissait de plus en plus. Il venait de prendre conscience qu'il était devenu l'homme de la famille et, que s'il savait bien diriger la sitution, de belles heures allaient suivre cette matinée mémorable.

 

S'appochant de sa mère jusqu'à froler ses genouxSébastien pris son air le plus sévère pour insister:

 

-Alors tu me le dis si papy te fessait souvent? ou tu préfère peut-être que je le lui demande directement?

 

Morte de honte, Isabelle fit vite son choix. Tout ou presque tout avouer à son fils ou prendre le risque que ce dernier raconte tout à son grand-père.

 

-Et bien, oui, ton grand-père me fessait quand il estimait que je le méritais

 

-Et jusque quel age?

 

-.............

 

-Répond, maman!

 

-............

 

-Il te fessait cul nu? une main sur ton cul et une sur ta chatte?

 

-arrète ça! Ca ne te regarde pas.

 

-Tu pourrais encore en recevoir dans un avenir proche et pas obligatoirement de la main de papy.

 

-Tu.....tu......n'oserais.......quand même pas.......recommencer?

 

-sur ton cul nu, peignoir relevé, non en effet rassure toi. Mais sur ton cul nu, toi toute nue ca oui et dès maintenant si tu refuse encore de me répondre. Alors choisis : des réponses claires et honnêtes ou alors......

 

La jeune maman compris qu'elle n'y échapperait pas. Son bébé était denu un homme et dorénavant elle n'avait plus d'autre choix que de se soumettre à son autorité naissante. Le souvenir de l'orgasme spontané du matin la mettait mal à l'aise. Devait-elle résister? ou du moins feindre la résistance; ou alors....? NON, se dit-elle ce n'est pas possible je ne peux pas me soumettre à un gamin de 16 ans qui plus est, est mon fils!!!!!  D'un autre coté, sa main sur mes fesses nues, son regard sur mon intimité, son sexe dressé sous mon ventre et ensuite dans la salle de bain ce jet de sperme!!!!!!!!!!

 

- Ou alors tu me fesseras de nouveau c'est cela? toute nue? le cul rouge sous ta main?

 

Au ton de sa mère, Sébastien comprit qu'elle avait céder. Que maintenant il n'aurait plus à parcourir des sites réservés aux adultes pour voir voir une femme nue, qu'il n'aurait plus besoin des culottes sales de sa mère pour se branler....

 

-Il l'est encore?

 

-Quoi?

 

ton cul! il est encore rouge?

 

-Je ne sais pas mais il me brûle encore un peu, ça oui!

 

-Montre!

 

Lentement, ne quittant pas son fils des yeux, Isabelle se redresse, se lève du canapé. Puis elle pivote sur elle-même, tourne le dos à son fils et relève centimètre par centimètre le bas de sa robe, sous laquelle elle n'a pas la moindre culotte.

 

Le gamin en a les yeux qui lui tombent des orbites! il voit apparaite petit à petit le cul nu, encore un peu rouge, que sa maman lui dévoile sans qu'il ait à l'y obliger.

 

-Tu as "oublié" de mettre une culotte? ou alors tu savais que tu me montrerais ton cul?

 

-Quand j'étais gamine, et même plus tard, si je faisais une bètise, ton grand-père m'obligeait à rester sans culotte sous ma robe jusqu'au moment qu'il avait choisit pour me fesser.

 

-Plus tard  ça veut dire jusque quel age?

 

-tu étais déjà né la dernière fois

 

-Et .......avec lui aussi.........tu.........tu........comme ce matin?

 

Se retournant face à son fils sans rabaissé sa robe qu'elle avait remontée jusque en dessous de ses seins, la jeune femme répondit sans hésiter:

-Oui. Dès mes 14 ans, chaque fessée me rendait toute mouillée. Tu l'as bien senti ce matin, non?

 

Toute honte bue, la maman avait pris sa décision. Toujours face à son fils, le regardant dans les yeux, elle commença à déboutonner sa robe, du col à l'ourlet. Lentement, bouton par bouton. Guettant la réction de l'ado au fur et à mesure que ses seins appraissaient. puis ce fut son ventre.  Enfin elle dégagea ses bras des manches courtes et la robe tomba en corole aux pieds de la dévergondée. Volà, c'était fait. Elle était entièrement nue devant son fils. seins arrogants aux tétons dressés. Elle leva un pied et enjamba sa robe. Puis, toujours les yeux dans les yeux, elle prit Sébastien par les épaules, le fit pivoter en même temps qu'elle,  le poussa jusqu'à le faire tomber assis dans le canapé

 

-Tu vois?  Ta maman est une vilaine cochonne qui n'a ni culotte si soutien-gorge sous sa robe et plus grave encore, se montre nue à son fils de 16 ans! Estime-tu Qu'elle mérite une punition?

 

-o.....oui je le pense

 

-Une bonne fessée sur son cul tout nu?

 

-Qu'attends tu pour te mettre en position?

 

Sans hésiter, Isabelle s'étend sur les cuisses de son fils. Elle tend les fesses vers les mains qu les palpent.

 

-Tu es une vilaine maman. tu mérites la fessée sur ton gros ccul tout nu.

 

-Oui. Va-y. Punis ta maman salope, fesse la. Et............fais la jouir comme ce matin.

 

 

 

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

 

 

 

6 ans plus tard, Isabelle est en réunion dans son bureau qyand son téléphone portable sonne.  Elle prie ses collègues de l'excuser et sort pour répondre

 

-Oui, c'est toi Seb?   

 

- Oui maman. Tu as encore mal au cul de la fessée de ce matin? La centure c'est bien plus mordant qu'une main ou même un martinet!

 

-Oui je suis encore allée vérifier il y a 5 minutes, j'ai le cul zébré de rouge et il le restera surement un jour ou deux.

 

-Bien! Sois à la maison dans une heure. Nue. Et enlève les quelques poils que j'ai senti ce matin, je veux que ta minette soit totalement lisse. 

 

-Bien mon grand! Tu as prévu quelque chose de spécil pour notre 6ème  anniversaire?

 

-Tu verras bien! C'est une surprise

 

Sur ces mots, Sébastien raccroche. Il sait qu'Isabelle obéira et qu'elle sera nue au salon quand il renrera. Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'il ne sera pas seul. Depuis 2 mois, il à renoué avec son ancienne copine. Celle qui avait assisté à la fessée de ses 12 ans. Cette année-ci aussi il y aura une fessée le 30 juin et même deux: une fessée pour chacun des deux culs présents........

 

 

 

 

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : fessées de maman - Communauté : inceste
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Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 05:59

DSC03463-Arrète s'il te plait

-tu es gènée que je sache que tu es maso?

-oui bien sur, mais surtout ce sont tes mains dans mon intimité qui me gènent

- tu préfères surement autre chose que mes doigts!

-..........

 

D'une main, je la maintiens pliée de l'autre je quide mon sexe tendu entre ses fesses. Aucun effort, aucune poussée ne sont nécessaires, maman est tellement trempée que je m'introduis comme si sa chatte m'aspirait. A peine, mes testicules viennent ils cogner son cul que je décharge. Pas très fière, l'ado! elle n'a même pas du avoir le temps de sentir ma présence.Je glisse hors de sa caverne mouillée.

 Maman se redresse et me toise. La giffle qu'elle me lance à toute volée, je l'ai bien méritée. Pas pour l'avoir fessée ou l'avoir pénétrée mais pour ne pas avoir été capable de la faire jouir.

Penaud, je quitte la salle de bain. J'entre dans ma chambre et me jette sur mon lit fou de rage contre moi -même et contre ce sexe qui m'a trahi.

 

Le carillon de l'entrée sonne. J'entends maman ouvrir et parler avec quelqu'un.

 

- tu peux monter, il est dans sa chambre

-merci madame

 

C'est jean, je reconnaitrais sa voix entre mille! Dix secondes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre, Jean n'a même pas frappé. Il ne montre aucune surprise à me voir étendu tout nu sur mon lit. Il s'assied près de moi et nous bavardons un peu de choses et d'autres. Je n'ai aucune raison de cacher ma nudité, il la connait mieux que personne. Sa main a vite trouvé le chemin de mon sexe qu'elle carresse distraitement. Soudain elle s'arrète.

 

-tourne toi un peu!

-tu es fou on ne va pas le faire ici avec ma mère en bas!!!!

-tourne toi te dis-je, montre moi ton cul

 

J'obeis malgré tout excité par la situation. L'idée d'être surpris à m'exhiber et  à me faire pelotter passe directement de mon cerveau vers mon bas-ventre.

 

- C'est bien ce que je pensais avoir remarqué en entrant, tu as le cul rouge, ta mère t'a fessé?

-oui, mais je la lui ai rendue avec les intérèts.

-t'as tanné le cul de ta mère?

-ben oui!

 

je lui raconte l'épisode de la salle de bain, sans manquer le moidre détail. L'idée l'excite visiblement. Sa main a repris son va et vient le long de mon sexe qui n'en demadait pas tant pour se redresser. IL a aussi dégagé le sien et je me penche sur lui pour le lecher avec gourmandise. Déjà une goutte  salée perle au méat. Un instant plus tard il est aussi nu que moi. Ses doigts ont quitté ma queue pour, après avoir brièvement carresser mes couilles, s'introduire dans mon anus. Nous roulons tout les deux sur mon lit et je fini par me retrouver au dessus de lui, sa queue entre mes lèvres, la mienne entre les siennes.

 

La brulure soudaine qui s'empare de mon cul manque me faire mordre la tige que je dévore. Maman est entrée dans ma chambre, ni Jean ni moi ne l'avons entendue. C'est ma ceinture qu'elle a du ramasser qui vient de me zébrer les fesses. Jean me repousse en comprenant que nous ne sommes plus seuls dans ma chambre.

 

-Ainsi c'est celà que vous faites vous deux! Vous êtes des porcs!

-maman sors d'ici!  tu n'as pas le droit!

-J'ai tout  à fait le droit d'entrer dans la chambre de mon fils tout comme j'ai tout à fait le droit de le punir quand je le surprends à faire des cochonneries avec le fils de ma meilleure amie.

 

Jean semble plutot amusé. Pas du tout gèné d'être à poils devant ma mère, il n'a même pas débandé.

 

-Le punir de me carresser ou bien le punir de n'avoir pas pu vous faire jouir?

-Jean!!!!!!!!!!!

-Avec moi, vous n'auriez pas été déçue

-Tu ne dois pas être mieux que lui, dit-elle en me désignant. Un pd reste un pd, en plus tu n'es qu'un gamin!

- Un gamin bien pourvu! et un cul c'est un cul.

 

Tout en parlant, Jean s'est levé de mon lit et s'est approché de maman qu'il défie du regard. Elle perd contenance, veux lui envoyer une réplique cinglante mais n'arrive qu'à bafouiller.

 

-Mais vous avez raison sur un point: Michel mérite une punition, alors, autant profiter que son cul soit découvert et que vous teniez déjà en main une bonne ceinture de cuir.

-..........

- A moins que vous ne préfèriez que ce soit  vos fesses que sa ceinture ne réchauffe?

-Tu.....tu .. n'oserais pas! je le dirai à ta mère.

-Ma Mère? elle connait déjà ma façon de manier un martinet

 

Brusquement, Jean a arraché la ceinture des mains de maman et s'est placé derrière elle. D'une poussee dans le dos, il la bascule sur mon lit. Comme toujours, maman porte tres court et le mouvement aidant, sa culotte est presque entierement découverte.

 

-Tiens la bien!

 

Comme un automate, je pèse de tout mon poids sur les épaules de ma mère tandis que Jean remonte encore plus la robe et, ensuite, glisse ses doigts sous l'élastique du slip. lentement, le tissu blanc descend. Si je connais le cul de maman, Jean, lui, ne l'a jamais vu et il prend tout son temps pour le dévoiler. Quelle différence avec celui tout en muscle de sa mère. Une fois la culotte à mi-cuisses, Jean se recule un peu. il admire l'énorme masse de chair encore écarlate et striée. Enfin il se décide, la ceinture vient ajouter sa signature aux autres marques décorant le cul de ma génitrice.

 

Maman, ne résiste pas. Au contraire elle semble tendre ses fesses vers mon amant comme une invite à les cingler et à les.......

Jean s'en apperçoit. Après une vingtaine de coups, il lache la ceinture et s'approche plus encore. Son glang frole la raie culière. Des deux mains, il écarte les globes. je suis fasciné par le spectacle de la queue de mon ami s'introduisant petit à petit dans l'anus qui s'écarte obligement.

 

-Tu vois, Michel, c'est aussi facile d'enculer une femme qu'un garçon!

 

Suivant le va-et vient de Jean, ma main s'active sur mon sexe.  Quand j'entend le gémissement habituel de Jean, je sais qu'il va jouir. Je n'ai pas d'expérience à ce sujet, mais je me doute que maman est sur le point d'avoir, elle aussi, un orgasme mémorable. Tout les trois nous jouissons presque au même moment. Jean dans le cul , moi sur les épaules de maman. Mon sperme macule le tissu de la robe qui n'est plus, depuis longtemps, qu'un chiffon froissé.

 

-A toi maintenant! Et essaye de faire mieux que ce matin!

 

Je lance un regard interrogateur à  mon ami. Il s'est reculé. son sexe toujours tendu est sale et laisse encore s'écouler quelques gouttes.

 

-Allez viens, je t'ai ouvert le chemin, tu n'as plus qu'à entrer

-Trop tard, j'ai éjaculé

-Je le sais, j'ai bien vu ton jet, mais nous savons tout les deux comment faire pour te redresser.

 

Sans plus tergiversser, je quitte le lit et, sous les indications de Jean, me couche sur le dos de maman. J'écarte les fesses et les tends vers le vit toujours bien dur. Sans autre forme de procès, mon cul est investi. L'effet est quasi imédiat: ma queue se redresse entre les grosses fesses qui leur servait d'étuit. A  mon tour, je prends quelques cm de recul, vise la rondelle dégoulinante de sperme et d'une poussée m'introduis jusqu'aux couilles.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : la fessée pour le plaisir
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Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 06:09

Depuis plus d'un an, les fessees sont de retour dans ma vie. Seules les orties de cette salope de Ginette n'ont plus été utilisées. Christine en reçoit de moins en moins pour la bonne raison que je les prends souvent à sa place. Papa parle ouvertement devant nous de celles qu'il inflige à maman, mais, avant de passer à l'acte il nous envoit toujours, ma soeur et moi, dans notre chambre.

Ma jeune vie sexuelle a pris l'orientation gay. Même si j'aime bien voir une fille nue, je suis toujours puceau mais loin d'être vierge du derrière. Marc, puis Jean, puis d'autres copains ou freres de copines de Christine ont visité et se sont épanchés abondament dans mon cul.

 

Ce soir, l'ambiance est lourde comme du plomb à la maison. Le diner s'est passé dans un silence impressionant. Maman a les yeux aussi rouge que mes fesses. Elle pleure depuis son retour du jardin où elle a du avoir une discution orageuse avec papa. Christine et moi nous lançons des regards en cachette. Nous savons ce que cette athmosphère signifie. Il fait chaud en cette fin aôut et c'est   avec une presque parfaite coordination que l'orage éclate aussi bien à l'extérieur qu'au salon.

 

-Cesse de pleurnicher, il fallait réfléchir avant!

 n'osant regarder son mari dans les yeux, maman balbutie une excuse:

- Je ne l'ai pas fait expres, c'est un hazard.

- C'est un hazard si tu es allée justement aujourd'hui dans ce magazin où tu ne mets jamais les pieds et justement au moment où lui aussi y était? tu te moques de moi en plus!

-chéri je te jure...

-Arrete de me mentir! Quel bel exemple tu donnes à nos enfants!

-Ils n'étaient pas là, ils ne savent rien

- Si je l'ai su le jour même, ils ne tarderont pas à le savoir aussi et j'aime autant que ce soit par moi que par un étranger qu'ils l'apprennent.

- Je t'assure qu'il ne s'est rien passé

-Menteuse! Non seulement tu me trompes mais tu me prends pour un imbécile?

-..................

Dans le jardin, les éclairs et le martellement de la pluie marquent chaques phrases échangées par nos parents. Maman est en larmes, j'ai de la peine pour elle et c'est avec apréhension que j'attends l'ordre de papa de rejoindre ma chambre. Je n'ai jamais vu mon géniteur aussi rouge de colère.

 

Papa la pousse au bout de son mensonge, elle s'embrouille dans ses excuses, se contredit, bafouille, elle fini par se lever et tente de sortir du salon mais papa l'attrape par le poignet et lui fait faire volte face.

 

-Reste ici. Je n'en ai pas fini avec toi. Tu vas payer par où tu as pèché.

 

Il ne nous regarde pas. A-t'il oublié notre présence? Chrisitine et moi nous faisons tout petits ce qui est un exploit en considération du fait qu'en un an j'ai poussé comme une mauvaise herbe et que ma soeur a développé une paire de fesses et une poitrine semblables, maintenant à celles de maman.

Perdu dans mes pensées, je sursaute lorsque l'ordre claque comme le tonnerre.

-retire ta jupe et ta culotte

-Chéri!!!!!!!

-Ne discute pas

-mais...... les enfants!

-Quoi les enfants? Si tu montre ton gros cul à un étranger, ils peuvent bien le voir eux aussi

-Non, pas ça, s'il te plait. C'est déjà bien assez qu'ils sachent

-Oui ils savent que je te fesse quand tu le mérites, oui ils savent qu'une faute doit être punie à n'importe quel age, et alors?

- Je ne peux quand même pas me déculotter devant eux!

- Il y avait du  monde dans le magazin quand tu as embrassé à pleine bouche ton amant, alors estime toi heureuse qu'il n'y ait que Christine et Michel qui voient ton gros cul rougir ce soir

-Non, je n'accepterai jamais de me montrer nue à mon fils!

-Il a presque 16 ans, ce ne sera pas le premier cul qu'il verra. Fin de discution, retire jupe et culotte ou je te les arrache de force.

 

Eclatant en sanglot, maman fini par céder. Elle nous tourne le dos et dégraffe sa jupe qui tombe sur le carrelage. Elle a une jolie culotte fleurie qui lui moule les fesses.

 

- la culotte aussi ais-je dit!

 

Elle a tout le mal du monde à obéir. Ses mains sont posées sur l'élastique mais elle ne se résout pas à baisser le dernier rempart de sa pudeur.Cette hésitation met papa hors de lui. Brutalement il tire sur le chemisier faisant voler quelques boutons,et l'envoit rejoindre la jupe. Puis, avec ce qui me semble être un sourire sadique, fait subir le même sort à la culotte. L'élastique n'a pas résisté. C'est un chiffon déchiré que papa jette loin de lui.Maman a plaqué ses mains sur son derrière. Geste bien inutile, les fesses sont si grosses que les doigts grassouillets n'en cachent pas le quart.

 

- Penche toi, pose les mains sur a table, tends ton cul, ecarte les cuisses.

 

Les ordres tombent sechement papa si distingué d'habitude, semble prendre un malin plaisir à utiliser un langage de charretier.maman est complètement vaincue, elle obeit comme une automate sans plus se soucier de nous qui ne perdons pas une miette du spectacle. Comme l'année dernière, papa s'est placé de coté. Est-ce pour mieux battre le cul de maman ou pour mieux nous le montrer je ne le saurai jamais. la fessée commence par des claques sonores. Chaque fois que la main paternelle quitte le fessier, elle laisse sa signature en rouge sur la blancheur du cul.Je compte 100 claques plus ou moins espacées, plus ou moins rapides suivant l'envie de papa. Maman ne crie pas mais je comprends aux mouvements convulsifs de son dos qu'elle sanglotte silencieusement.

 

Tout comme lorsque Christine et moi étions cachés sur la mezzanine, papa délaisse les grosses fesses ecarlates pour aller fouiller dans un tiroir de son secrétaire. Il en revient avec le martinet que je ne connais que trop bien, mais aussi avec une regle carrée de 50 cm de long. Quand il pose la règle sur la table, à coté des mains de maman, celle-ci sursaute violement.

 

- Non, pas ça! tu sais que je ne la supporte pas.

-Tais toi, ce n'est pas te donner du plaisir que je veux faire

 

Le martinet s'abbat sur le dos tendu, juste sous l'attache du soutien gorge.De surprise , maman a crié cettte fois. Se ravisant soudain, papa cale le manche du martinet sous son bras et s'applique à dégraffer le dernier vêtement de maman qui va rejoindre les autres.  papa se recule un peu et reprend la correction. Cette fois, c'est à hauteur des épaules que les lanières mordent. Il fouette systématiquement, posément; chaque coup est un peu plus bas que le précédent.

 

j'ai placé mes mains sur ma braguette pour cacher la bosse qui s'y est formée dès l'apparition du gros cul maternel. chrisitine se penche sur mon oreille et me chuchotte:

-Inutile de te cacher, papa aussi bande. Tu ne l'as pas remarqué?

 En effet, Hypnotisé par la correction, je n'avais d'yeux que pour le cul exposé. Mais ma soeur à raison, le pantalon de papa est gonflé.

 

Les lanières sont maintenant au creux des reins de maman, chaque coup lui arrache un cri. Tout le dos a pris la même couleur que le cul: rouge brique. La cadence ralenti au fur et à mesure que les coups arrivent sur les fesses. Celles-ci ont droit à un traiement de faveur. Ce n'est plus une cinglade en travers du tout. papa s'occupe alternativement d'un globe puis de l'autre. Il faut bien reconnaitre qu'il y a la place!

 

Arrivé au bas des fesses, papa change de tactique. Il a écarté les pieds de maman , lui ouvrant grand les cuisses. Il change de place entre chaque coup. le martinet s'enroule sur la jambe, puis papa se place de l'autre coté et marque l'autre jambe pour la symétrie. Il va ainsi jusqu'a creux des genoux. Depuis que la peau laiteuse des cuisses rougit, ce ne sont plus des cris mais des hurlements qui s'échappent de la bouche de maman. Elle ne peut plus tenir. Ses jambes lachent. Elle tombe à genoux, la poitrine posée sur le marbre de la table. papa la contourne, se place devant elle.

 

-Ecarte tes fesses des deux mains!

-...........

-allons j'attends!

- tu... ne . vas quand ...meme pas......

-oui, là aussi tu vas le recevoir et ce ne sera pas fini pour autant.

 

convaincue que rien ne le fera fléchir, maman prend ses grosses fesses martyrisées et les écarte. Je ne regarde pas son minou ouvert, je n'ai d'yeux que pour l'anus brun, plissé.

 

-Dix coups là avant de terminer par ta laiterie!

 

Il lui laisse quelques secondes le temps de bien réfléchir à la douleur qu'elle va ressentir puis abbat de toute sa force les lanière entre les fesses. Je m'y attendais, et pourtant  le vagissement de douleur me fait sursauter.

Papa énumère les dix coups. Une fois de plus il prend son temps entre chaque cinglade.

 

-Retourne toi maintenant et redresse toi.

 

Complètement anéantie, maman obeit sans discuter. Son ventre tombe sur son minou le cachant à moitié, mais je n'en suis pas frustré. Je m'avoue que c'est surtout son cul qui m'a plu.

Papa pince les tetons. Pas méchament, juste pour les faire durcir. Il a mis les mains de maman derrière sa tête.l'oblige à se cambrer. D'une main il la maintient dans cette position, de l'autre il se saisit de la règle.

maman n'a plus la force de protester, ce seront 5 coups de regle sur chaque tétines qui termineront la correction.

 

-Au lit, les enfants! Et, Michel, ..... passe par les toilettes avant de te coucher, cela évitera de salir tes draps

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 06:22

20 heures

 

-les enfants, allez dans votre chambre et restez-y!

-mais papa , il n'est que 20 heures!

-cesse de discuter, Christine. J'ai à parler avec votre mère et celà ne vous regarde pas.

 

J'avais bien senti un froid glacial entre papa et maman pendant le dîner, mais je ne pensais  pas que papa voudrait percer l'abcès si tôt. Ma soeur et moi echangeons un regard et nous montons vers nos chambres.

 

-et que les portes soient fermées sinon garre!

 

Je n'ai aucune intention de prendre de risque. Quand papa a cette voix là, mieux vaut ne pas laisser trainer ses fesses à portée de sa main. Je m'enferme donc, mais reste l'oreille collée à la porte. Ca discute ferme en bas. J'entends à peine maman, par contre, papa ne cherche pas à baisser le ton. Une colère comme celle-ci, je ne me souviens pas en avoir vue une!.

 

-cesse de me prendre pour un idiot, on t"a vue!

-..........

-inutile de supplier, c'était avant de me ridiculiser qu'il fallait y penser

-...........

 

Impossible de comprendre les réponses de maman, mais la dernière phrase de mon père me laisse deviner la raison de l'altercation.

 

20.30 heures

 

Ca fait une demi heure que le sermon paternel a commencer. Plusieurs fois, le mot "string" est revenu. Je ne vois pas en quoi une ficelle, même anglaise, peut provoquer une telle colère.

 

-ca suffit comme celà! je vais t'arranger le cul de telle sorte que tu n'ais plus du tout l'envie de le montrer!

 

C'est donc celà! Papa est furieux pour une queston d'habillement. Maman aura du mettre une robe trop courte à son goût. Pourtant l'été est très chaud, il devrait comprendre. Moi ce que je comprends, c'est que maman va être fessée. J'aimerais tant être une souris pour me glisser discretement sur la mezzanine et assister au spectacle. J'imagine, la robe de maman remonter sur ses cuisses, son derrière, son dos; puis passer par dessus sa tête. Je la vois, en culotte et soutien gorge.

Papa doit lui faire enlever le reste. Elle doit être seins nus maintenant. Dans ma tête, la culotte descends lentement devoilant petit à petit le gros cul blanc.Elle est toute nue. Mon imagination a fait monter mon zizi à son paroxisme. Je le libère de la prison de mon slip.

-le martinet n'a pas été une leçon suffisante. On va voir si tu goûtes mieux ceci!

-..........

 

long silence. je percois juste les sanglots  d'une maman que j'imagine nue, appuyée sur la table de salon, les grosses fesses tendues. Je rêve. Le bruit du premièr coup directement suivi du cri de douleur me fait sursauter. C'est parti! Je me demande avec quoi il la punit. L'autre fois, maman n'a crié que vers la fin de la fessée. Ce soir c'est après chaque coup.

Elle crie de plus en plus fort, sans se soucier que ma soeur et moi ne pouvons pas ne pas l'entendre. Je compte. A chaque cri ma main fait un va et vient sur mon sexe. Stupidement je pense à Marc et à Jean. Ce serait si bon de regarder le spectacle du salon avec le vit de l'un ou de l'autre dans mon derrière! J'ai perdu le compte. Est-ce 20 ou 22 coups? peu importe, je sens un chatouillement que je connais bien monter du bas de mon ventre.

Maman crie sans discontinuer. C'est à peine si je distingue encore le son de la correction elle-même.Le rythme a du s'accélérer, et ma main a suivi la cadence. Le cul tout rouge de maman danse devant mes yeux, c'est vers lui que je lance des jets de sperme. La porte de ma chambre est devenue le cul maternel et je l'arrose abondament.

 

21 heures

 

Maman ne crie plus. Elle gémit. papa souffle comme une forge.J'essuye tant bien que mal les trainees qui maculent la porte de ma chambre. Ma nuit va être encore très agitée.Je me jette , nu, sur mon lit.

 

22 heures

 

le sommeil ne vient pas. je suis de nouveau dressé. En fait je n'ai même pas débandé. Les parents sont montés, ils doivent faire l'amour, mais de ma chambre je ne peux rien entendre. Christine me dira demain.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : fessées publiques
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