Lundi 23 juin 1 23 /06 /Juin 06:18

je m'appelle Claire, je viens d'avoir mes 18 ans, je peux enfin vivre ma vie sans faire prendre de risque à l'homme que j'aime.

Il y a 6 ans, en rentrant de l'école j'ai trouvé  la maison vide. Un mot laconique de maman trônait sur la table: " j'en ai marre de toi, je pars vivre avec un homme, un vrai!" Ca s'adressait à papa bien sur, mais je me rapelle avoir été secouée comme si maman l'avait écrit pour moi. mon premier réflexe de gamine a été d'appeler papa au téléphonne et lui demander de rentrer au plus vite.

Moins d'une heure plus tard il était là. J'étais restée prostrée tout ce temps. A ses questions concernant ma santé, les problèmes que j'aurais pu avoir à l'école etc....Je ne lui répondis qu'en lui tendant le billet de ma mère. Comme moi il en eu les jambes coupées. Je me jettai à l'eau pour lui poser la question qui me taraudait:

 

-Papa!

-oui?

-Qu'est-ce qu'elle veut dire par " un homme, un vrai"?

-......

-Ca peut exister un homme qui ne soit pas un homme? Je pensais qu'il y avait de hommes et des femmes et c'est tout!

-C'est une façon de parler, ta maman me reproche depuis longtemps de ne pas assez m'occuper d'elle.

-Mais je t'ai toujours vu au petis soins pour nous! Grace a toi maman ,'a pas besoin de travailler et quand tu rentres de ton bureau, tu reste tout le temps pres d'elle!

-Ce......ce n'est pas......ce n'est pas à ce sujet

-C'est quoi alors?

-Ce sont des histoires d'adultes que tu ne pourrais pas comprendre

-Jai 12 ans je suis grande assez pour comprendre, papa

-Nous en reparlerons pus tard.

 

Sur ces mots, papa prit son téléphone et appelat le livreu de pizza. Notre dîner fut morose, ni l'un ni l'autre n'avions d'apétit.

A 20 heures papa m'envoyat au lit sans me faire passer par la salle de bain. C'est vrai que c'était toujours maman qui m'y accompagnait pour me frotter le dos et laver me longs cheveux chatains.

 

Une fois dans ma robe de nuit je suis allée embrasser papa et je me suis couchée. Impossible de trouver le sommeil. Vers minuit, ,n'y tenant plus j'allai frappé discretement à la porte de la chambre parentale. Sans attendre l'autorisation j'ouvris la porte et me faufilai près du lit.

 

-papa!

-hm?

-je ne peux pas dormir

-c'est normal tu es bouleversée

-je peux rester près de toi?

 

sans attendre sa réponse je me glissai sous la couette. Papa me tournait le dos

 

-prends moi dans tes bras papa s'il te plait

-tu n'es plus un bébé tu n'as quand même pas peur toute seule!

-s'il te plait papa

-bon allez viens, mais tu dors tout de suite d'accord?

-bonne nuit petit papa chéri

-bonne nuit ma puce

 

papa se mis sur le dos et m'ouvrit les bras dans lesquels je me précipitai, la tète sur son épaule. Il était torse nu mais je n'y voyais pas  malice, il faisait très chaud cette nuit là.

Quelques minutes plus tard, un léger ronflement me permit de comprendre qu'il dormait et je finis moi même par somnoler.

 

Il faisait toujours nuit lorsque je me reveillai. Papa sétait de nouveau tourné sur le coté et j'étais contre son dos. Ma robe de nuit était remontée sur mon ventre et les plis qu'elle formait la rendaient inconfortable. En voulant la tirer sur mes cuisses je touchai accidentellement les fesses de papa. Je reçus comme une décharge électrique! papa n'était pas torse nu comme je l'avais pensé, mais tout nu. Il n'y avait pas le moindre doute, Ce que ma main venait d'effleurer était bel et bien une fesse nue. Immédiatement je m'écartai, mais, comme attirée par un aimant, ma main revint doucement froler le derrière de papa. Malgré la peur intense qui m'avait prise d'étre chassée du lit paternel, je ne pouvais pas m'empècher de suivre le contour de cette demi sphère si chaude et si douce à la fois. Je n'avais jamais ni vu ni touché un autre derrière que le mien et a fortiori celui d'un garçon.

 

Les mots de maman me sautèrent à la figure,:" une homme, un vrai". Bien sur malgré mon jeune age je savais qu'un homme avait un zizi là où moi j'avais un abricot. Bien que n'en ayant jamais vu,je savais aussi à quoi ressemblait plus ou moins le zizi en question. Mais ici, dans ce lit, je me suis surprise à penser que de l'autre coté de ce cul devait se trouver le sexe de papa aussi nu que ses fesses. Le voir pour comprendre ce que maman avait voulu dire devient une obsèssion, mai allumer la lumière et tirer le drap était impensable. Je me rendormis la main toujours posée sur la fesse chaude et ferme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : inceste - Communauté : inceste
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