Lundi 19 mars 1 19 /03 /Mars 06:09

Depuis plus d'un an, les fessees sont de retour dans ma vie. Seules les orties de cette salope de Ginette n'ont plus été utilisées. Christine en reçoit de moins en moins pour la bonne raison que je les prends souvent à sa place. Papa parle ouvertement devant nous de celles qu'il inflige à maman, mais, avant de passer à l'acte il nous envoit toujours, ma soeur et moi, dans notre chambre.

Ma jeune vie sexuelle a pris l'orientation gay. Même si j'aime bien voir une fille nue, je suis toujours puceau mais loin d'être vierge du derrière. Marc, puis Jean, puis d'autres copains ou freres de copines de Christine ont visité et se sont épanchés abondament dans mon cul.

 

Ce soir, l'ambiance est lourde comme du plomb à la maison. Le diner s'est passé dans un silence impressionant. Maman a les yeux aussi rouge que mes fesses. Elle pleure depuis son retour du jardin où elle a du avoir une discution orageuse avec papa. Christine et moi nous lançons des regards en cachette. Nous savons ce que cette athmosphère signifie. Il fait chaud en cette fin aôut et c'est   avec une presque parfaite coordination que l'orage éclate aussi bien à l'extérieur qu'au salon.

 

-Cesse de pleurnicher, il fallait réfléchir avant!

 n'osant regarder son mari dans les yeux, maman balbutie une excuse:

- Je ne l'ai pas fait expres, c'est un hazard.

- C'est un hazard si tu es allée justement aujourd'hui dans ce magazin où tu ne mets jamais les pieds et justement au moment où lui aussi y était? tu te moques de moi en plus!

-chéri je te jure...

-Arrete de me mentir! Quel bel exemple tu donnes à nos enfants!

-Ils n'étaient pas là, ils ne savent rien

- Si je l'ai su le jour même, ils ne tarderont pas à le savoir aussi et j'aime autant que ce soit par moi que par un étranger qu'ils l'apprennent.

- Je t'assure qu'il ne s'est rien passé

-Menteuse! Non seulement tu me trompes mais tu me prends pour un imbécile?

-..................

Dans le jardin, les éclairs et le martellement de la pluie marquent chaques phrases échangées par nos parents. Maman est en larmes, j'ai de la peine pour elle et c'est avec apréhension que j'attends l'ordre de papa de rejoindre ma chambre. Je n'ai jamais vu mon géniteur aussi rouge de colère.

 

Papa la pousse au bout de son mensonge, elle s'embrouille dans ses excuses, se contredit, bafouille, elle fini par se lever et tente de sortir du salon mais papa l'attrape par le poignet et lui fait faire volte face.

 

-Reste ici. Je n'en ai pas fini avec toi. Tu vas payer par où tu as pèché.

 

Il ne nous regarde pas. A-t'il oublié notre présence? Chrisitine et moi nous faisons tout petits ce qui est un exploit en considération du fait qu'en un an j'ai poussé comme une mauvaise herbe et que ma soeur a développé une paire de fesses et une poitrine semblables, maintenant à celles de maman.

Perdu dans mes pensées, je sursaute lorsque l'ordre claque comme le tonnerre.

-retire ta jupe et ta culotte

-Chéri!!!!!!!

-Ne discute pas

-mais...... les enfants!

-Quoi les enfants? Si tu montre ton gros cul à un étranger, ils peuvent bien le voir eux aussi

-Non, pas ça, s'il te plait. C'est déjà bien assez qu'ils sachent

-Oui ils savent que je te fesse quand tu le mérites, oui ils savent qu'une faute doit être punie à n'importe quel age, et alors?

- Je ne peux quand même pas me déculotter devant eux!

- Il y avait du  monde dans le magazin quand tu as embrassé à pleine bouche ton amant, alors estime toi heureuse qu'il n'y ait que Christine et Michel qui voient ton gros cul rougir ce soir

-Non, je n'accepterai jamais de me montrer nue à mon fils!

-Il a presque 16 ans, ce ne sera pas le premier cul qu'il verra. Fin de discution, retire jupe et culotte ou je te les arrache de force.

 

Eclatant en sanglot, maman fini par céder. Elle nous tourne le dos et dégraffe sa jupe qui tombe sur le carrelage. Elle a une jolie culotte fleurie qui lui moule les fesses.

 

- la culotte aussi ais-je dit!

 

Elle a tout le mal du monde à obéir. Ses mains sont posées sur l'élastique mais elle ne se résout pas à baisser le dernier rempart de sa pudeur.Cette hésitation met papa hors de lui. Brutalement il tire sur le chemisier faisant voler quelques boutons,et l'envoit rejoindre la jupe. Puis, avec ce qui me semble être un sourire sadique, fait subir le même sort à la culotte. L'élastique n'a pas résisté. C'est un chiffon déchiré que papa jette loin de lui.Maman a plaqué ses mains sur son derrière. Geste bien inutile, les fesses sont si grosses que les doigts grassouillets n'en cachent pas le quart.

 

- Penche toi, pose les mains sur a table, tends ton cul, ecarte les cuisses.

 

Les ordres tombent sechement papa si distingué d'habitude, semble prendre un malin plaisir à utiliser un langage de charretier.maman est complètement vaincue, elle obeit comme une automate sans plus se soucier de nous qui ne perdons pas une miette du spectacle. Comme l'année dernière, papa s'est placé de coté. Est-ce pour mieux battre le cul de maman ou pour mieux nous le montrer je ne le saurai jamais. la fessée commence par des claques sonores. Chaque fois que la main paternelle quitte le fessier, elle laisse sa signature en rouge sur la blancheur du cul.Je compte 100 claques plus ou moins espacées, plus ou moins rapides suivant l'envie de papa. Maman ne crie pas mais je comprends aux mouvements convulsifs de son dos qu'elle sanglotte silencieusement.

 

Tout comme lorsque Christine et moi étions cachés sur la mezzanine, papa délaisse les grosses fesses ecarlates pour aller fouiller dans un tiroir de son secrétaire. Il en revient avec le martinet que je ne connais que trop bien, mais aussi avec une regle carrée de 50 cm de long. Quand il pose la règle sur la table, à coté des mains de maman, celle-ci sursaute violement.

 

- Non, pas ça! tu sais que je ne la supporte pas.

-Tais toi, ce n'est pas te donner du plaisir que je veux faire

 

Le martinet s'abbat sur le dos tendu, juste sous l'attache du soutien gorge.De surprise , maman a crié cettte fois. Se ravisant soudain, papa cale le manche du martinet sous son bras et s'applique à dégraffer le dernier vêtement de maman qui va rejoindre les autres.  papa se recule un peu et reprend la correction. Cette fois, c'est à hauteur des épaules que les lanières mordent. Il fouette systématiquement, posément; chaque coup est un peu plus bas que le précédent.

 

j'ai placé mes mains sur ma braguette pour cacher la bosse qui s'y est formée dès l'apparition du gros cul maternel. chrisitine se penche sur mon oreille et me chuchotte:

-Inutile de te cacher, papa aussi bande. Tu ne l'as pas remarqué?

 En effet, Hypnotisé par la correction, je n'avais d'yeux que pour le cul exposé. Mais ma soeur à raison, le pantalon de papa est gonflé.

 

Les lanières sont maintenant au creux des reins de maman, chaque coup lui arrache un cri. Tout le dos a pris la même couleur que le cul: rouge brique. La cadence ralenti au fur et à mesure que les coups arrivent sur les fesses. Celles-ci ont droit à un traiement de faveur. Ce n'est plus une cinglade en travers du tout. papa s'occupe alternativement d'un globe puis de l'autre. Il faut bien reconnaitre qu'il y a la place!

 

Arrivé au bas des fesses, papa change de tactique. Il a écarté les pieds de maman , lui ouvrant grand les cuisses. Il change de place entre chaque coup. le martinet s'enroule sur la jambe, puis papa se place de l'autre coté et marque l'autre jambe pour la symétrie. Il va ainsi jusqu'a creux des genoux. Depuis que la peau laiteuse des cuisses rougit, ce ne sont plus des cris mais des hurlements qui s'échappent de la bouche de maman. Elle ne peut plus tenir. Ses jambes lachent. Elle tombe à genoux, la poitrine posée sur le marbre de la table. papa la contourne, se place devant elle.

 

-Ecarte tes fesses des deux mains!

-...........

-allons j'attends!

- tu... ne . vas quand ...meme pas......

-oui, là aussi tu vas le recevoir et ce ne sera pas fini pour autant.

 

convaincue que rien ne le fera fléchir, maman prend ses grosses fesses martyrisées et les écarte. Je ne regarde pas son minou ouvert, je n'ai d'yeux que pour l'anus brun, plissé.

 

-Dix coups là avant de terminer par ta laiterie!

 

Il lui laisse quelques secondes le temps de bien réfléchir à la douleur qu'elle va ressentir puis abbat de toute sa force les lanière entre les fesses. Je m'y attendais, et pourtant  le vagissement de douleur me fait sursauter.

Papa énumère les dix coups. Une fois de plus il prend son temps entre chaque cinglade.

 

-Retourne toi maintenant et redresse toi.

 

Complètement anéantie, maman obeit sans discuter. Son ventre tombe sur son minou le cachant à moitié, mais je n'en suis pas frustré. Je m'avoue que c'est surtout son cul qui m'a plu.

Papa pince les tetons. Pas méchament, juste pour les faire durcir. Il a mis les mains de maman derrière sa tête.l'oblige à se cambrer. D'une main il la maintient dans cette position, de l'autre il se saisit de la règle.

maman n'a plus la force de protester, ce seront 5 coups de regle sur chaque tétines qui termineront la correction.

 

-Au lit, les enfants! Et, Michel, ..... passe par les toilettes avant de te coucher, cela évitera de salir tes draps

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : Les amateurs de Fessées
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