Mardi 1 juillet 2 01 /07 /Juil 05:48

C'est une sensation de vide qui me reveilla le lendemain matin. J'étais seule dans le grand lit. Il me fallu plusieurs minutes pour me convaincre que je n'avais pas rèvé, que j'avais réellement toucher les fesses nues de papa pendant la nuit. En sortant de la chambe, j'entendis le bruit de la douche et me dirigeai vers la porte de la salle de bain. J'imaginais papa tout nu sous le jet d'eau chaude, ses fesses nues ruisselantes et cette chose qui faisait de lui un homme, vrai ou pas, qui devait se balancer sous son ventre. Je me penchai pour regarder par le trou de la serrure mais la buée et l'etroitesse du l'ouverture ne me permirent pas de voir quoi que ce soit. Je restai là torturée par l'envie de savoir. Qu'avait voulu dite maman par "un homme, un vrai"? Toute à mes pensées je ne remarquai pas de suite que l'eau avait fini de couler. C'est le son caracteristique du rasoir électrique de papa qui me ramena à la réalité. Je réfléchi que, vu la disposition de la salle de bain, papa devait etre juste devant la porte. Je recollai mon oeil à la minuscule ouverture. A l'intérieur, la vapeur s'était un peu dissipée. J'apperçu un peu de mon papa chéri. Il s' était enroulé dans une serviette. J'en pleurai presque de déception. j'aurais voulu être une fée ayant le pouvoir de faire disparaitre le bout de tissu pour voir ces fesses qui m'avaient tant toublée cette nuit.

Papa avait fini de se raser, il n'allait plus tarder à sortir.  Je devais me sauver en vitesse si je ne voulais pas me faire surprendre. A contre coeur, je quittai mon poste d'observation et descendis dans la cuisine sans prendre la peine d'enfiler une robe de chambre sur ma robe de nuit de gamine qui, déjà courte d'origine, avait encore perdu un peu de sa longueur avec tout les plis et faux plis créés par ma nuit agitée.

 

Toute petite que j'étais, je savais déjà préparer le café, ce que je fis en rèvassant.

 

-Bonjour, Claire, tu es déjà levée!

-Heuu,........ oui, je......je ne pouvais plus dormir, papa

-je t'ai réveillée en sortant du lit?

-non,non, je me suis réveillée seule. Je t'ai préparé ton café.

-tu es une gentille petite fille, je suis certain qu'il et très bon. 

 

Papa s'est penché pour déposé un bisou sur ma tète. Je me rappelerai toute ma vie l'odeur de son eau de toilette dont il avait du s'asperger avant d'enfiler son peignoir.

 

J'étais assez grande pour me servir du percolateur, mais encore trop petite, pour atteindre l'armoire suspendue dans laquelle maman rangeait les tasses. J'essayai néanmoins d'y parvenir. Etirée, sur la pointe des pieds, ma main arrivait à peine à la poignée de la porte.

 

-laisse mon bébé. Je vais le faire. Tu es encore trop petite!

-désolée, papa, j'aurais voulu te servir ton café. C'est moi la femme de la maison maintenant.

-oui, ma chérie.

 

Papa s'était approché et par dessus ma tète il avait ouvert l'armoire et sorti tasses et bols pour notre petit-déjeuner. Un bref instant, il avait été collé contre mon dos. Je me traitai mentalement d'idiote. Si je m'étais retournée à ce moment j'aurais peut être pu effleurer, au travers de son peignoir, ce que je voulais tant découvrir depuis cette nuit.

Quand il s'écarta de moi et que je lui fis face, je le trouvai tout rouge, comme s'il avait courru  en plein soleil.

Après le petit déjeuner vient le moment le plus délicat. C'était toujours maman qui m'avait donné mon bain le samedi matin, qui, chaque jour, me préparait mes vètements, me coiffait; et, depuis 3 jours, me mettait la paumade que le docteur avait prescrit pour soigner un vilain bouton sur la fesse.

 

-Papa! tu vas devoir remplacer maman, maintenant?

-Heu oui mais pourquoi me demandes tu celà?

-je peux faire couler mon bain toute seule? je te promets, j'attendrai que tu sois là pour entrer dans la baignoire.

-Tu ne sais pas encore prendre ton bain toute seule?

-Maman ne veut pas, elle dit que c'est trop dangereux, qu'il y a plein d'enfants qui se sont noyés dans leur bain.

- et toi, ...tu.....tu...penses que tu es trop petite?

 

Papa était devenu encore plus rouge que quand il avait pris tasses et bols dans l'armoire. Je lui expliquai que maman me surveillait dans le bain tout en se préparant elle-même. Elle avait tout une panoplie de crème, d'huile, d'onguant qu'elle se passait sur tout le corps pendant que je barbotait dans l'eau; et que, de ce fait, je n'avais jamais pris de bain sans surveillance.Papa rétorqua qu'il avait déjà fait sa toilette, qu'il ne savait pas......

Plus il essayait d'échapper à la corvée bain, plus il s'embrouillait, bafouillait , rougissait.

 

-De toute façon il faudra bien que tu sois là pour mettre la paumade sur mon bouton. Le docteur a dit 7 jours de suite et il n'y en a encore que 3. Tu vas chercher mes habits et je prépare le bain d'accord?

 

A court d'argument, papa dût bien se résoudre à  passer par cette corvée. Je me rendis dans la salle de bain et ouvris en grand les robinets. J'étais toute nue quand il revint près de moi, et lui, de plus en plus rouge. Je remarquai vite qu'il faisait tout pour ne pas me regarder, mais dans une pièce aussi exigue, il était impossible de l'éviter. 

 

-L'eau est prète, papa, tu m'aide à entrer dans la baignoire?

-Je te tiens la main?

-non, tu me soulèves et tu me dépose dans le bain

 

Je lui tendis les bras. Quand il me souleva la pointe de mon pied entrouvrit son peignoir accidentellement. Il vait bien sur les deux mains prises pour me deposer dans la baignoire et n'a pas pu refermer son vetement avant que j'entr'appercoive une touffe de poils entourant une sorte de tube rose. j'étais toujours sous l'effet de ma découverte nocturne  et, s'il faut en coire les spécialistes, il n'y a pas plus curieux qu'une petite fille

 

-C'est toi qui va me laver maintenant que maman nous a abandonné?

-tu es grande assez pour te laver toue seule tu ne crois pas?

-je ne saurais jamais me laver le dos toute seule , papa!

-d'accord pour ton dos, mais tu te débrouille pour le reste.

- après mon bain, tu me mettras la crème sur le bouton?

-Claire!!!!!! heu pardon je n'avais pas bien compris, maman m'a parlé en effet de ce vilain bouton mais elle ne pas dit où il était.

-hi hi, il est caché tu vas devoir le chercher

-non n'exagère pas

-s'il te plait papa, maman jouait toujours a chercher le bouton

-Ca suffit, lave toi que je te sorte du bain, je dois aller m'habiller. Tes vetements sont près sur ton lit.

 

Une fois lavée, les puissants bras paternels me sortirent de l'eau puis me frictionnèrent avec une grande serviette.

Papa me recomanda de bien éponger mes cheveux et de les peigner avant de sortir de la salle de bain, puis, sans un regard, il s'en alla vers sa chambre pour se vetir.

Il faisait déjà chaud ce matin là et c'est toute nue que je me dirigeai ver ma chambre. En passant devant la porte de papa, je fus prise d'une irrésistible envie de coller mon oeil à la serrure. Ce que je vis me mis littéralement en transe.  Papa était allongé ur son lit, ausi nu que moi, et d'une main vigoureuse il massait le tube a peine appercu plus tot. Tube qui avait énormément grandi et dont le bout, qui dépassait par intermitence de la main paternelle, de rose avait viré au violet.

 

Par mienstring - Publié dans : inceste - Communauté : inceste
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