Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 06:28

 

Aurélie et Jean viennent de plus en plus souvent passer la journées avec nous. Andrée, leur maman et amie de la notre, les dépose le matin et vient les rechercher dans l'après-midi.

 

Je suis devenu leur esclave. Dès qu'Andrée est partie, je dois me mettre nu avec juste un tablier qui couvre mon ventre et se noue au dessus des fesses, laissant tout le coté pile a l'air.

 

Entre Christine et Aurélie, c'est à celle qui trouvera le meilleur moyen de m'humilier. Et, bien sur, Jean n'est pas en reste. Il n'y a pas de visite de nos amis sans que mes fesses rougissent sous la main de l'un ou l'autre, ni sans que mon cul ne soit perforé.

 

8 heures

 

ILs vont arrivés. Je suis encore en pyjama. Hier, maman a encore été fessée, et je n'ai pas pu dormir avant tard dans la nuit.

J'entends la voiture d'Andrée. maman lui a confié une clé de la maison, elle n'a même plus beoisn de sonner à la porte.

Je me précipite dans ma chambre, laissant à Christine le soin d'accueillir nos amis. Je ne peux paraitre devant mes tortionnaires qu'habillé du fameux tablier.

 

8 heures 30

 

Caché sur la mezzanine, j'ai vu Andrée quitter la maison. Sa robe est encore plus courte que d'habitude. Si maman osait montrer autant de ses cuisses, papa ferait une attaque.

 

-Michel! Descends, apporte nous de la limonade et des verres sur la terrasse.

-j'arrive tout de suite

-dépêche toi, nous n'aimons pas attendre

 

Quand j'arrive  sur la terrasse, ils sont déjà installés. Jean sur une chaise de jardin, les filles allongées dans des transats. Je suis un peu plus habile avec un plateau, mais cela reste difficile de marcher sur les genoux sans renverser la moindre goute.

 

-aujourd'hui, nous jouerons à l'école

-qui sera l'institutrice?

-ou l'instituteur!

-tirons au sort. Michel vas chercher 3 petites fiches en carton, 3 carnets et 3 crayons.

 

Bien sur, je n'ai aucune chance d'etre désigné comme instituteur. je suis exclu du tirage. Jean se charge d'écrire les 3 noms et de désigné "au hazard" celui ou celle qui guidera la "classe".

C'est Aurélie qui gagne. je suis convaincu que son frère a fait ce qu'il fallait pour celà. Dictée, calcul, récitation suivent. la première faute vient de ma soeur. J'arrète de respirer. C'est inatendu.

 

-Christine, vous ne connaissez pas vos leçons. Je vais encore devoir vous punir. Venez au tableau!

_Mais, madame!

-il n'y a pas de mais! venez ici, relevez votre jupe et baissez votre culotte!

- Madame! pas devant la classe!!!!!

-Et pourquoi pas? C'est bien le sort qui attend les autres élèves aussi

 

Si j'ai déjà vu le cul de ma soeur, en revanche, Jean ne le connait pas encore et une fois de plus, je suis certain que tout celà a été règlé entre sa soeur et lui.

Bonne joueuse, Chrisitine se lève de sa chaise et approche, tête baissée de sa copine. Elle hésite à peine à relever sa courte robe et à baisser sa culotte. Comme maman, elle a un gros cul tout blanc.

 

- Ce sera 5 claques sur vos fesses et 5 minutes au coin cul nu.

-...........

 

Assis juste à coté de jean, je remarque la tension qui gonfle son jeans. Les claques ne sont pas fortes, les fesses de Chrisitine rosissent à peine, mais leur balottement fait son effet dans nos slips.

 

9 heures

 

Le "cours" continue mais il nous est difficile de nous concentrer avec le gros cul de ma soeur sous les yeux.

 

-Retournez à votre place.

-Merci  madame

- Jean, quelle est la racine carrée de 256?

- heu...... 14?

- Vous êtes un ane. Venez ici apprendre à compter.

 

Un large sourire aux lèvres, jean s'approche de sa soeur et sans attendre l'ordre, baisse jeans et slip en un seule mouvement. Ca ne doit pas lui déplaire de montrer son cul aux filles qui de toutes façons, l'ont déjà vu a suffisance quand il m'enculait.

les 10 claques, sont appliquées un peu plus fermement. Cette fois, la main d'Aurélie reste dessinée en rouge sur les fesses du "puni"

 

10 heures 30

 

Chacun à notre tour, nous avons subi la colère de notre institutrice. Chacun est passé 3 fois par la fessée et la mise au coin. je suis le seul à ne pas avoir du me déculotter, vu ma tenue. Ma soeur propose un bain de soleil en guise de récréation. Acceptation de tous. Les filles s'installent sur les transats, sans fausse pudeur, elles ont retiré leur robe et se font bronzer en culotte et soutien gorge. C'est la première fois que je vois Aurélie en si petite tenue et, quand elle m'appelle pour lui enduire le dos d'ambre solaire, je ne peux cacher une érection qui gonfle mon tabler. A genoux à coté de son transat, je passe timidement l'huile sur le dos déjà bien brun, évitant de toucher les bretelles du soutien et plus encore le bord de la culotte sans y parvenir complètement. Elle n'a rien remarqué! Jean rend le même service à ma soeur avec beaucoup moins de réticence. je vois du coin de l'oeil ses doigts glisser sous l'elastique et rester dans la culotte bien plus longtemps et bien plus profondément que nécessaire.

 

11 heures

 

Les autres se prélassent et papottent sans s'occuper de moi. Je suis un peu déçu. 3 petites fessées, même appliquées plus sévèrement que pour Chrisitine et Jean, ce n'est pas beaucoup. J'èspérais plus d'érotisme. Enfin j'ai  vu les fesses de jean toutes nues. Jusqu'à ce matin je n'avais vu que son zizi quand j'avais du le nettoyer après qu'il m'ait solidement enculé.

 

-Michel, tu as taché ma culote!

 

Je sors brutalement de ma rèverie. j'avais déjà oublié cette petite goute d'huile solaire qui avait laissé une trace ocre sur le bord de cette culotte que je n'avais pas osé soulever. Aurélie s'est redressée, elle va s'asseoir sur une des chaises de jardin et me désigne ses cuisses sans un mot. Cachant mal ma précipitation, je m'installe pour une fessée qui, cette fois sera plus sévère. Je ne me trompais pas. La main d'Aurèlie se fait plus lourde. Elle fesse vite. Ses claques sont rapides. En quelques secondes, mon cul me brule. Je ne peux me retenir de crier et les larmes coulent sur mes joues. A l'étage du dessous, la fessée provoque la réaction habituelle. Ma soeur et Jean le remarquent et ne se privent pas d'en faire le commentaire tout en riant aux éclats.

 

11 heures 20

 

Je suis au coin sur la terrasse. Mes fesses me piquent mais j'ai interdiction de me les frotter.

 

- Qu'est- ce qui se passe ici? A quoi jouez vous? Quelle tenue indécente!

 

Andrée est entrée,  plus tôt que prévu et sans que nous l'entendions ouvrir la porte.

 

- J'exige une explication, Aurélie, Jean, pourquoi Michel est il dans cette tenue ridicule au coin?

 

Je n'ose me retourner, mon zizi est toujours dressé sous mon tablier. Même la honte de ma situation ne le fait pas redescendre. C'est jean qui vient au secours de sa soeur.

 

-Michel a pelotté les fesses d'Aurélie sous pretexte de lui mettre de l'ambre solaire, maman.

-Mais.... Ce n'est pas vrai! je n'ai rien fait de tel!

-Si, maman, la preuve, regarde il a mis de l'huile sur ma culotte.

-Et bien, c'est du propre! Ta maman va te corriger comme tu le mérites quand elle rentrera, mais en attendant, tu vas déjà avoir un avant gout. Je ne veux pas savoir pourquoi tu es sans short ni slip, ni pourquoi ce tablier ridicule, mais puisque ton cul est tout nu, je vais en profiter. Viens ici

 

Cette fois, ce n'est plus un jeu. Andrée est furieuse et à 3 contre un il est inutile que j'essaye de me disculper. je me retourne, les mains devant le ventre. Andrée est assise sur une chaise. je m'approche d'elle en traînant les pieds.

 

- Un peu plus vite, ne me fais pas attendre. Mets toi sur mes genoux, je vais t'apprendre ce qu'il en coute de toucher aux fesses des jeunes filles!

 

A peine suis-je à portée de ses mains qu'elle m'agrippe par le bras.

Une traction dans mon dos: elle a dénoué le tablier.

Mon bras est irresistiblement  tiré vers le sol. je perds l'équilibre et me retrouve en travers des cuisses de cette femme furieuse.

Seules mes mains et la pointe de mes pieds touchent le sol. Elle m'a positionné pour bien tendre mon gros cul.

Le temps s'est arrèté. derrière moi, les 3 autres ne pipent mot, mais je devine leur souire sadique.

Une main frole le bas de mes fesses, elle les pince comme pour en tater la resistance.

 

-Ainsi, jeune homme, vous vous permettez de pelotter le derrière des filles!

-...............

-payez en le prix maintenant!

 

la première claque tombe, sous la fesse, là où ça fait le plus mal.

Elle prend son temps, vise consieusement l'endroit qu'elle veut atteindre et claque d'une main ferme qui trahit une grande experience de la fessée.

Une fesse après l'autre, partant du bas et remontant vers mon dos, Andrée me rougit le cul.

Je crie, je pleure, mais chaque sanglot s'échapant de ma gorge provoque un rire et un encouragement .

 

- vas y maman, tanne lui son vilain gros cul pour lui apprendre! 

 

j'ai beau gigotter comme un poisson au bout de la ligne, elle arrive toujours a toucher l'endroit qu'elle vise.

 

- on voit ses couilles! Le faux-jeton ce Jean! comme s'il ne les avait jamais vues, mais sa remarque declenche une nouvelle série d'éclats de rire, même chez  sa mère.

 

La fessée n'en fini plus, j'ai mal comme jamais. Arrivées au dos, les claques repartent vers les cuisses puis remontent. Je n'ai plus la force de gigotter.toute mon attention est concentrée sur la peur panique qui me prend: elle doit sentir l'état de mon zizi et je sens la crisption que je connais bien anonciatrice d'éjaculation.

Andrée n'en a cure. ou alors le contact de mon jeune sexe avec ses cuisses ne lui déplait pas.

Je pense très fort: pourvu qu'elle arrète à temps!

pourvu qu'elle arrète à temps!

pourcu qu'elle..........

trop tard, je n'ai pu me retenir. Par sacade, mon sperme quitte mes couilles pour maculer les cuisses d'Andrée.

La fessée s'arrète. Les 3 autres sont morts de rire.

- Chrisitine! celà lui arrive t'il aussi quand ta maman le fesse?

-oui madame

-Que fait elle dans ce cas?

-Elle lui fait relècher, je crois.

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : fessées publiques
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Vendredi 9 mars 5 09 /03 /Mars 06:22

20 heures

 

-les enfants, allez dans votre chambre et restez-y!

-mais papa , il n'est que 20 heures!

-cesse de discuter, Christine. J'ai à parler avec votre mère et celà ne vous regarde pas.

 

J'avais bien senti un froid glacial entre papa et maman pendant le dîner, mais je ne pensais  pas que papa voudrait percer l'abcès si tôt. Ma soeur et moi echangeons un regard et nous montons vers nos chambres.

 

-et que les portes soient fermées sinon garre!

 

Je n'ai aucune intention de prendre de risque. Quand papa a cette voix là, mieux vaut ne pas laisser trainer ses fesses à portée de sa main. Je m'enferme donc, mais reste l'oreille collée à la porte. Ca discute ferme en bas. J'entends à peine maman, par contre, papa ne cherche pas à baisser le ton. Une colère comme celle-ci, je ne me souviens pas en avoir vue une!.

 

-cesse de me prendre pour un idiot, on t"a vue!

-..........

-inutile de supplier, c'était avant de me ridiculiser qu'il fallait y penser

-...........

 

Impossible de comprendre les réponses de maman, mais la dernière phrase de mon père me laisse deviner la raison de l'altercation.

 

20.30 heures

 

Ca fait une demi heure que le sermon paternel a commencer. Plusieurs fois, le mot "string" est revenu. Je ne vois pas en quoi une ficelle, même anglaise, peut provoquer une telle colère.

 

-ca suffit comme celà! je vais t'arranger le cul de telle sorte que tu n'ais plus du tout l'envie de le montrer!

 

C'est donc celà! Papa est furieux pour une queston d'habillement. Maman aura du mettre une robe trop courte à son goût. Pourtant l'été est très chaud, il devrait comprendre. Moi ce que je comprends, c'est que maman va être fessée. J'aimerais tant être une souris pour me glisser discretement sur la mezzanine et assister au spectacle. J'imagine, la robe de maman remonter sur ses cuisses, son derrière, son dos; puis passer par dessus sa tête. Je la vois, en culotte et soutien gorge.

Papa doit lui faire enlever le reste. Elle doit être seins nus maintenant. Dans ma tête, la culotte descends lentement devoilant petit à petit le gros cul blanc.Elle est toute nue. Mon imagination a fait monter mon zizi à son paroxisme. Je le libère de la prison de mon slip.

-le martinet n'a pas été une leçon suffisante. On va voir si tu goûtes mieux ceci!

-..........

 

long silence. je percois juste les sanglots  d'une maman que j'imagine nue, appuyée sur la table de salon, les grosses fesses tendues. Je rêve. Le bruit du premièr coup directement suivi du cri de douleur me fait sursauter. C'est parti! Je me demande avec quoi il la punit. L'autre fois, maman n'a crié que vers la fin de la fessée. Ce soir c'est après chaque coup.

Elle crie de plus en plus fort, sans se soucier que ma soeur et moi ne pouvons pas ne pas l'entendre. Je compte. A chaque cri ma main fait un va et vient sur mon sexe. Stupidement je pense à Marc et à Jean. Ce serait si bon de regarder le spectacle du salon avec le vit de l'un ou de l'autre dans mon derrière! J'ai perdu le compte. Est-ce 20 ou 22 coups? peu importe, je sens un chatouillement que je connais bien monter du bas de mon ventre.

Maman crie sans discontinuer. C'est à peine si je distingue encore le son de la correction elle-même.Le rythme a du s'accélérer, et ma main a suivi la cadence. Le cul tout rouge de maman danse devant mes yeux, c'est vers lui que je lance des jets de sperme. La porte de ma chambre est devenue le cul maternel et je l'arrose abondament.

 

21 heures

 

Maman ne crie plus. Elle gémit. papa souffle comme une forge.J'essuye tant bien que mal les trainees qui maculent la porte de ma chambre. Ma nuit va être encore très agitée.Je me jette , nu, sur mon lit.

 

22 heures

 

le sommeil ne vient pas. je suis de nouveau dressé. En fait je n'ai même pas débandé. Les parents sont montés, ils doivent faire l'amour, mais de ma chambre je ne peux rien entendre. Christine me dira demain.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : fessées publiques
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 06:46

-Michel, va ouvrir c'est surement Andrée

-oui maman

C'est la poisse! Avec les enfants de l'amie de maman dans les pieds, nous ne pourrons pas reprendre nos jeux d'hier, ma soeur et moi. J'espère qu'ils repartiront tôt. Ca va être journée de m....

 

-Bonjour, madame, entrez, maman va descendre tout de suite

 

3 personnes, 3 contrastes. Andrée est filiforme, platte pas de cul ni de seins. Aurélie est du même gabarit avec juste un peu plus de nichons, Jean me depasse d'une bonne tête, tout en muscle.Chez nous, maman met du 100d, (je suis allé voir dans sa commode), elle a un gros cul qui continue a hanté mes nuits depuis que j'ai vu papa la fesser; Christine a les mêmes formes que maman mais seulement un 90b pour ses soutiens, et moi je suis toujours asez petit pour mon age et tout rond.Je ne commencerai à grandir que dans un an mais cela je ne le sais pas encore.

 

maman papote avec son amie et nous, nous sommes installés sur la terrasse qui surplombe un peu le jardin derrière la maison. Les filles se sont embrassées et nous ont vite oubliés. Jean et moi sommes un peu gènés. Nous ne nous connaissons pas et j'ai toujours eu difficile à lier des contacts. C'est lui qui prend la direction de notre conversasion

 

-Ca va avec ta soeur?

- bof, oui et non, elle est ch.... comme toute les filles

-oh je connais celà, la mienne ne s'occupe que de son apparence. Elle veut se faire tout les garçons qui passent à sa portée.

- ta mère ne vous laisse jamais seuls chez vous?

-non, elle a trop peur qu'Aurelie n'invite un copain.

-tu veux faire quoi pour passer le temps jusqu'au retour de ta mère? J'a  plein de bd si tu as envie

-les bd c'est pour les bébés, tu n'as pas le dernier numéro de Play Boy?

 

-Les enfants! nous partons. soyez sages.

Un quadruple " au revoir maman" salue le départ des adultes. Les filles ne s'occupent pas de nous et je peux répondre à jean

 

-non, j'ai juste un vieux "lui" que j'arrive à planquer. Ma mère m'arracherait la peau des fesses si elle le trouvait.

- les "lui" je les ai tous vu, papa le recoit chaque mois par la poste et je sais où il les cache.

-tu as de la chance!

-oui mais ce que j'aimerais c'est en voir une en vrai à poils!

-t'as jamais vu ta soeur ou ta mère?

-non, nous avons chacun notre salle de bain, j'ai juste vu un peu du cul de ma soeur quand elle met un "taille basse" comme celui qu'elle a aujourd'hui.Et toi?

-je les ai vues à poils toute les deux

-??????? tu te fous de moi!

-non je t'assure, encore dimanche, maman a fessé Christine en oubliant que j'étais là, j'ai bien tout vu.

- de quoi discutez vous, les gaçons?

c'est jean qui répond, moi je suis paralysé avec les filles

- d'histoire de mecs  qui ne vous regardent pas.

-Michel! apporte nous une bouteille de limonade et des verres.

-t..tu...peux... aller toi même!

Je suis le premier surpris de mon audace. Jamais je n'ai osé répondre ainsi à ma soeur

 

- tu veux que je montre à Aurelie ce qui arrive quand tu désobéis?

-pourquoi, tu le punis quand ça arrive?

-bien sur! je suis l'ainée, ce n'est qu'un gamin qui a encore besoin de bonnes fessées.

 

Elles rient aux éclats. Tête basse, en trainant les pieds, je me dirige vers la cuisine et en reviens avec la boisson et les verres. les trois autres chuchottent en me lorgnant de temps en temps. Dès que j'arrive à portée d'oreille, ils se redressent et font les innocents. Je crains le pire! Je connais ma soeur, elle a surement encore prévu de m'humilier pour faire sa maligne devant son amie et son frère. Je tiens le plateau des deux mains, je connais ma maladresse. Au moment de le poser sur la table de terrasse, je sens mon short tiré vers le bas. Christine n'a pas attendu longtemps pour se faire valoir, mon slip a suivi jusqu'à mi hauteur des  fesses. Les 3 autres sont morts de rire quand une main que je crois reconnaitre me claque le cul.

-tu es contente de toi? ça t'amuse!

j'essaye vainement de remonter mon slip, mais ma soeur le tient par l'elastique et tire vers le bas encore plus que moi vers le haut. Je ne lui connaissais pas autant de force. D'habitude elle prend tant de soin de ses ongles!UNe courte lutte pour la pocession de mon slip, et je comprends mon erreur. Ce n'est pas ma soeur qui me devoile le derrière, c'est Jean! La bataille est perdue d'avance pour moi. Je ne peux rivaliser avec ce garcon sportif, tout en muscle.Je me retrouve completement deculotté.

-ta soeur nous dit que tu aimes les fessées! En guise de cadeau pour ton accueil, Aurelie et moi allons te faire plaisir

-Je le dirai à maman!

-ne t'inquietes pas, Jean, il n'osera rien dire. j'en sais trop sur ses aventures dans la ruelle derrière le cinéma.

Je suis plié en équerre, les bras retournés dans le dos, la tête coincee sous le bras de Jean.Bien malgré moi je pésente mon gros fessier aux filles. Il arrive à me tenir les deux mains d'une seule des siennes et ne tarde pas à utiliser l'autre. Chaque claque remonte la fesse qui l'a reçue.Je sens qu'il s'applique à toujours claquer à la même place. Très vite le cul me brûle. Il donne une dizaine de claque à gauche puis passe à droite pour revenir à gauche et ainsi de suite. Je dois avoir sa main marquée sur le cul. Le rythme ralentit. IL doit commencer à fatiguer. La main punisseuse, traine sur ma fesse, les doigts enveloppant le gras du cul. IL écarte.

Le rire des filles redouble quand mon anus est découvert

- wouaaaa le beau petit trou!!!

- mais... il n'a pas encore de poils ce bébé

 

Je comprends seulement  qu'en ecartant une fesse, Jean a aussi dévoilé mes petits testicules . J'ai honte de mon manque de pilosité.

 

- que voulais tu dire, Christine, par "ce qu'il fait dans la ruelle derrière le cinéma"?

- il joue à la fille pour un homme que je connais.

-tu veux dire qu'il.........

-oui oui tu as compris

- il lui fait.....tout??????

-bien sur, il parrait qu'il suce très bien et que son trou de cul est confortable. Hier je lui ai mis une carotte grosse comme ca! ensuite il l'a mangée.

-j'aimerais bien voir ça

-je peux arracher une autre carotte si tu veux

-non pas avec une carotte, nous avons mieux ici. N'est-ce pas , Jean?

- je ne peut pas le tenir et l'enculer en même temps!

-nous le tiendrons pour toi!

 

En quelques secondes, je me retouve maintenu par les filles, à genoux devant jean qui descend lentement la tirette de son pantalon. Il prend son temps. Defait sa ceinture et baisse ses vêtements. Quand le slip tombe, je suis un peu déçu. Son zizi, bien que raide, est loin d'égaler celui de Marc. Ma tête est poussée contre le ventre de mon fesseur. j'ouvre la bouche et m'apllique pour la carresse exigée. Il sent fort! Il entretient moins son hygiène intime que sa musculature. Est-ce la fessée donnée, l'excitation de s'exhiber devant Christine, ou la douceur de ma langue? Je ne le saurai jamais. Mais moins d'une minute après, une abondante giclée me rempli la bouche. j'avale aussi vite que je peux sans arriver à suivre le débit. Une vraie fontaine!

Derrière moi, j'entends ma soeur exprimer sa déception que ce soit déjà fini.

-Ne t'inquiètes pas, je l'ai vu souvent se masturber, il ne débande pas avant plusieurs éjaculations.

En effet le vit reste bien ferme sur ma langue.

Jean a du  faire un signe muet, car Aurelie et Christine me trainent vers la table et m'y plaquent la poitrine sur le bois rugueux, le cul tendu. Pas de préliminaire, ni carresse ni humidification de mon petit trou. La queue de Jean vient buter entre mes fesses et entre inexorablement en leur milieu. Ce n'est surement pas la première fois qu'il visite un cul! Il avance en moi d'une seule poussée et je sens ses couilles contre mes fesses.

 

Je suis resté tout nu jusqu'à 14 heures. Andrée a bien faillit nous surprendre. Heureusement elle n'a pas les clés et a dû sonner.

 

-Alors, les enfants, vous avez été sages? vous vous êtes bien amusés?

-oui maman, oui madame

-maman, pourrons nous encore venir? je me suis amusée comme une folle avec Christine!

-j'en parlerai à sa maman d'accord

 

 

-

Par fesseessurprises - Publié dans : Christine et ses amies - Communauté : Les amateurs de Fessées
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Samedi 3 mars 6 03 /03 /Mars 07:37

Seuls à la maison ma soeur et moi. Les parents travaillent encore jusque fin juillet. Interdiction de sortir, papa et maman telephonnent pour controler dix fois par jour.

 

Christine est encore en robe de nuit, moi j'ai déjà enfilé un short et un tshirt. nous lisons au salon, vautrés dans les fauteuils.

 

- tu as revu Marc? me demande subitement ma soeur

- c'est avec lui que j'étais hier après le lycée

- je m'en doutais. Et il t'a ....... repris?

- oui, comme dimanche, la fessée en moins.

 

silence, elle a déposé son livre mais me regarde sans rien dire. je me sens mal sous son regard. Nous restons ainsi 10 bonnes minutes.

 

- tu as bien dégusté hier avec maman

- tu sais ce que c'est tu y es passée aussi dimanche.

-montre!

-quoi?

-montre si ton cul est toujours marqué

-non, tu l'as assez vu comme ça.

-obeis vite ou je dis a papa ce qui t'a mis si en retard

-si tu fais celà, moi je lui dis ce que vous faisiez au cinéma

- allez, sois gentil! montre à ta grande soeur

 

Rien que l'idée de me deculotter devant elle provoque une réaction dans mon slip. je lui tourne le dos et releve mon t shirt

 

-voilà! c'est encore rouge?

-ton dos et tes cuisses, oui mais c'est ton cul que je veux voir

 

Le ton est redevenu autoritaire et je n'ai pas assez de volonté pour resister plus longtemps. je baisse un peu short et slip, dévoilant le haut de mon cul.

 

-baisse plus bas , je veux le voir en entier

Le son de sa voix est juste à mon oreille, je n'ai pas remarqué qu'elle s'est approchée.En un instant, ses mains ont baissé mes vetements. Plus besoin d'hésiter, elle a décidé pour moi

-on voit encore les marques du martinet, mais c'est moins uniformément rouge. On va jouer

-à quoi?

- à la maitresse et à l'esclave

- et bien sur ce sera moi l'esclave!!!

-oui, commence déjà par tout retirer , puis va me chercher une limonade. Et dépèche toi

 

Je passe la matinée nu comme un ver. Elle trouve toute sorte de tâche à m'ordonner,et, si je ne suis pas assez rapide ou pas assez adroit, la sanction est simple: 20 claques sur les fesses. A ce régime, mon cul reprend vite la couleur de la veille.

j'aime assez le rôle d'esclave. et elle excelle dans celui de maitresse.

 

Dans l'après-midi, suite à une erreur quelconque, je suis pour la nieme fois en travers de ses genoux, cul tendu. Mais cette fois elle ne me libére pas, elle me malaxe les fesses , les écarte, taquine mon petit trou d'un doigt inquisiteur.

Un contact froid avec mon anus. Je veux me retourner pour voir, mais elle me maintient la tete. Ce qu'elle a présenté à mon oeillet commence à entrer. C'est gros, dur,  peut etre meme encore plus imposant que Marc.Je ne résiste plus à la pénétration, au contraire, je pousse mon cul vers cet envahisseur inconnu. Ca passe d'un coup. J'ai l'impresion d'être déchiré, mais j'aime celà, et Christine ne manque pas de m'en faire la remarque.

-Ca te plait hein! sale petit enculé!

-Qu'est ce que tu m'as mis dans le cul?

- Tu verras quand je l'aurai enlevé. J'ai décidé de ne plus être ta soeur, mais ton frère.

Elle active dans mon derrière ce qu'elle y a entré. Le résultat ne se fait pas attendre plus de 5 minutes. Mon zizi qui est resté tendu presque continuellement depuis ce matin libère de longues giclées de sperme. Heureusement pour ma soeur, elle avait relevé sa robe de nuit haut sur ses cuisses pour me fesser.

-Tu sais ce qu'il te reste à faire!

- oui, je vais chercher un torchon pour essuyer

-non, ça c'est bon pour maman, avec moi ta langue remplace le torchon!

Comme la première fois, je me retrouve à 4 pattes occupé à lècher mes sécrétions sur le sol. A grande différence, c'est qu'aujourd'hui, je le fais avec un objet inconnu planté dans les fesses.

-nettoye aussi mes pieds et mes jambes, tu en as mis partout!

Je lappe et lèche comme elle me l'ordonne. arrivé à ses genoux j'ai de nouveau la vision de son minou ouvert. Il est trempé. Ses doigts s'ativent sur le clito. Une contraction, un cri. Elle a joui!

Nous restons un long moment sans bouger. Bien qu'ayant les mains libres, je n'ai pas osé ni eu l'envie de retirer ce qui envahit mon derrière. Une fois de plus c'est elle qui prend l'initiative:

 

-retourne toi que je libère ton gros cul de petite lope!

Je lui présente mes fesses. La sortie de l'indiscret est presque aussi douloureuse que son entrée mais est accompagnée d'une longue fuite de gaz.

 

-qu'est ce que c'est?

-regarde!

- une carotte? mais où as tu été chercher celà?

-imbécile, au jardin bien sur. Pour te punir de cette question idiote, tu vas la manger sans en laisser une miette.

- tu sais bien que je n'aime pas les carottes!

- celle-ci tu l'aimeras, elle a un gout tres spécial

- Ah non! elle est dégueulasse, pleine de caca!

- Mange, sinon je dis à maman que je t'ai surpris avec ça dans ton cul.

 

Une telle accusation aurait des conséquence terrible pour  mes fesses déjà bien fustigiées ces derniers jours, et je fini par obéir. Dégouté, au bord de la nausée, j'arrive néanmoins à croqué et à mâcher le légume.

 

-Je n'ai plus envie de jouer maintenant,vas t'habiller, je vais prendre une douche.

 

Quand maman rentre à 17 heures, elle nous trouve sagement assis dans nos fauteuils respectifs, un livre à la main.

 

-Bonjour les enfants, vous avez passé une bonne journée?

-Bonjour maman oui, Michel et moi avons lu tout le temps.

-C'est bien. Vous savez ce qu'il vous en couterait en cas de bètises! Demain, vous aurez de la compagnie!

-????????

-Mon amie,  Andrée, doit passer des examens à l'hopital, elle déposera Aurélie et Jean en partant et les reprendra dans l'après midi.

 

Aurélie est une peste, elle est un an plus jeune que Christine, mais elle sont amies depuis des années. Jean je ne le connais pas, je sais juste qu'il a le même age que moi.

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : Christine et ses amies - Communauté : la fessée pour le plaisir
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Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 10:45

- d'où viens tu à cette heure?

-du lycée, maman, je reconnais ne pas m'être trop dépèché.

- tu te moques de moi? je suis passée devant le lycée et j'ai suivi le chemin que tu dois prendre sans te dépasser.

-je ne sais pas, peut etre es tu passée avant ma sortie?

- Ca suffit, si tu penses t'en tirer par des mesonges plus gros que ton derrière, c'est à lui que je demanderai la vérité!

-..........

- tu n'as rien à dire?

-......

-c'est bon, viens au salon, nous allons règler celà.

 

M.... elle va voir que je n'ai pas de slip si elle me déculotte et ce sera ma fête

 

- j'ai joué avec un copain, nous ne sommes pas passés par le chemin habituel. Je te demande pardon.

- soit! mais tu m'as menti et tu n'échappera pas à la fessée que tu mérites. baisse ton jeans. Vu tes 14 ans et ton aveu un peu tardif, tu peux garder ton slip.

 

Christine est assise sur le canapé, elle a reposé le livre qu'elle lisait dès qu'elle a entendu le mot fessée.

 

-maman s'il te plait, pas devant Chrisitine. Je suis trop grand pour être fessé devant une fille.

-tu n'as pas fait tant de manière quand c'est elle qui en a reçue une devant toi, et elle a 16 ans, elle!

 

Je n'y échapperai pas, je n'ai plus d'argument pour arriver à cacher à maman que je suis nu sous mon jeans.

Maman est déjà assise sur la même chaise qu'hier. Je m'approche en trainant les pieds esperant contre toute logique qu'elle daignera me fesser sur le pantalon. Grossière erreur de ma part, la main maternelle a vite fait de détacher la boucle de ma ceinture et de descendre mon jeans sur mes chevilles.

Pas de réaction à l'absence de slip.

Une traction brutale sur mon poignet me renverse en travers des genoux de ma mère.dans le même mouvement, la première claque vient me cuire la fesse gauche. je mords mes lèvres pour ne pas crier. Christine serait trop contente.

Après une brève pause, c'est une pluie de claque qui vient me rougir le derrière. Ca n'en fini pas. Je n'arrive plus à les compter. La main libre de maman me maintient la nuque baissée et son pied bloque les miens au sol tendant dans cette position mon cul qui chauffe de plus en plus. Je devine plus que je n'entends le rire etouffé de ma soeur. Comme moi , hier, elle est à la bonne place pour bien se régaler du spectacle. Aussi subitement qu'elle a commencé, la fessée s'arrete.

 

- je vois que celà devient une habitude chez vous de sortir sans sous-vètements! tu es aussi dégoutant que ta soeur et , donc, tu recevras la même punition qu'elle.

- non! pas ça, s'il te plait.

- et pourquoi pas? tu était bien content hier de voir ses fesses rougir, tu sais bien que je suis pour la justice: à faute identique, punition identique. tu connais la position à prendre, prépare toi

 

En un rien de temps, le vois avec effrois le martinet redouté apparaitre comme par magie dans les mains de maman.

Cette fois pas de doute, Christine ne se cache même pas pour rire de mon humiliation.

A genoux face à la table basse, une main me tenant fermement le buste à plat sur le plateau tout en gardant relevé mon t shirt, j'attends la suite de la correction qui va, j'en suis certain, être terrible. je ne me suis pas trompé. Dès la première cinglade je ne peux m'empècher de hurler de douleur. Comme hier pour le cul de ma soeur, maman me fouette de haut en bas et de bas en haut. De la mi-cuisses au milieu du dos. Je ne m'étais pas apperçu que la fessée manuelle avait provoqué une nouvelle érection. maman , elle n'a pas manqué de s'en appercevoir mais ne dit rien. pour le moment!!!!

 

Ce qui devait arriver, arrive alors que je ne m'y attends pas: une contraction de tout mon bas ventre et j'arrose la table ainsi que le sol de mon jeune sperme trop longtemps contenu. je suis mort de honte. Que va t'elle dire? Est il possible qu'elle ne le voit pas? je me rends compte que le martinet s'est arrêté de me strier le cul.

 

- et bien! tu aimes celà semble t'il?

- je.......

-tu quoi?

-......

-essuye tes cochonnerie et file dans ta chambre. Tu as de la chance que ton père n'est pas là. Il te ferait passer le gout d'asperger le salon de tes saletés.

Longue soirée solitaire, je pleure autant de honte que de faim et de douleur. Mon cul me fait souffrir, Ca me lance comme des milliers de piqûres d'aiguilles au point que je ne ressents plus le mal intial de la pénétration de Marc.

 

jusqu'à la fin du mois, j'eu encore plusieurs rendez vous plus ou moins èspérés, plus ou moins craints avec mon initiateur. Puis plus rien. je suis passé par la ruelle , mais elle était déserte. Je ne devais plus revoir Marc avant des années

Par fesseessurprises - Publié dans : Marc - Communauté : Les amateurs de Fessées
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