Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 06:47

Le lendemain, comme chaque mercredi après midi j'étais à la maison avec ma soeur.Maman travaillait jusqu'a 18 heures et c'etait papa qui restait avec nous. Vers 14 heures, suite à un appel telephonnique, il du retourner à son bureau. Sur le pas de la porte il nous fit , bien sur, ses recommandations: être sages, ne pas ouvrir à des inconnus, faire nos devoirs etc....

Il n'était pas au bour de la rue que j'étais déjà dans ma chambre, allongé sur mon lit une revue en principe interdite aux moins de 18 ans dans les mains.5 minutes après, la braguette de mon pantalon ouverte, je me carressais dans mon slip quand Christine, ma soeur, passa la tête par la porte qu'elle avait entrebaillée.

- tu fais quoi?

-...................

-ah oui, je vois.! Tu as pu dormir cette nuit?

- pas beaucoup et toi?

-moi non plus, les parents n'ont pas été tres discrets.

- papa l'a encore fessée?

- non, c'est d'une autre façon qu'il s'est occupé de son cul

-que veux tu dire?

La chambre de ma soeur est voisine de celle de nos parents, alors que la mienne se touve à l'autre extremité. Je savais que ma soeur écoutait souvent, l'oreille collée au mur, les ébats des parents.

- ben oui, il a du être pas mal excité après lui avoir arraché la peau du cul comme il l'a fait cette nuit.

-Tu as pu savoir quelle betise maman avait faite?

- non je ne sais pas et je ne pense pas qu'elle me le dise jamais.

Elle s'était assise sur mon lit, et j'avais refermé ma revue et retiré ma main de mon slip.

- si l'un ou l'autre des parents te prend avec ça, ton cul sera vite dans le même état que celui de maman!

-tu ne vas quand même pas le leur dire?

- ce serait mon devoir de grande soeur

-est ce mon devoir de frère de raconter à papa que tu laisse ton copain mettre sa main dans ta culotte?

-comment sais tu celà?

-je vous ai vus la semaine dernière derrière le cinéma, dans la ruelle.

-j'ai 16 ans, et un flirt,même un peu poussé, c'est normal pas comme toi de regarder des revues de femmes à poils à 14 ans!

-..........

-en plus tu etais occupé à te....

à quoi?

-tu le sais bien j'ai vu ta main dans ton slip. tu meriterais une bonne fessée aussi et

 je suis certaine que papa t'en donnerait une aussi si il savait malgré tes 14 ans.

 

j 'entendais bien au son de sa voix qu'elle ne voulait pas vraiment me faire fesser. Si elle avait voulu me cafarder, elle ne m'en aurait pas parlé avant.j'essayais un peu maladroitement de refermer ma braguette, mais Christine saisit mon poignet et m'en empecha.

-ne te fatigue pas a refermer ton pantalon, tu mérites une fessée mais ça ne doit pas obligatoirement être papa ou maman qui te la donne.

- ce ne sera pas toi non plus, tu n'oserais pas !

-cà, c'est ce que tu crois, tu veux parier ?

-sur le pantalon alors, pour rire. Comme quand j'étais petit

- tu as bien vu cette nuit que même adulte, la fessée se reçoit sur les fesses nues!

-papa et maman sont mariés, toi tu es ma soeur et j'ai 14 ans. Je ne suis plus en age de te laisser regarder mon derrière tout nu.

-oh mais oui que je vais le voir et pas que ton derrière, tu oublies que cette nuit tu as bien arrosé ton pyjama et que dans l'etat où il était il ne cachait plus grand chose de ton "devant"

 

Je ne savais que répondre à celà, l'envie d'être déculotté par Christine s'insinuait en moi, mais je ne savais pas trop comment parvenir à ce qu'elle le fasse.Jusque là je pensait qu'elle voulait juste me taquiner , qu'elle n'irait pas plus loin.

-alors cette fessée,  je te la donne ou je dis ce qu'il faut à papa pour que ce soit lui qui s'occupe de ton gros cul?

 

Présenté comme celà, je n'avais plus le choix et ça m'arrangeait bien que ce soit Christine qui prenne l'initiative. J'étais horriblement timide avec les filles. Je n'avais jamais eu de flirt, à peine si une ou deux gamines de ma classe pouvaient se vanter d'avoir eu un bisous de moi sur la joue. Rien que l'idée de baisser mon pantalon devant ma soeur provoqua une transformation dans mon slip. C'était bien agréable. Il faut dire que depuis ce matin, je ne pensais qu'au cul de maman que j'avais vu si longteps la veille.

- tu te decides?

- d'accord mais pas trop fort alors

- je n'ai pas de martinet sous la main tu n'as rien a craindre à ce sujet. lève toi et baisse ton pantalon.

Je fis le tour de mon lit et, lui tournant le dos, je défit ma ceinture et commençai à baisser mon pantalon juste sous les fesses.

- voilà je suis pret. tu peux me tapper le cul

-non, pas comme cà, retire ton pantalon completement

-mais....

-pas de mais fais ce que je te dis.

Je lachai mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. du coté face, mon slip était de plus en plus déformé.

-viens te couche sur mes genoux, c'est comme celà qu'un petit garçon recoit la fessée!

Aië! si je fais celà, elle ne pourra pas manquer de sentir mon érection. elle ne voudra surement plus continuer.

- tu crois que je n'ai pas vu que tu bandais? c'est aussi visible que ton nez au milieu de ta figure. cesse de tergiverser et viens te mettre en position.

Rassuré sur son envie d'aller jusqu'au bout de la fessée, je m'installai comme elle le voulait.

A peine étais je sur ses genoux qu'une premiere claque tomba sur mon slip.Je fus surpris que celà ne me fasse pas plus mal. quelques secondes plus tard une série de claques alternée fesse gauche, fesse droite me détrompa sur la douleur que je pensais ne pas ressentir.

-soulève toi un peu m'ordonne Christine d'une voix de fausse colère

-pourquoi? je te fais mal?

-non, mais fesser un slip ce n'est pas gai, je veux m'occuper de ton cul tout nu.

Enfin , elle était arrivée où j'espérait qu'elle arrive, je soulevai mes fesses et les doigs de ma soeur s'insinuèrent sous l'élastique de mon slip pour faire rouler celui-ci jusque sous mes fesses. Je pensais que le déculotage était terminé mais je fus vite agréablement détrompé. Le slip continua son chemin le long de mes cuisses puis de mes mollets jusqu'a mes chevilles

-laisse le tomber sur le sol, je ne veux pas que tes jambes soient entravées.

Il faisait assez chaud ce jour là et pour être à l'aise dans ma chambre j'avais oté mon tshirt. J'étais donc entièrement nu sur les genoux de ma soeur. Le cul tendu pour la fessée.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : maman
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 06:16

bien sur à 14 ans je savais ce quétait une fessée, marmot turbulent j'en avais reçu ma part.Ignorant et naîf je ne pensais pas qu'un adulte pouvait en subir ausssi.

Lorsque un soir ma soeur vint me chercher dans ma chambre en m'imposant le silence absolu, je n'imaginais pas que les minutes suivantes allaient influencer le reste de ma vie.

Les chambres donnaient sur une mezzanine surplombant le salon, et en bas, une vive discution opposait mes parents.

Ma soeur me fit signe de m'allonger à plat ventre sur le parquet pour voir sans etre vus. Le sermon que papa passait à maman tirait à sa fin et je n'ai jamais su la raison de cette dispute. Quand j'arrivai a portée d'oreille et de vue, maman était tête basse , des larmes pleins les yeux.

- je te promets , chéri, ue celà ne se reproduira plus jamais

- j'en suis certain, tes fesses se chargeront de te le rappeler si tu oses encore seulement y penser

- tu ne vas quand même pas me.......

- bien sur que si, tu le mérite mille fois

-mais.... les enfants?

-ils dorment et il ne tient qu'à toi de ne pas crier

- attends demain matin quand ils seront à l'école

-cesse de discuter. Prépare toi c'est maintenant que tu vas la recevoir

 

Je n'osais imaginer la suite, jusqu'à ce que je vois maman se retourner et dégraffer sa jupe qui tomba sur le sol. J'avais déjà vu maman en culotte, les hormones travaillent à 14 ans et les trous de serrure de salles de bain servent à celà aussi. ce que je ne connaissais pas encore c'était la descente hésitante de la dite culotte. Maman avait un derrière plutot volumineux qui, devant nos yeux d'ados, se dévoilait petit à petit. Elle nous tournait le dos,  et quand, après un temps qui me parut interminable, sa culotte eut rejoint sa jupe; elle se pencha sur la table basse du salon. Ce nétait pas le premier cul que je voyais nu, mais ceux que je connaissais appartenaient à des gosses ou avaient été vus dans des revues spécialisées qu'un garcon de 14 ans pouvait regarder en cachette dans les années 1970.

Ce fessier large, blanc, tremblant à chaque mouvement m'hypnotisait.

Papa revient se placer à coté de maman, il avait en main le martinet qui m'avait fait crié plus d'une fois quelques années avant. Je ne pensais pas qu'il puisse encore se trouver dans la maison. Allongée à coté de moi, ma soeur me pris la main et la serra.

-tu vas voir, papa va lui rougir le cul

- non ce n'est pas possible, il veut juste lui faire peur

-chuuuut attends, on verra bien

Ma soeur avait raison, nous vîmes!

la pemière cinglade prit maman par surprise, elle se cambra et etouffa difficilement un cri. Sur ses fesses, 7 lignes rouge apparaissaient lentement. Papa prenait son temps, il attendait entre chaque coup que maman ait repris la position, qu'elle tende son cul au prochain contact des lanières.

Petit à petit, les lignes rouge couvrirent tout le fessier, du haut des cuisses au bas du dos. papa était précis, il visait posément frappait et attendait que le cul offert ait repris sa place. Maman gémissait de plus en plus fort mais il n'en avait rien à faire.

Sur la mezzanine, la main de ma soeur serrait la mienne à m'en faire mal. A chaque coup le sentais ses ongles s'enfoncer dans ma paume. Dans mon pyjama aussi il y avait une transformation, au fur et à mesure que le cul maternel rougissait, je grossissais.

Papa avait promis 50 coups à maman et ma soeur les comptait à voix basse à mon oreille. Quand le dernier coup tombat, je ne pu retenir mon excitation et je trempai copieusement mon pyjama.

En bas, maman s'etait affalée sur les genoux, elle se frottait les fesses des deux mains en pleurant.

-tu peux te relever. N'oublie pas cette correction, si tu recommences, je doublerai le tarif. Est-ce clair?

-je te jure que je ne le ferai plus

-vas te coucher j'arrive dans un instant.

Nous eûmes juste le temps d'appercevoir le coté face d'une maman en larmes avant de battre precipitament en retraite vers nos chambres.

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : maman
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