Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 07:04

Cette nuit là, ce ne fut plus une main posee sur le cul de papa que je m'endormis mais bien les lèvres contre son sexe encore poisseux de sperme.

 

vers 4 heures je fus réveillée par une douleur épouvantable qui me déchirat le ventre. Je pus à peine trouver la force de secouer le zizi de papa que je tenais toujours pour arracher mon géniteur à son sommeil.

 

-papa j'ai mal

-où ma cherie?

-mon ventre, j'ai comme une barre qui me transperce

-montre moi

 

papa me palpa le ventre  délicatement, mais même la douceur de ses mains ne put désèrer l'étau qui me broyait le entrailles. Je sentis d'un coup que mon minou coulait alors que je ne devais pas faire pipi et que j'étais à des lieues de jouir. Papa aussi le remarqua et me sourit.

 

-Ce n'est rien ma cherie, tu viens juste de devenir une jeune-fille!

-comment ça?

-tu es règlée tout simplement. tout les mois tu perdras un peu de sang pendant quelques jours. je vais aller chez le pharmacien te chercher quelquechose qui te soulagera

 

Au matin, papa entra dans ma chambre, une boite de medicament en main. Il m'expliqua que la meilleur chose pour calmer ma douleur c'était des suppositoires de perdolan. J'avais toujours eu horreur de de ces petits projectiles que maman me rentrait dans le derriere, je me sentais humiliée quand elle m'obligeait  à lui présenter mon petit cul, mais cette fois ce serait papa qui allait s'en occuper et ça ne me dérangeait plus du tout. Suivant les indications de papa, je me mis a genoux sur le lit, la tète posée sur mes mains. Papa écarta délicatement mes fesses pour bien dégager la cible, puis, doucement, introduisit le suppo dans mon anus. Il était très doux, quand le bout de son doigt atteingit ma rondelle, je poussai instinctivement le cul vers lui pour le sentir plus. il ne se retira pas immédiatement, au contraire, il carressa un peu ce centre si intime me procurant, malgré la douleur de mon ventre, un long frisson de plaisir.

 

-encore, papa s'il te plait, je sens que ca va déjà mieux rien qu'avec ton doigt.

-tu es certaine que je ne te fais pas mal?

-oh non, papa c'est tellement bon que j'en oublie la douleur!

-toi, tu as hérité quelque chose de ta grand-mère paternelle!

-quoi papa chéri?

-tu est une des rares femmes qui jouissent autant du cul que du minou. Mais nous en reparlerons quand tu iras mieux.

 

A midi, papa entra doucement dans la chambre, un plateau repas dans les mains. A coté de l'assiette trônait la boite de suppo. 

Pendant que j'avalais la salade, papa continua mon éducation sexuelle en etoffant mon vocabulaire. j'appris les mots tels que: bite, couilles, jus, chatte, con, clitoris; mais aussi trous du cul, nichons etc....

En bon péagogue, il me montrait au fur et à mesure à quoi correspondaient tout ces mots qui jusqu'ici m'étaient inconnus ou pour le moins défendus. A la fin de la leçon, il me demanda de me retourner et de lui présenter mon trou de cul pour enfiler le suppositoire de calmant. je lui obéis en le priant de bien vouloir m'enculer avec la mini bite que le pharmacien lui avait fournie. Papa était ravi de constater que j'avais compris la leçon. Restée calme jusque là, sa queue se releva d'un coup quand je lui demandai de bien entrer le doigt en même temps que le suppo dans mon cul, afin me préparer petit à petit à etre enculée par sa grosse bite; et surtout que je lui avouai ma curiosité. A quoi il me répondit en me révélant qu'il avait très bien ompris que j'étais collée a la serrure de sa chambre at que donc il savait que je l'avais vu se branler.

 

Deux jours plus tard, le saignement se termina, malheureusement papa devait se rendre a une réunion et ensuite au tribunal de famille pour faire acter l'abandon de foyer de ma mere. Restée seule dans ctte chambre qui était devenue la mienne, je m'ennuyais ferme. Je voulu faire passer le temps en rengeant un peu, mettre de coté les quelques effets que ma mère avait laissé pour avoir de la place pour mes propres vetements même si je n'avais pa vraiment l'intention de m'habiller beaucoup. Au fond d'un tiroir, je découvris une boite contenant des films vidéo. Toujour aussi curieuse je transportai ma trouvaille dans le salon pour y regarder ces films que je devinais du genre interdits aux moins de 18 ans.

 

Les premières images étaient de simple film X interressant néanmoins pour une gamine qui n'avait encore vu qu'une seule bite dans sa vie. Le 4 ème film était tout différent. Les acteurs en étaient mes parents, à poils du début à la fin, papa lèchant le minou de maman, maman suçant la bite de papa, papa enculant maman, maman...........ENCULANT papa avec une queue en plastique. Visiblement papa y prenait beaucoup de plaisir. Plus loin, c'était maman qui fessait papa comme elle aurait pu le faire d'un garnement difficile. J'en étais complètement retournée. Après avoir regardé jusqu'à la dernière image je remontai le tout pour le ranger. Le gode entrant dans le cul de papa alternant avec la main de maman rougissant ce même cul; m'obsédait. Je fouillai dans les tiroirs de papa et fini par découvrir non seulement l'objet violeur du film mais aussi un solide martinet qui, vu l'état des lanières avait dû beaucoup servir.

Vers 20 heures, je me couchai nue dans le grand lit, cachant sous mon oreiller les outils du plaisir paternel

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : inceste - Communauté : inceste
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