Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 06:22

Lundi, 15h30

 

Je sors du lycée. Je ne suis pas pressé de rentrer, papa et maman sont à leur boulot.

Toute la soirée et la nuit j'ai été obnubilé par ce que j'avais vu et surtout senti. Mais plus que le gros cul de ma soeur, c'est le sexe tendu de marc qui a hanté mes rêves. Ce matin mon pyjama était trempé. J'ai réussi à le cacher au fond du panier à linge sale.

Une main se pose fermement sur mon épaule. je n'ai rien entendu venir.

 

-suis moi derrière le cinéma

 

A peine le temps de me convincre que je n'ai pas rèvé, et je le vois s'éloignant à grand pas vers le lieu de mon suplice d'hier.

Rien ne me froce à obéir. Rien ni personne si ce n'est moi-même. je n'ai pas de volonté. je pourrais passer outre et rentrer directement chez moi, mais mes pieds ne m'obeissent pas. je me glisse dans la ruelle des supplices , comme je l'appelle.

 

15h35

 

IL est là, assis sur la même caisse crasseuse. Son pantalon est ouvert. Son sexe en sort.

 

-qu'est ce que tu attends? viens ici , dépèche toi

 

Je n'ose pas le regarder dans les yeux. Mon egard est scotché sur sa queue.

 

-A genoux, vite! suce moi, fais moi bander

 

Comme un automate, sans considération pour la crasse qui va maculer mon jeans, je m'agenouille entre ses jambes ouvertes et, timidement d'abord, et de plus en plus franchement au fur et à mesure qu'il grossit; je lèche et suce le responsable de la douleur qui ne m'a pas quittée depuis hier.

 

-C'est bien mais je n'ai pas beaucoup de temps et c'est de ton cul que j'ai envie. Alors à poils! et vite

 

Sans sortir son sexe de ma bouche, je défait ma ceinture et baisse jeans et slip en un seul mouvement

 

15h45

 

A son ordre, j'ai tout retiré et me suis positionné comme la veille. Il m'a laissé la place sur la caisse. Mon cul redevenu blanc (je l'ai contrôlé ce matin dans la salle de bain) tendu comme il le veut.

 

- tu as un beau cul, j'ai bien joui hier dans ton petit trou. Ma queue en redemande.

 

Je l'entends craché et je me doute qu'il se mouille le gland avant de le sentir se positionner contre ma rondelle. Brutalement il pousse et de nouveau je me sens écartelé. Est-ce un mauvais tour de mon esprit? suis je plus détendu? peu importe je suis convaincu qu'il entre plus facilement aujourd'hui. Pourtant j'ai encore mal d'hier et la penetration violente me brûle.

Sa main est passée devant moi et me branle au même rythme que son sexe va et vient en moi. Avec un grognement il se vide dans mon anus, enfin se vider est beacoup dire, je ne sens rien mais je ma rapelle la maigre ejaculation de la veille au cinéma. Je n'ai pas joui, mais il n'en a cure. IL se retire aussi brutalement qu'il est entré.

Cet après-midi, c'est mon slip qui lui sert à se nettoyer. si ca continue, nos garde-robes à Christine et à moi, vont se retrouver dans cette ruelle.. 

 

16h00

 

IL est parti. je rentre chez moi le derriere toujours douloureux

 

16h15

 

Aïe, maman est rentrée. Une collègue l'a ramenée en voiture. J'ai plus d'une demi heure de retard.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : Marc
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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 06:18

Son plaisir pris, Marc s'empare de la culotte de Christine pour s'essuyer le sexe et nous laisse, ma soeur et moi, nue pour elle, en tshirt pour moi, dans la ruelle infecte. Il n'est pas question pour elle de remettre ce chiffon strié de taches brunes odorantes. Elle réenfile son soutien et sa robe pendant que, péniblement je réajuste slip et jeans. Nous ne parlons pas sur le chemin du retour, peut etre est elle honteuse de la souffrance qu'elle m'a fait subir et probablement  est elle aussi un peu frustrée que toute l'attention de son ami se soit concentrée sur mon derrière. pour ma part j'avais du mal à marcher. J'avais l'impression d'avoir le cul disloqué.

 

A la maison, maman est seule. Une fois de plus, papa a été rappelé pour un quelconque problème technique urgent. Il ne rentrera que tard dans la nuit.

 

-vous rentrez bien tard! Où avez vous trainé après le film?

-Nulle part maman, nous avons juste un peu discuter avec Pierre et des amies du lycée

-Drôle de garçon ton Pierre, il sait regarder un film avec ton frère et toi, discuter avec tes amies et pourtant être cloué au lit avec une cheville foulée ce matin en jouant au foot ball!

-..........

 

De mon côté, je me fais tout petit. je sens que ça va barder pour ma grande soeur. Maman semble avoir beaucoup de mal à refreiner sa colère. Elle a horreur du mensonge et, en voulant trop en dire, Chrisitine vient de s'empetrer dans des explications de plus en plus nébuleuses.

 

-Cesse de me prendre pour une idiote. Ce n'est pas avec pierre que tu avais rendez vous et je veux savoir qui vous a accompagnés au cinéma.

- maman, je.........

-oui, tu  quoi?

- c'est à dire.....

-alors, j'attends!

 

Je voudrais venir au secour de ma soeur, mais aucune idée ne me vient et lâchement je la laisse se débrouiller; trop content que la vindicte maternelle soit uniquement tournée vers celle qui, tout compte fait, est la rsponsable de cette douleur lancinante qui me taraude le derrière.

-Celà suffit! Je finirai bien par connaitre la vérité. En attendant Une bonne fessée ravivera ta mémoire

-Maman!!!!!!

-quoi?

-J'ai 16 ans, je ne suis plus une gamine!

-Sache, ma fille, qu'il n'y a pas d'âge pour une correction méritée.

 

Maman attrape Chrisitine par le coude et la tire de force vers une chaise où elle s'asseoit tout en basculant ma soeur hurlante sur ses genoux.la robe légère ne met pas une seconde pour se retrouver roulée sur le dos de la punie, dévoilant non seulement un gros cul blanc mais surtout une absence incongrue de culotte.

Etonnament, ces derniers jours, j'ai plus vu le minou que les fesses de ma soeur.Sans l'avoir cherché, je me trouve juste dans l'axe de ses cuisses et j'ai une vue extra sur un fessier qui n'a rien a envier à celui de maman pour ce qui est de sa largeur.

 

- et en plus, mademoiselle sort sans culotte! Si tu te crois assez grande pour t'habiller comme une moins que rien, tu vas ête corrigée comme telle.

 

La fessée commence. Une suite de claques rapides violentes, provocant cris et larmes. Christine se débat. Si elle a le cul aussi large que maman, elle n'a pas la force de notre génitrice et tout ce que ses mouvement ont pour résultat c'est que j'ai un spectacle qui reveille rapidement ce qui est caché dans mon slip.

Le cul de ma soeur rougit de plus en plus et la fessée s'arrete aussi soudainement qu'elle a commencé.

 

-Ca, c'était pour avoir menti. Maintenant je vais règler le problème de ta tenue indécente.

 

Sans rien ajouter d'autre, maman se relève et toujours tirant Christine, se dirige vers le secrétaire  de papa. D'une main elle en ouvre un tirroir et sort le martinet que j'ai vu en action mardi soir . Ma soeur tente toujours de se dégager, mais elle est trainée jusqu'a la table basse. Sa robe retombée sur ses fesses pendant l'interlude, passe en un instant au desus de ses epaules et c'est juste vêtue de son soutien gorge que Christine me présente bien involontairement son postérieur déjà bien rouge.

Sans lui laissé le temps de souffler, maman abbat les lanières, systematiquement de la mi cuisses au milieu du dos. La punie n'a même plus la force  de se débattre. elle hurle a chaque cinglade. Ses cuisses si blanches par contraste avec ses fesses, prennent une couleur brique, striées. Maman semble inépuisale, son bras  monte et descent régulièrement , chaque descente etant ponctuée d'un claquement des lanières, directement suivi d'un cri. Elle applique la correction en partant des cuisses, remontant jusque sur le dos pour revenir aux cuisses. Le gros cul de Christine tremble à chaque fois. J'ai l'idée stupide que si elle faisait plus de sport et mangeait moins de chips, il serait plus ferme.

 

Tout comme mardi soir, je suis hypnotisé et mon pantalon se gonfle sans que j'ai le reflexe de le cacher.

Par fesseessurprises - Publié dans : Marc - Communauté : fessées publiques
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Mercredi 29 février 3 29 /02 /Fév 06:39

Les lumières se ralumèrent. J'avais encore son membre entre mes lèvres. Il ne débandait pas.

-venez dans la ruelle derrière, ta soeur et toi. Je veux m'occuper un peu de vos culs.

 

Christine avait gémi deux fois pendant mon initiation à la pipe. Elle avait encore les yeux brillants d'excitation et je reconnais que j'étais dans le même état.

 l'un derrière l'autre nous suivîmes Marc dans l'étroit passage qui longeait tout l'arrière du bâtiment. Il y faisait sale, le sol jonché de détritus, de preservatifs usagés, et bien d'autres choses. Ca sentait l'urine et la matière fécale.

A quelques metres, une sorte de chicane masquait le reste de la ruelle à la vue de la rue.Une caisse crasseuse avait été abandonnée juste après.

- ce sera très bien ,ici. Nous ne serons pas dérangés. Alors, il parrait que tu aimes que ta soeur te fesse?

-...........

- tu réponds quand je te parles!

- elle ne l'a fait qu'une fois

-mercredi. je sais elle me l'a dit. elle m'a dit aussi que tu avas un cul excitant. Montre le moi!

 

Je n'osais pas bouger. Christine, à coté de nous, souriait aux anges.

- alors ça vient?tu comptes me faire attendre longtemps? baisse ton froc et montre moi ton cul!

Il était en colère et malgré ma docilité au cinéma je ne doutais pas qu'il pourrait être brutal si je désobeisais maintenant.

C'est néanmoins d'une main hésitante que je défis la ceinture de mon jeans.

 

-aide le toi au lieu de bailler aux corneilles

 

Chrisitne passa derrière moi et, d'autorité, ouvrit ma braguette et descendit mon pantalon. je ne resistais pas. Mon slip entrainé par le jeans suivit le même chemin jusqu'à mes genoux.

 

-retourne le, c'est son cul que je veux voir

 

Empètré dans mes vêtements je me laissai guider par ma soeur qui me força à faire un demi tour.

Marc s'était assis sur la caisse et, sans vergogne, avait déjà sorti le monstre de son pantalon.

 

- en effet ce cul mérite beaucoup d'attention. et, puisque celà plait à de jeune homme, une bonne fessée devrair lui donner les couleurs qui lui conviendraient très bien.

-non s'il te plait, pas la fessée. j'ai l'impression de sentir encore celle de mercredi. Et puis, si maman entre dans la salle de bain quand je me laverai ce soir, elle en verra les marques

- tu as le choix: la fessée ou je t'encule

 

J'avais encore le souvenir de la douleur irradiante qui s'était insinuée dans mon petit trou quand ma soeur y avait entré brutalement les doigts. Tout valait mieux que de recevoir cette énorme chose dans mon cul. je baissai la tête en guise d'acceptation.

 

-amène le moi ici. En travers de mes cuisses que son cul soit bien tendu.

moitiè poussé par Christine, moitié consentant je m'approchai timidement et me couchai comme il le voulait.

-pas trop fort quand même, svp, que les marques ne soient plus visibles ce soir

-tais toi, tends les fesses je vais te les rougir assez pour qu'elles gardent leurs couleurs une semaine.

 

Je voulu me relever et m'enfuir, mais ses mains me retenaient fermement. C'était trop tard, je n'avais aucune chance d'échapper à la fessée.

 

-toi, la salope, à poils pendant que je m'occupe de ce cul! et pas seulement troussée, retire tout

 

Au moins il y avait une compensation. j'allais surement souffrir, mais je verrais ma soeur toute nue plus distinctement que dans l'obscurité du cinéma.

En donnant ses ordres à Christine, Marc me carressait les fesses et ce n'était pas désagréable du tout. Ses doigts les massaient, les ouvraient, passaient entre elles tout le long de ma raie.Et puis ce fut l'enfer! sans prévenir, la première claque tomba. Je criai à la fois de surprise et de douleur. Plus de 40 ans après je pense encore sentir la brûlure.D'abord posément, puis de plus en plus vite, alternant fesse gauche, fesse droite, le haut, le milieu, le bas ; tout mon cul faisait la connaissance de cette main meurtrière. la fessée dura longtemps. Elle fut violente de la première à la dernière claque. Je ne pensais même pas à regarder la nudité de ma soeur. C'est elle qui me raconta, sur le chemin du retour à la maison, qu'elle s'était masturbée en nous regardant et qu'elle avait joui comme jamais.

 

Aussi subitement qu'elle avait commencé, la pluie de claque s'arreta. Mon cul n'était plus que douleur. il me brûlait de haut en bas.

 

- te voilà bien chaud et bien docile, je vais pouvoir m'occuper du petit oeillet qui se cache entre tes fesses.

-............

 

D'une poigne de fer, il me souleva de ses cuisses et d'un seul mouvement que je compris pas, me placa le ventre sur la caisse et lui derrière moi

 

-retire lui son froc que je puisse bien lui ouvrir les jambes!

 

Sans hésiter, Chrisitine obéit. j'avais beau me débattre, me contracter tenter de me relever, rien y fit. Je me retrouvé complètement nu du bas avec un Marc bandant comme un taureau entre mes cuisses.

 

-puisque tu es là à ne rien faire, viens me mouiller le gland que je puisse dépuceler ce cul vierge plus facilement

 

Je ne pouvais rien voir mais je devinai aisément que Christine salivait la queue de son ami. je n'ai jamais su lequel des deux avait craché dans ma raie. j'ai a peine senti la salive couler jusqu'a mon anus tant mes fesses me brûlaient toujours.

Suivant les ordres,ma soeur fit le tour de la caisse et s' assit à califourchon sur mon dos.

 

-écarte ses fesses plus fort!

 

Moins d'une minute après, je n'étais plus vierge. La barre monstrueuse avait péniblement fait son chemin dans mon anus. J'entendais marc souffler, ahanner, beugler que c'était bon de perforer un nouveau cul.Moi, je criais de douleur: et plus je criais, plus il poussait et entrait milimetre par milimetre son sexe dans mon petit trou dilatté.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : Marc
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 23:42

Le dimanche suivant, après le repas de midi, maman m'appela.

-ta soeur va au cinéma cet apres-midi. Elle y va avec son petit ami. Je veux que tu les accompagnes. je ne veux pas de commentaires dans le quartier.

-mais, maman, elle va encore aller voir un de ces film à l'eau de rose que je déteste. 

-ne discutes pas, tu iras avec eux que celà te plaise ou non.

 

Tirant une figure longue comme un jour sans pain, j'accompagnai donc Christine. A peine tourné le coin de la rue, Marc, le soit disant petit ami nous rejoignit. c'était un voisin, je le connaissais de vue. mais alors que ma soeur et moi avions 14 et 16 ans, lui approchait facilement la trentaine. J'eu illico l'idée que cette incartade de ma frangine allait me donner barre sur elle.

 

Il n'y avait presque pesonne dans la petite salle. marc nous guida d'autorité vers le dernier rang et s'assis entre nous. Celà me convenait parfaitement. Ainsi placé, comme le film ne m'interressait pas, je pourrais épier les carresses intimes qu'il ne manquerait pas de prodiguer à ma dévegondée de soeur.

Sans s'occuper d'être discret, a peine installé, il lui demanda si elle avait une culotte. Suite à sa réponse positive, il lui ordonna de la retirer et de la lui donner. tout compte fait, cette séance de cinéma allait se rèvèler plus interressante que prévue.

Les lumières n'étaient pas encore eteintes, que les doigts de marc s'insinuaient dans le minou largement dévoilé de Christine.

Comme je m'y attendais, le film était un navet de première. Sa seule qualité était que la clarté de l'écran me permettait d'assez bien voir les ébats digitaux de mon voisin. sa main droite était toujours posée sur le minou de Christine tandis que la gauche avait ouvert sa braguette et sorti un sexe qui, pour moi, était d'une taille monstrueuse.

 

Il devait être habile car j'entendis ma soeur gémir malgré le son assez fort des haut parleurs.Toujours sans s'occuper de ma présence il lui dit:

-penche toi et suce moi la queue.

-non pas ici

-dépèche toi de le faire je suis certain que tu aimes celà , salope, c'est pour celà que tu m'a demandé, hier de t'accompagner.

-je t'ai dit que tu serais sucé, je ne t'ai pas dit que ce serait par moi.

-.........

-mon frere aime le sperme il est temps qu'il apprenne à le boire directement à la source.

 

Mon siège était le dernier de la rangée,contre le mur, il n'y avait pas d'allée latérale, j'étais coincé

 

-tu as entendu ta soeur? active toi et garre à toi si je sens tes dents. Il parait que tu aie le sperme autant que la fessée, mais je te préviens qu'avec moi, la fessée tu la detesteras.

 

J'avais beau être un peu grassouillet, quans sa main se posa sur ma nuque pour me faire pencher la tête sur son sexe, je n'eus pas la force nécessaire de résister. Ce vit devait bien faire 20 ou 22 cm de long sur 4  d'apaisseur. Comparé à ce monstre, mon zizi de 14 cm semblait celui d'un bébé. Timidement je passai la langue, et me disant que ça ne devait pas être tres différent de mon propre sperme, que j'avais regouté chaque jour depuis le mercredi précédent, je commençai à lècher le gland démesuré.

-passe ta langue des couilles jusqu'à la pointe et retoure vers mes couilles

 

obeissance de ma part.

 

- ta soeur m'a dit aussi que tu avais un joli petit cul, tu vas me montrer celà apres le film.

-ici????????

-dans la ruelle derrière la salle. mais maintenant tais toi et suce!

 

Je ne pouvais pas entrer la totalité de son sexe dans ma bouche, ce n'était pourtant pas faute d'essayer. J'aspirais son gland aussi fort que possible, suivant les instructions qu'il me donnait presque à voix haute. J'étais terrorisé à l'idée qu'un des rares spetateurs de la salle l'entende. Il avait laché ma soeur pour guider ma tête et diriger mon pompage.

A côté de lui, Christine se carressait comme une folle, sa robe enroulée au dessus de son nombril, cuisses grandes ouvertes.

D'un coup, je le senti se crisper. Ses mains me tenaient fermement et dans ma bouche sa queue semblait encore grossir. Puis vient sa délivrance. J'avais craint de ne pouvoir avaler l'abondance de sperme qu'un tel vit devait surement ejaculer.

Je fus à la fois surpris, déçu et soulagé. Quelques gouttes vinrent frapper mon palais.

Etait il possible que de si grosses couilles libèrent si peu de jus?

 

Par fesseessurprises - Publié dans : ma soeur
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Lundi 27 février 1 27 /02 /Fév 18:20

D'un coté, la situation me plaisait, d'un autre coté, je redoutais quand même la suite. Il y avait longtemps que mes fesses n'avaient plus été rougies et les souvenirs que j'avais des fessees tant paternelles que maternelles ne me laissaient rien envisager de bon pour mon  cul de puceau. Les péliminaires avient déjà passablement chauffé mes fesses.

Chrisitine commença par me malaxer le derrière, me laissant entre l'envie et le regret. apres un moment, qui me parru interminable, elle cessa de me carresser. j'étais soulagé et déçu, je pensais: elle n'a pas osé.

Quand soudain, sans prévenir la première claque sur mes fesses nues tomba.Je fus tellement surpris que je ne pu retenir un cri.

-tu peux crier si tu veux, nous sommes seuls et dis toi bien que si c'etait papa qui te fessait, tu le sentirais bien plus fort.

-........

je me mordais les levres et serrais les fesses en attendant la claque suivante. Comme la première, elle se fit attendre et m'arriva sans que je puisse m'y préparer.

-ainsi, vilain garçon, tu profites de l'absence des parents pour te carresser le zizi!

- en plus tu mates le cul de maman , cochon

-tu vas voir le tien quand j'en aurai fini avec lui

 

La fessée devient sérieuse, Christine s'appliquait à ne jamais frapper deux fois à la même place. Elle trainait entre chaque coup, variant le temps d'attente pour que je ne puisse prévoir l'arrivée du suivant Mon cul me brûlait comme si je m'étais roulé dans un champs d'orties, je sentais les marques de ses doigts une à une, chacune d'elles me donnait l'impression d'une morsure.

Je ne pouvais pourtant pas me plaindre, je l'avais cherchée et même désirée cette fessée sans m'imaginer qu'elle serait si terrible. le sang affluait dans mes fesses augmentant au passage l'érection déjà bien formée avant la descente de mon slip.

Je gigottais comme une mouche prise dans une toile d'araignée et ce qui devait arrivé.........

 

-espèce de porc tu m'as éjaculé sur les cuisses!!!!!!!

-désolé je ne l'ai pas fait expres, c'est venu tout seul

-tu vas me le payer. puis que tu es si excité quand on s'occupe de ton cul je vais t'apprendre à t'en servir autrement.

 

Ecartant mes fesses d'une main elle enfonça brulement ses doigts dans ce petit trou qui n'avait jusque là servi qu'aux toilettes. Je hurlai de douleur. Ses ongles m'avaient griffé presque jusqu'au sang.

La plus grosse part de mon sperme juvenile était tombée sur le parquet de ma chambre et ce qui avait trempé ses jambes rejoignait la petite flaque. Ma soeur me poussa la tête vers le sol.

-nettoye ca. lèche toutes tes cochonneries

 

Dégouté au début, je ne pus qu'obeïr. C'est d'une langue timide que je lappai mon liquide. Le gout ressemblait à celui du blanc d'oeuf, en plus salé. Je pris vite plaisir à ce que je faisais et c'est avec gourmandise que j'achevai ma tâche.

Relevant les yeux, je vis que christine avait retrousé sa robe et se donnait un plaisir plus qu'évident. J'avais déjà vu son minou poilu, mais jamais d'aussi pres et jamais ouvert de la sorte. Ses doigts s'activaient sur ce que je savais être son clito sans en avoir jamais vu un seul. Ainsi, cétait celà le vagin, source de délice que je ne connaitrais pas avant quelques années.

Par fesseessurprises - Publié dans : ma soeur - Communauté : la fessée pour le plaisir
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