Samedi 5 juillet 6 05 /07 /Juil 06:24

Lentement, la peur au ventre de me faire repousser, je longeai le ventre de papa, de son nombril au bord du drap. Je le sentis se crisper lorsque mes doigts passèrent sous le tissu. Sa main quitta ma tete et vint repousser le dernier obstacle.

C'était beau, tout droit, le chapeau violet comme j'avais pu l'appercevoir plus tot dans la journée. Timidement j'effleurai la colone de chair qui m'avait tant intriguée. Papa ne bougeait pas et je m'enhardis dans mon exploration. Ma petite main pouvait juste entourer le zizi dressé. Je ne savais pas ce qu'il fallait faire dans cette situation, aussi me suis-je décidée à imiter le mouvement de va-et-vient que ma curiosité matinale m'avait dévoilée ce matin là. La main de papa  vint  se poser sur ma mienne et me guida. Je sentis dans mon ventre la contraction que je me procurais généralement quand je jouais avec mon minou. J'en  voulais plus, voir de plus près encore, sentir l'odeur de ce nouveau jouet qui allait, j'en étais certaine, renvoyer mes poupées au fond du grenier. Sans interrompre le contact, je desendis la tète de la poitrine au ventre de papa, mettant par ce mouvement mon petit derrière à la portée de l'autre main de l'homme de ma vie. J'eu un frisson lorsque les doigts froissèrent ma robe de nuit et vinrent carresser mes fesses. Instinctivement, je poussai celles-ci pour accentuer le contact. je sentis les doigts de papa englober une après l'autre les deux hémisphères qui formaient mon petit cul. D'un seul coup, papa accéléra le mouvement de ma main sur sa colone, il eut un soubressaut et je vis de longs jets blanchâtres jaïr du chapeau violet vers le plafond pour retomber lourdement à quelques milimètre de ma tête.

 

-papa! tu as fait pipi?

-non, ma chérie ce n'est pas du pipi, c'est du sperme

-qu'est ce que c'est?

-c'est ce qui sort d'un zizi quand une gentille fille donne beaucoup de plaisir a son papa

-les filles ont aussi du sperme qui sort de leur minou?

-ce n'est pas du sperme mais il y a ausi du liquide qui sort du minou des filles quand elles ont du plaisir, tu veux que papa te montre?

-oh oui!

 

Doucement, sans la moindre brusquerie, papa fit passer ma robe de nuit par dessus ma tète. Il me coucha sur le dos et, appuyé sur son coude, se pencha sur ma poitrine. Je n'avais pas encore de sein. Seul mes tetons commencaient timidement à grossir et mes aréoles à s'élargir.  Du bout des lèvres, papa commença a me taquiner un téton puis l'autre.

Sa main libre m'écarta les cuisses et vint se poser sur le bas de mon ventre. Un doigt fureteur s'insinua le long de ma fente et se mit à carresser mon bouton déjà dur.

 

-tu aimes que papa te carresse là?

-oh oui, papa c'est bon, ca me donne des frissons partout

 

Ma respiration s'accelerait de plus en plus et je sentais venir la contraction délicieuse que je provoquais souvent, mais cette nuit là, en mille fois plus fort. J'ai crié quand la jouissance me submergea. Je n'avais jamais ressenti mon minou ainsi. je m'étais cambrée sous l'effet du plaisir, mon petit cul ne touchant plus le lit, mon minou poussé vers le doigts qui lui apportait tant de bonheur.

Quand je retombai sur le matelas, papa présenta son doigt devant mon visage pour me montrer qu'il était mouillé.

 

-tu vois ça c'est le sperme des petites filles. Et c'est un nectar!

 

En prononçant ces mots, papa porta son doigt à sa bouche et le lècha avec, visiblement beaucoup de plaisir.

 

-et ton sperme aussi je peux le gouter?

-bien sur si tu en as envie

 

Le ventre de papa était toujours maculé de son liquide laiteux et je pus en recueillir un peu avec mes doigts. Je commençai par en sentir l'odeur puis passai ma langue pour gouter. La situation, la nudité de papa mais aussi son odeur et le gout de son sperme me rendirent folle; papa s'étant remis sur le dos, je me jettai sauvagement sur son ventre pour recolter de mes levres jusqu'à la dernière parcelle de ce nouveau breuvage dont je me doutais déjà que je ne pourrais plus me passer.  Du ventre, je descendis sur le zizi et de là au sac tout poisseux et nettoyai consciencieusement mes nouveaux jouets. Dès mes premiers coups de langues, le sexe de papa se releva et durcit.

J'étais étalée sur la poitrine paternelle, bécotant le chapeau violet quand je sentis les mains si douces m'écarter les cuisses pour livrer le passage à la bouche de mon chéri. Quand ses lèvres touchèrent mon minou, je hurlai de jouissance.

 

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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 07:04

Cette nuit là, ce ne fut plus une main posee sur le cul de papa que je m'endormis mais bien les lèvres contre son sexe encore poisseux de sperme.

 

vers 4 heures je fus réveillée par une douleur épouvantable qui me déchirat le ventre. Je pus à peine trouver la force de secouer le zizi de papa que je tenais toujours pour arracher mon géniteur à son sommeil.

 

-papa j'ai mal

-où ma cherie?

-mon ventre, j'ai comme une barre qui me transperce

-montre moi

 

papa me palpa le ventre  délicatement, mais même la douceur de ses mains ne put désèrer l'étau qui me broyait le entrailles. Je sentis d'un coup que mon minou coulait alors que je ne devais pas faire pipi et que j'étais à des lieues de jouir. Papa aussi le remarqua et me sourit.

 

-Ce n'est rien ma cherie, tu viens juste de devenir une jeune-fille!

-comment ça?

-tu es règlée tout simplement. tout les mois tu perdras un peu de sang pendant quelques jours. je vais aller chez le pharmacien te chercher quelquechose qui te soulagera

 

Au matin, papa entra dans ma chambre, une boite de medicament en main. Il m'expliqua que la meilleur chose pour calmer ma douleur c'était des suppositoires de perdolan. J'avais toujours eu horreur de de ces petits projectiles que maman me rentrait dans le derriere, je me sentais humiliée quand elle m'obligeait  à lui présenter mon petit cul, mais cette fois ce serait papa qui allait s'en occuper et ça ne me dérangeait plus du tout. Suivant les indications de papa, je me mis a genoux sur le lit, la tète posée sur mes mains. Papa écarta délicatement mes fesses pour bien dégager la cible, puis, doucement, introduisit le suppo dans mon anus. Il était très doux, quand le bout de son doigt atteingit ma rondelle, je poussai instinctivement le cul vers lui pour le sentir plus. il ne se retira pas immédiatement, au contraire, il carressa un peu ce centre si intime me procurant, malgré la douleur de mon ventre, un long frisson de plaisir.

 

-encore, papa s'il te plait, je sens que ca va déjà mieux rien qu'avec ton doigt.

-tu es certaine que je ne te fais pas mal?

-oh non, papa c'est tellement bon que j'en oublie la douleur!

-toi, tu as hérité quelque chose de ta grand-mère paternelle!

-quoi papa chéri?

-tu est une des rares femmes qui jouissent autant du cul que du minou. Mais nous en reparlerons quand tu iras mieux.

 

A midi, papa entra doucement dans la chambre, un plateau repas dans les mains. A coté de l'assiette trônait la boite de suppo. 

Pendant que j'avalais la salade, papa continua mon éducation sexuelle en etoffant mon vocabulaire. j'appris les mots tels que: bite, couilles, jus, chatte, con, clitoris; mais aussi trous du cul, nichons etc....

En bon péagogue, il me montrait au fur et à mesure à quoi correspondaient tout ces mots qui jusqu'ici m'étaient inconnus ou pour le moins défendus. A la fin de la leçon, il me demanda de me retourner et de lui présenter mon trou de cul pour enfiler le suppositoire de calmant. je lui obéis en le priant de bien vouloir m'enculer avec la mini bite que le pharmacien lui avait fournie. Papa était ravi de constater que j'avais compris la leçon. Restée calme jusque là, sa queue se releva d'un coup quand je lui demandai de bien entrer le doigt en même temps que le suppo dans mon cul, afin me préparer petit à petit à etre enculée par sa grosse bite; et surtout que je lui avouai ma curiosité. A quoi il me répondit en me révélant qu'il avait très bien ompris que j'étais collée a la serrure de sa chambre at que donc il savait que je l'avais vu se branler.

 

Deux jours plus tard, le saignement se termina, malheureusement papa devait se rendre a une réunion et ensuite au tribunal de famille pour faire acter l'abandon de foyer de ma mere. Restée seule dans ctte chambre qui était devenue la mienne, je m'ennuyais ferme. Je voulu faire passer le temps en rengeant un peu, mettre de coté les quelques effets que ma mère avait laissé pour avoir de la place pour mes propres vetements même si je n'avais pa vraiment l'intention de m'habiller beaucoup. Au fond d'un tiroir, je découvris une boite contenant des films vidéo. Toujour aussi curieuse je transportai ma trouvaille dans le salon pour y regarder ces films que je devinais du genre interdits aux moins de 18 ans.

 

Les premières images étaient de simple film X interressant néanmoins pour une gamine qui n'avait encore vu qu'une seule bite dans sa vie. Le 4 ème film était tout différent. Les acteurs en étaient mes parents, à poils du début à la fin, papa lèchant le minou de maman, maman suçant la bite de papa, papa enculant maman, maman...........ENCULANT papa avec une queue en plastique. Visiblement papa y prenait beaucoup de plaisir. Plus loin, c'était maman qui fessait papa comme elle aurait pu le faire d'un garnement difficile. J'en étais complètement retournée. Après avoir regardé jusqu'à la dernière image je remontai le tout pour le ranger. Le gode entrant dans le cul de papa alternant avec la main de maman rougissant ce même cul; m'obsédait. Je fouillai dans les tiroirs de papa et fini par découvrir non seulement l'objet violeur du film mais aussi un solide martinet qui, vu l'état des lanières avait dû beaucoup servir.

Vers 20 heures, je me couchai nue dans le grand lit, cachant sous mon oreiller les outils du plaisir paternel

 

 

 

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Jeudi 3 juillet 4 03 /07 /Juil 06:58

Je revis à peine papa le reste de la journée. Il était continuellement au téléphonne, cherchant des solutions aux problèmes de notre future vie commune sans maman. Mamy était en vacances et ne rentrait qu'un mois plus tard, les voisins passaient tout les ans l'été dans le sud. Papa pu, enfin,  obtenir un dépacement de ses congés, ce qui lui permit de rester avec moi jusqu'au retour de mes grands-parents. Je l'entendis parler de divorce, de garde alternée, et de toute sorte de choses auxquelles je ne comprenais rien.

De mon coté je restai la plus grande partie de la journée à jouer au soleil sur la terrasse. A chaque instant, je me prenais à repenser à ce tube rose et violet que j'avais pu voir par le trou de la serrure. Je m'imaginais le tenir dans mes petites mains et le secouer comme j'avais vu papa le faire, et, chaque fois, une folle envie de toucher mon minou m'envahissait. 

Je finis par retirer ma culotte et, cachée dans un coin, je decouvris peu à peu les endroit procurant un délicieux frisson lorsque je les carressais. Je me doutais que si papa me voyait faire cela, je serais punie, pourtant c'était systématique: je voyais dans ma tète le tube rose de papa, ma main partait comme d'elle-même vers le bas de mon ventre. Si papa remarqua que j'étais cul nu sous ma jupette, il n'en laissa rien paraitre.

Après le diner, constitué principalement d'une salade, papa m'envoya au lit. Je n'hésitai qu'un bref instant, une fois ma petite robe de nuit passée sur mon corps nu, je ressortis de ma chambre et me faulilai dans celle de papa pour me glisser dans son grand lit, où je m'endormis. La lumière subite me tira de mon rève de tube rose. J'étais enfuie sous le drap. papa n'avait pas remarqué ma présence. J'entendis les bruits caractéristique d' habits glissant sur la peau et tombant sur le parquet.

 

-Mais que fais tu ici??

-papa j'ai peur toute seule!

 

Je n'avais pas remarqué qu'il s'approchait et c'est en ouvrant les draps pour s'y glisser qu'il avait découvert ma présence. Si j'étais affrayée, lui fut tellement surpris de me voir là qu'il en oublia de couvrir ou au moins de tenter de cacher le bas de son ventre. J'étais hypnotisée par cette chose si secrete que je voyais en pleine lumière pour la première fois. Cette chose, entourée de poils blonds qui ne la cachait en rien, reposait sur un gros sac de peau coucert de la même toison. A chaque mouvement de papa, ca se balançait de gauche à doite ou sursautait vers moi.

 

-Chérie, tu ne peux pas passer touts les nuits dans mon lit!

-Pourquoi, papa? tu a un grand lit et c'est si bon de te savoir près de moi en m'endormant!

-Les petites filles ne font pas dodo avec leur papa!

-Mais pourquoi?

-c'est ainsi

 

Je sentis les larmes me monter aux yeux, c'est en reniflant que j'essayai d'argumenter encore et de le convaincre de me garder près de lui. Emu sans doute par mes larmes, papa s'assit sur le bord du lit et me tendit les bras dans lesquels je me précipitai. Je m'accrochais à lui, mes mains tentant de se rejoindre dans son dos. Papa me pris les mains et m'éloigna de lui, doucement mais fermement. Dans mon mouvement, ma robe de nuit était remontée sur mon ventre et, de nouveau, je vis papa rougir jusqu'à la racine de ses cheveux. si moi j'étais hypnotisée par son tuyau, lui, ne pouvait détacher les yeux de mon minou. Il fini par se rappeler sa nudité et se couvrit du  drap. Il était encore plus rouge si c'était possible

 

-tu sais papa...

-q..quoi....je sais quoi?

-ben c'est trop tard pour te cacher, j'ai tout vu

-et...tu....je...;enfin tu as vu quoi?

-ton tuyau

-tu es choquée?

-non c'est joli, mais je ne sais pas à quoi ca sert

-c'est pour les garçons faire pipi

-mais moi je n'en ai pas et pourtant je fais aussi pipi.

-tu comprendras quand tu seras plus grande

-tout le monde fait pipi, pourquoi faut il que tu le caches?

-si quelqun savait que tu as vu mon zizi, j'irais en prison et nous serions séparés pendant des années.

-je ne dirai jamais rien à personne c'est pomis. Même si je le vois encore.

-ce sera notre secret personne pas même mamy ne doit le savoir.

-alors tu me le laisseras encore voir?

-c'est pour ça que les petites filles ne dorment pas avec leur papa, pour qu'elles ne voient pas le zizi et que le papa ne voit pas le minou

-maintenant que j'ai vu ton zizi et que tu as vu mon minou je peux rester dans ton lit?

-..........

-j'aime bien voir ton zizi et si tu as envie tu peux regarder mon minou et mes fesses quand tu veux

 

IL avait laché mes mains et s'était etendu sur le dos, le drap remonté juste trop haut pour satisfaire ma curiosité. Je posai la tête sur sa poitrine, ma main gauche sur son ventre à hauteur de son nombril. Je le sentis frémir, mais il ne me repoussa plus. La lumière était toujours allumée. je vis distinctement le drap se lever.Pourtant, sa main  droite était posée sur mes cheveux et la gauche sur mes épaules. 

 

 

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Mardi 1 juillet 2 01 /07 /Juil 05:48

C'est une sensation de vide qui me reveilla le lendemain matin. J'étais seule dans le grand lit. Il me fallu plusieurs minutes pour me convaincre que je n'avais pas rèvé, que j'avais réellement toucher les fesses nues de papa pendant la nuit. En sortant de la chambe, j'entendis le bruit de la douche et me dirigeai vers la porte de la salle de bain. J'imaginais papa tout nu sous le jet d'eau chaude, ses fesses nues ruisselantes et cette chose qui faisait de lui un homme, vrai ou pas, qui devait se balancer sous son ventre. Je me penchai pour regarder par le trou de la serrure mais la buée et l'etroitesse du l'ouverture ne me permirent pas de voir quoi que ce soit. Je restai là torturée par l'envie de savoir. Qu'avait voulu dite maman par "un homme, un vrai"? Toute à mes pensées je ne remarquai pas de suite que l'eau avait fini de couler. C'est le son caracteristique du rasoir électrique de papa qui me ramena à la réalité. Je réfléchi que, vu la disposition de la salle de bain, papa devait etre juste devant la porte. Je recollai mon oeil à la minuscule ouverture. A l'intérieur, la vapeur s'était un peu dissipée. J'apperçu un peu de mon papa chéri. Il s' était enroulé dans une serviette. J'en pleurai presque de déception. j'aurais voulu être une fée ayant le pouvoir de faire disparaitre le bout de tissu pour voir ces fesses qui m'avaient tant toublée cette nuit.

Papa avait fini de se raser, il n'allait plus tarder à sortir.  Je devais me sauver en vitesse si je ne voulais pas me faire surprendre. A contre coeur, je quittai mon poste d'observation et descendis dans la cuisine sans prendre la peine d'enfiler une robe de chambre sur ma robe de nuit de gamine qui, déjà courte d'origine, avait encore perdu un peu de sa longueur avec tout les plis et faux plis créés par ma nuit agitée.

 

Toute petite que j'étais, je savais déjà préparer le café, ce que je fis en rèvassant.

 

-Bonjour, Claire, tu es déjà levée!

-Heuu,........ oui, je......je ne pouvais plus dormir, papa

-je t'ai réveillée en sortant du lit?

-non,non, je me suis réveillée seule. Je t'ai préparé ton café.

-tu es une gentille petite fille, je suis certain qu'il et très bon. 

 

Papa s'est penché pour déposé un bisou sur ma tète. Je me rappelerai toute ma vie l'odeur de son eau de toilette dont il avait du s'asperger avant d'enfiler son peignoir.

 

J'étais assez grande pour me servir du percolateur, mais encore trop petite, pour atteindre l'armoire suspendue dans laquelle maman rangeait les tasses. J'essayai néanmoins d'y parvenir. Etirée, sur la pointe des pieds, ma main arrivait à peine à la poignée de la porte.

 

-laisse mon bébé. Je vais le faire. Tu es encore trop petite!

-désolée, papa, j'aurais voulu te servir ton café. C'est moi la femme de la maison maintenant.

-oui, ma chérie.

 

Papa s'était approché et par dessus ma tète il avait ouvert l'armoire et sorti tasses et bols pour notre petit-déjeuner. Un bref instant, il avait été collé contre mon dos. Je me traitai mentalement d'idiote. Si je m'étais retournée à ce moment j'aurais peut être pu effleurer, au travers de son peignoir, ce que je voulais tant découvrir depuis cette nuit.

Quand il s'écarta de moi et que je lui fis face, je le trouvai tout rouge, comme s'il avait courru  en plein soleil.

Après le petit déjeuner vient le moment le plus délicat. C'était toujours maman qui m'avait donné mon bain le samedi matin, qui, chaque jour, me préparait mes vètements, me coiffait; et, depuis 3 jours, me mettait la paumade que le docteur avait prescrit pour soigner un vilain bouton sur la fesse.

 

-Papa! tu vas devoir remplacer maman, maintenant?

-Heu oui mais pourquoi me demandes tu celà?

-je peux faire couler mon bain toute seule? je te promets, j'attendrai que tu sois là pour entrer dans la baignoire.

-Tu ne sais pas encore prendre ton bain toute seule?

-Maman ne veut pas, elle dit que c'est trop dangereux, qu'il y a plein d'enfants qui se sont noyés dans leur bain.

- et toi, ...tu.....tu...penses que tu es trop petite?

 

Papa était devenu encore plus rouge que quand il avait pris tasses et bols dans l'armoire. Je lui expliquai que maman me surveillait dans le bain tout en se préparant elle-même. Elle avait tout une panoplie de crème, d'huile, d'onguant qu'elle se passait sur tout le corps pendant que je barbotait dans l'eau; et que, de ce fait, je n'avais jamais pris de bain sans surveillance.Papa rétorqua qu'il avait déjà fait sa toilette, qu'il ne savait pas......

Plus il essayait d'échapper à la corvée bain, plus il s'embrouillait, bafouillait , rougissait.

 

-De toute façon il faudra bien que tu sois là pour mettre la paumade sur mon bouton. Le docteur a dit 7 jours de suite et il n'y en a encore que 3. Tu vas chercher mes habits et je prépare le bain d'accord?

 

A court d'argument, papa dût bien se résoudre à  passer par cette corvée. Je me rendis dans la salle de bain et ouvris en grand les robinets. J'étais toute nue quand il revint près de moi, et lui, de plus en plus rouge. Je remarquai vite qu'il faisait tout pour ne pas me regarder, mais dans une pièce aussi exigue, il était impossible de l'éviter. 

 

-L'eau est prète, papa, tu m'aide à entrer dans la baignoire?

-Je te tiens la main?

-non, tu me soulèves et tu me dépose dans le bain

 

Je lui tendis les bras. Quand il me souleva la pointe de mon pied entrouvrit son peignoir accidentellement. Il vait bien sur les deux mains prises pour me deposer dans la baignoire et n'a pas pu refermer son vetement avant que j'entr'appercoive une touffe de poils entourant une sorte de tube rose. j'étais toujours sous l'effet de ma découverte nocturne  et, s'il faut en coire les spécialistes, il n'y a pas plus curieux qu'une petite fille

 

-C'est toi qui va me laver maintenant que maman nous a abandonné?

-tu es grande assez pour te laver toue seule tu ne crois pas?

-je ne saurais jamais me laver le dos toute seule , papa!

-d'accord pour ton dos, mais tu te débrouille pour le reste.

- après mon bain, tu me mettras la crème sur le bouton?

-Claire!!!!!! heu pardon je n'avais pas bien compris, maman m'a parlé en effet de ce vilain bouton mais elle ne pas dit où il était.

-hi hi, il est caché tu vas devoir le chercher

-non n'exagère pas

-s'il te plait papa, maman jouait toujours a chercher le bouton

-Ca suffit, lave toi que je te sorte du bain, je dois aller m'habiller. Tes vetements sont près sur ton lit.

 

Une fois lavée, les puissants bras paternels me sortirent de l'eau puis me frictionnèrent avec une grande serviette.

Papa me recomanda de bien éponger mes cheveux et de les peigner avant de sortir de la salle de bain, puis, sans un regard, il s'en alla vers sa chambre pour se vetir.

Il faisait déjà chaud ce matin là et c'est toute nue que je me dirigeai ver ma chambre. En passant devant la porte de papa, je fus prise d'une irrésistible envie de coller mon oeil à la serrure. Ce que je vis me mis littéralement en transe.  Papa était allongé ur son lit, ausi nu que moi, et d'une main vigoureuse il massait le tube a peine appercu plus tot. Tube qui avait énormément grandi et dont le bout, qui dépassait par intermitence de la main paternelle, de rose avait viré au violet.

 

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Lundi 23 juin 1 23 /06 /Juin 06:18

je m'appelle Claire, je viens d'avoir mes 18 ans, je peux enfin vivre ma vie sans faire prendre de risque à l'homme que j'aime.

Il y a 6 ans, en rentrant de l'école j'ai trouvé  la maison vide. Un mot laconique de maman trônait sur la table: " j'en ai marre de toi, je pars vivre avec un homme, un vrai!" Ca s'adressait à papa bien sur, mais je me rapelle avoir été secouée comme si maman l'avait écrit pour moi. mon premier réflexe de gamine a été d'appeler papa au téléphonne et lui demander de rentrer au plus vite.

Moins d'une heure plus tard il était là. J'étais restée prostrée tout ce temps. A ses questions concernant ma santé, les problèmes que j'aurais pu avoir à l'école etc....Je ne lui répondis qu'en lui tendant le billet de ma mère. Comme moi il en eu les jambes coupées. Je me jettai à l'eau pour lui poser la question qui me taraudait:

 

-Papa!

-oui?

-Qu'est-ce qu'elle veut dire par " un homme, un vrai"?

-......

-Ca peut exister un homme qui ne soit pas un homme? Je pensais qu'il y avait de hommes et des femmes et c'est tout!

-C'est une façon de parler, ta maman me reproche depuis longtemps de ne pas assez m'occuper d'elle.

-Mais je t'ai toujours vu au petis soins pour nous! Grace a toi maman ,'a pas besoin de travailler et quand tu rentres de ton bureau, tu reste tout le temps pres d'elle!

-Ce......ce n'est pas......ce n'est pas à ce sujet

-C'est quoi alors?

-Ce sont des histoires d'adultes que tu ne pourrais pas comprendre

-Jai 12 ans je suis grande assez pour comprendre, papa

-Nous en reparlerons pus tard.

 

Sur ces mots, papa prit son téléphone et appelat le livreu de pizza. Notre dîner fut morose, ni l'un ni l'autre n'avions d'apétit.

A 20 heures papa m'envoyat au lit sans me faire passer par la salle de bain. C'est vrai que c'était toujours maman qui m'y accompagnait pour me frotter le dos et laver me longs cheveux chatains.

 

Une fois dans ma robe de nuit je suis allée embrasser papa et je me suis couchée. Impossible de trouver le sommeil. Vers minuit, ,n'y tenant plus j'allai frappé discretement à la porte de la chambre parentale. Sans attendre l'autorisation j'ouvris la porte et me faufilai près du lit.

 

-papa!

-hm?

-je ne peux pas dormir

-c'est normal tu es bouleversée

-je peux rester près de toi?

 

sans attendre sa réponse je me glissai sous la couette. Papa me tournait le dos

 

-prends moi dans tes bras papa s'il te plait

-tu n'es plus un bébé tu n'as quand même pas peur toute seule!

-s'il te plait papa

-bon allez viens, mais tu dors tout de suite d'accord?

-bonne nuit petit papa chéri

-bonne nuit ma puce

 

papa se mis sur le dos et m'ouvrit les bras dans lesquels je me précipitai, la tète sur son épaule. Il était torse nu mais je n'y voyais pas  malice, il faisait très chaud cette nuit là.

Quelques minutes plus tard, un léger ronflement me permit de comprendre qu'il dormait et je finis moi même par somnoler.

 

Il faisait toujours nuit lorsque je me reveillai. Papa sétait de nouveau tourné sur le coté et j'étais contre son dos. Ma robe de nuit était remontée sur mon ventre et les plis qu'elle formait la rendaient inconfortable. En voulant la tirer sur mes cuisses je touchai accidentellement les fesses de papa. Je reçus comme une décharge électrique! papa n'était pas torse nu comme je l'avais pensé, mais tout nu. Il n'y avait pas le moindre doute, Ce que ma main venait d'effleurer était bel et bien une fesse nue. Immédiatement je m'écartai, mais, comme attirée par un aimant, ma main revint doucement froler le derrière de papa. Malgré la peur intense qui m'avait prise d'étre chassée du lit paternel, je ne pouvais pas m'empècher de suivre le contour de cette demi sphère si chaude et si douce à la fois. Je n'avais jamais ni vu ni touché un autre derrière que le mien et a fortiori celui d'un garçon.

 

Les mots de maman me sautèrent à la figure,:" une homme, un vrai". Bien sur malgré mon jeune age je savais qu'un homme avait un zizi là où moi j'avais un abricot. Bien que n'en ayant jamais vu,je savais aussi à quoi ressemblait plus ou moins le zizi en question. Mais ici, dans ce lit, je me suis surprise à penser que de l'autre coté de ce cul devait se trouver le sexe de papa aussi nu que ses fesses. Le voir pour comprendre ce que maman avait voulu dire devient une obsèssion, mai allumer la lumière et tirer le drap était impensable. Je me rendormis la main toujours posée sur la fesse chaude et ferme.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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