Vendredi 30 mars 5 30 /03 /Mars 06:23

Dure semaine pour maman!

Avec  les fessées de papa trois soirs de suites, ses grosses fesses n'ont plus le temps de reprendre leur couleur blanche.

Ce matin, elle n'a pas pu aller travailler. J'ai téléphonné à son paton pour l'avertir. Il n'est pas content mais bon! tout le monde a le droit d'être malade que ce soit de la tête ou du cul.

Je monte l'avertir que son patron accepte un jour d'absence mais qu'elle doit impérativement reprendre le travail demain.Elle n'est pas dans sa chambre. le bruit de la douche m'indique non seulement où elle est mais surtout dans quelle tenue! J'attends silencieusement la fin de ses ablutions en me remémorant la soirée d'hier. c'est devenu une habitude pour papa de la fesser toute nue même si Christine ou moi sommes présents, pourtant je ne me lasse pas de regarder.

La douche s'est arrètée, maman est donc sortie de la cabine et doit s'essuyer, nue devant la porte. Sans frapper, j'entre dans la salle de bain. j'ai bien calculé mon coup! Elle enroule la serviette en turban pour eponger ses cheveux. Rien sous la main pour se cacher. Elle me tourne le dos et n'a pas remarqué tout de suite mon entrée indiscrète.

 

Les fesses sont toujours marquées. De profondes lignes sombres zèbrent le cul maternel. Le dos et les cuisses sont dans le même état et, bien que je ne les vois pas, je sais que le ventre et les seins n'ont pas été épargnés non plus.

 

-Sors d'ici tout de suite!

-pourquoi? je t'ai déjà vue toute nue

-Ce n'est pas parceque ton père te laisse assister à nos disputes que tu peux venir te rincer l'oeil sur moi. Je ne suis pas ta petite amie!

- Ma copine n'a pas un si gros cul que toi!

 

Maman se retourne pour me giffler, mais malgré l'exiguité de la salle de bain je n'ai aucun mal à esquiver sa main. Ce raté la met hors d'elle. Elle en oublie de cacher son minou, ce qui me laisse froid, c'est son cul que j'aime regarder;

 

-Si tu ne sors pas immédiatement, tu vas te prendre la plus belle fessée de ta vie 17 ans ou pas!

- Tu ne pourras jamais m'attraper, ça ne me fait pas peur!

 

Depuis la visite de son amie Andrée et la perte de mon pucelage qui en a suivi, j'ai pris plus d'assurance. Je suis devenu bien plus insolent et ce n'est pas la première fois que je réponds d'une façon qui, il y a moins d'un an, aurait vallu un fameux changement de couleur à mon postérieur.

 

-La correction que papa t'a donnée hier, tu l'avais méritée. A cause de toi, l'ambiance du diner est pourrie depuis le début de la semaine.

- tu crois que je n'ai pas vu ton sourire quand ton pere a baissé ma culotte? Alors ne viens pas me dire que je pourris l'ambiance, tu es bien trop content du spectacle que je donne involontairement.

-De toute façon, tu aimes montrer ton cul si j'en crois ce que papa a dit hier, alors pourquoi pas à moi?

-Parceque je suis ta mère et que tu n'as pas à me regarder toute nue!

-Je regarde si je veux; et si ça t'ennuye de me montrer tes seins et ta chatte poilue, retourne toi.

 

La discution s'enfle de plus en plus. maman est rouge de colère, bien plus que de honte. Une seconde tentative de me giffler rate sa cible. Cette fois,les ongles ont effleuré ma joue. Déséquilibrée par son mouvement, maman s'est rattrapée à mon peignoir qui s'ouvre en grand. Je n'ai pas de pyjama. Je dors nu depuis quelques temps.

 

- Essayes encore de me frapper une fois, et je complète la fessée que papa t'a donnée!

-......

 

Maman en reste sans voix. Moi-même n'ose croire que j'ai osé menacer ma mère d'une fessée. Mais c'est trop tard, les mots sont sortis et il n'est pas question que je me rétracte.Je la défie du regard. Petit à petit, elle baisse les yeux. J'ai gagné! Il faut pourtant que je reprenne l'initiative:

 

-Je pourrais dire à papa , ce soir, que je t'ai vue avec ton amant au super marché.

-Mais.....c'est un mensonge!

- Qui penses tu que papa croira?

-Ne fais pas celà, s'il te plait. Ton père me tuerait!

-Te tuer? non, mais ton gros cul rouge décorerait de nouveau le salon  plusieurs jours de suite. je trouve d'ailleur qu'il a pâli depuis hier soir, ses couleurs ont bien besoin d'être ravivées.

 

j'ai été trop confiant. Je pensais que ma dernière vanne l'avait brisée. Avant de me rendre compte de ce qu'il m'arrivait, elle s'est assise sur le bord de la beignoire et m'a basculé en travers de ses cuisses. Une main a écarté mon peignoir déjà ouvert et l'autre donne à mon cul la couleur que je prétendais donner au sien. Une courte pause dans la fessée, trop courte pour ue je puisse réagir. La serviette qui épongeait ses cheveux est venue armer la main vengeresse. Le lourd tissus mouillé me cingle des cuisses jusqu'au milieu du dos , insistant particulièrement sur la partie charnue de mon individu. je réalise que je suis plus habillé qu'elle ce qui est le monde a l'envers dans le domaine de la fessée. Au rythme des coups, mes attributs cognent contre ses cuisses nues, à quelques cm de son minou; et, bien sur, l'effet est quasi immédiat. Elle a du le sentir et celà l'a perturbée car la main qui me maintenait fermement se relache. En 10 minutes de fessées mon derrière me brûle et ma colère monte en moi aussi vite que mon sexe se dresse.Je profite de son hésitation pour échapper à son emprise. Je suis campé devant elle sans m'occuper de mon indécence. Je lui arrache des mains la serviette humide.

 

- tu vas regretter ce que tu viens de me faire. Papa va t'arracher la peau du cul dès ce soir!

-Non! ne dis rien s'il te plait. je...je préfère.........

-Quoi? que préfères tu?

- tout, plutot que de subir ce que ton père me ferait si il devait douter de ma fidèlité.

- Vraiment tout?

-O....oui

-Alors lève toi et penche toi sur le lavabo!

-Ne sois pas trop sévère, il ne faut pas que ton père voit les marques!

-IL ne fera pas la différence entre celles qu'il ta infligées hier soir et celles de ce matin.

 

Soumise, maman prend la position que je lui ordonne. je palpe le gros cul tendu vers moi. Puis, un bout de la serviette enroulé autour de ma main, je taquine ses fesses de l'autre bout. Maman frissonne et je doute que ce soit de froid. elle se contracte ce qui augmente les capitons qui décorent son gros derrière. Sans un mot, je lève le bras au dessus de ma tête et abats la serviette.L'extrémité trempée claque sur la peau. un cri m'apprend que j'ai visé et dosé juste. C'est une pluie incessante de coup qui redonne au cul maternel la couleur qu'il avait hier soir quand papa l'a laissée au salon. Le martinet improvisé a la bonne longueur pour couvrir à chaque fois toute la largeur. je ne m'occupe ni des cuisses ni du dos. juste les fesses.

 

Je ne sais pas combien de fois j'ai lévé et abaissé le bras. Je suis essouflé, en nage, épuisé. fesser ma mère n'a pas calmé mon érection, bien au contraire.je laisse tomber la serviette sur le carrelage et, des deux mains, malaxe les enormes globes rouge vif.Je passe les doigts entre eux, les écarte, me régale de la vue du trou plissé.J'avance un peu plus la main.

 

-Mais tu es trempée!!!!!!!!!!!

 

Maman n'ose ni répondre ni bouger. Je comprends pourquoi elle se plie si docilement aux exigences punitives de papa. Elle est au bord de l'orgasme et en bon fils, je ne peux pas la laisser dans cet état.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : A mon tour de fesser - Communauté : Les amateurs de Fessées
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