Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 00:41

D'une main ferme, elle m'a plié jusqu'au sol, le nez sur les grosses goutes de sperme. Pas besoin d'ordre, je sais ce qu'il me reste à faire. Je joue les dégoutés pour lui donner le change. Un fois le sol relèché, elle m'a saisi par les cheveux et a appliqué mes levres sur le bas de la trainée de semence qui macule sa jambe. Le contact du bas sur ma langue me deplait, mais elle ne me laisse pas le choix. Dès que je fais mine de m'écarter, je sens ma tignace prète à me quitter. Elle remonte ainsi ma tête tout le long de la coulée de sperme. Je lèche et j'avale de plus en plus difficilement, la langue et la gorge sechées par le nylon. Arrivé à sa cuisse, j'ai une vue surprenante sous sa jupe courte. L'amie de maman met des culottes aussi fines et transparentes que ses bas.

 

Andrée a tout dit à maman au telephonne,enfin presque tout, ensuite elle a écouté un court instant et elle a raccroché.

 

Je suis au coin. Tout nu. Les fesses en feu. J'entend des pneus crisser sur le gravier devant la maison. Maman entre, accompagnée de sa collègue Ginette. Je déteste cette grosse femme toujours en sueur. Elle sent fort. Je me demande quand elle se lave?

 

Dès qu'elle a posé le pied sur la terrasse, Ginette éclatte dun rire vulgaire :"tiens, la lune rouge en plein jour d'été, c'est pourtant signe de neige!"

- je ne pense pas qu'il neige aujourd'hui, lui répond maman, mais il va pleuvoir une belle série de coups de martinet.

 

Sans ajouter un mot, ma mère s'est approchée de moi. Elle a du prendre la martinet en passant par le salon car une première cinglée m'arrache immédiatement un hurlement. elle a visé la partie la plus marquée de mon gros cul. Je tente de me protèger les fesses avec les mains, mais aussitot, ce sont elles qui recoivent la morsure des lanières et instinctivement je les retire pour les replacer sur le mur.

 

Tout les dix coups, j'ai droit  à une remarque.

 

-Ainsi, monsieur, se balade le cul nu devant ses amis!

 

- Ainsi, monsieur, se permet de pelotter le derrière d'une jeune fille!

 

-Ainsi, monsieur jouit quand on le fesse!

 

-On va voir si le martinet fait autant plaisir à monsieur!

 

maman s'essoufle, j'entend sa respiration se précipiter. Elle hallète presque.

 

-Tu te fatigue pour rien, lui dit Ginette.

La garce a parlé a l'oreille de maman qui a cessé de me fouetter sans pour autant me laisser quitter le coin.

Un instant plus tard je l'entend revenir du jardin en précisant "qu'avec ça, pas besoin de se donner chaud et c'est encore plus efficace que le martinet!"

 

La main de fer d'Andrée me serre la nuque et me pousse vers une chaise surlaquelle la grosse ginette s'est assise, une main cachée derrière le dos. Irrésistiblement , je suis basculé en travers ses genoux. avec une souplesse que je n'aurais jamais devinée chez une si grosse femme, elle passe un pied sur l'arrière de mes chevilles. Elle me bloque les jambes. sa main libre me pousse les épaules de sorte que ma tête touche presque le carrelage. j'ai le cul tendu vers le ciel, les fesses un peu écartées.

 

-Sur un cul aussi bien soigné, les orties vont faire merveille, vous allez l'entendre chanter!

 

Sans me laisser le temps de réfléchir à la signification de sa remarque, Ginette se met à me carresser le derrière avec le bouquet d'orties qu'elle est allée cueillir au jardin; en penant bien garde d'enfiler un gant de cuisine au préalable.

Pour commencer, le contact est plutot doux, frais, presque apaisant pour mes grosses fesses écarlates. Celà change très vite. Une brûlure insupportable remplace la sensation de douceur. Elle ne frappe pas fort, au contraire elle frotte plutot lentement les urticacées sur et entre mes fesses. Je hurle à m'en casser la voix.

 

Autour de moi, ce ne sont que rire et commentaires, plutot retenus de la part des ados, distingués d'Andrée et de maman et égrillards de la grosse Ginette

 

- tu vois? comme ça, tu peux y aller jusqu'à demain sans te fatiguer. Et meme quans tu auras fini, il sentira la morsure des orties pendant plusieurs heures encore!

 

Chacun à son tour, maman, Andrée mais aussi Christine, Aurélie et Jean vont me passer ce nouvel outil de punition sur et entre les fesses, jusqu'a l'anus, jusqu'au dessous des testicules.

 

-File au lit, je ne veux plus te voir avant demain!

-laisse le se frotter le cul si il en a envie, plus il se frottera plus cela piquera!

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : fessées publiques
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés