les amies de maman

Jeudi 29 mars 4 29 /03 /Mars 06:10

-Bonjour, Michel, dis à ta maman que je suis arrivée

-Mais, elle n'et pas là, elle travaille!

- Oh! et à quelle heure rentre-t'elle?

-vers 17 heures 30.

-Tu es seul à la maison?

-Oui, papa ne rentre que tard ce soir et Christine est chez nos grands-parents.

-C'est ennuyeux, je dois parler à ta maman, elle a un double de mes clés et j'ai oublié les miennes ce matin. Tu m'offres l'hospitalité jusqu'à ce qu'elle rentre?

 

Sans réfléchir, je m'écarte de la porte et laisse entrer cette femme qui m'a toujours intimidé. Seul chez moi depuis le matin, je n'ai pas pris beaucoup de soin à ma tenue, un slip, un short et un t shirt sont bien suffisant en ce mois de septembre très chaud.

Arrivé dans le salon, je rougis jusqu'au cheveux. Ne pensant pas que l'importun qui m'avait dérangé entrerait, j'ai laissé la revue  gay que je lisais sur la table. Je tente maladroitement de contourné Andrée pour subtiliser discrètement la preuve de mon inconduite, mais elle est plus rapide que moi. Elle s'assied dans un fauteuil bas, et attrape la revue qu'elle feuillette illico.

 

-Et bien! c'est du propre! Je doute que tes parents sachent le genre de lecture qui t'occupe en leur absence.

-..........

 

Je baisse la tête et bredouile une vague histoire de revue oublée par un copain ce matin. je vois bien qu'elle ne me croit pas un seul instant. Son sourire montre assez qu'elle se moque de moi en me laissant me dépétrer dans mes explications fallatieuses.

 

-Il fait chaud, sers moi un verre.

-Que voulez vous boire? eau, bière, vin?

-Un verre de vin me conviendrait mais ne me laisse pas boire seule. Ce n'est pas poli

- Je vous apporte celà de suite. laissez moi vous débarasser de cette revue, je vais la rangé pour la rendre à mon copain demain.

-Non. Apporte le vin et les verres, j'ai envie de lire aussi.

 

Quand je reviens de la cuisine avec les boissons, Andrée est toujours occupée à lire. Elle lève la tête, m'invite à m'asseoir en face d'elle et commence à déguster son vin d'une bouche gourmande.

 

-Je ne comprends pas comment celà peut être possible!

-Quoi donc?

-Il y a tant de femmes Célibataire ou veuves ( elle est divorcée depuis des années) et ces beaux jeunes hommes qui font l'amour entre eux c'est honteux!

 

je ne sais que répondre. Il y a bientot deux ans que son fils me défonce la rondelle sans pour autant être homo.. En l'écoutant, je la détaille un peu. elle a mis comme toujours une minijupe qui dévoile largement ses cuisses musclées. Sa position dans le fauteuil bas accentue encore le peu de longueur de son vetement et elle semble ne pas le remarquer. Ses seins, libre de tout soutien gorge, sont etroitement moulés par son chemisier. Elle a ouvert sa veste et quand elle lève son verre, je devine la tache plus sombre de ses aréoles. comme si je n'étais pas là, elle croise soudain les jambes si haut que sa culotte rose me fait un clin d'oeil. Je détourne le regard un instant, mais hypnotisé par ce bout de tissus, mes yeux reviennent d'eux mêmes sur son antre secret.

 

-As tu fini de regarder mes cuisses?

-Euh, je ne regardais pas.

-Ne me prends pas pour une idiote j'ai bien suivi ton regard. A ton age tu as quand même déjà vu des jambes de femmes? a moins que tu ne sois plus attiré par celle des hommes?

-mais non , Andrée, je vous assure que je ne regardais pas vos cuisses. Et oui j'ai déjà vu des femmes nues.

- en vrai? ou en photo?

-euh.... en vrai

-Combien? ne me ments pas!

- 3

-des femmes que je connais?

-C'est possible, je ne sais pas

 Une fois de plus j'ai du rougir comme une pivoine en commettant ce mensonge. mais comment lui dire que ces trois femmes sont sa fille, ma soeur et maman?

 

-Et...... ça t'a plu?

-o..oui!

- Des gamines de ton age je supose?

-Et une femme plus agée aussi.

- De quel age? vieille, ou de l'age de ta maman ou du mien?

- De.... l'age de... maman

- Mince, grosse? Toute nue ou juste en petite tenue?

- Vous me gènez!

-allons, ne sois pas si troublé nous sommes entre adultes. Dis moi tout, je le veux.

- Ben... toute nue et grosse.

-Grosse comme ta maman?

-oui

 

Elle replonge dans la lecture de ma revue quelques minutes puis recommence son interrogatoire

 

-Dis moi, As tu déjà fouillé dans la lingerie de ta maman?

-...........

-Allez ne sois pas si timide, tout les garçons le font. J' ai surpris plus d'une fois Jean le nez plongé dans mes petites culottes, et pas seulement les propres.

 

Elle éclate de rire en me regardant droit dans les yeux. Ses jambes sont encore plus croisées qu'au début de notre discution. Ce n'est plus un bout de tissus que je vois mais sa culotte entière y compris quelques poils indiscrets qui s'en échappent.

 

-oui j'ai deja ete dans sa commode

- as tu mis une de ses culottes?

-oui mais elles sont trop grandes pour moi.

-arrete de regarder la mienne, tu es indiscret

-je ne regardais pas

-menteur, si tu continues, tu sais bien que je t'ai déjà donné la fessée et je pourrais recommencer!

- je suis adulte maintenant, je n'ai plus a la recevoir!

-tu veux parier?

 

Son ton, à mi chemin entre le rire et la sévérité me secoue brusquement. je ne sais plus que penser. cette femme de l'age de maman me parle de ses dessous et de me déculotter à 17 ans. l'effet est immédiat. Si je suis resté calme en regardant sa culotte, l'idée d'être à nouveau cul nu sur ses genoux gonfle mon short.je pose les mains sur mon ventre pour lui cacher mon impudeur.

 

-Alors? tu n'oses plus rien dire! Tu as peur pour tes petites fesses? Pas si petites que cela d'ailleur je me souviens que tu en as de bien dodues.

-Vas me remplir mon verre stp, il fait chaud, j'ai soif.

 

J'emporte les verres vides à la cuisine pour les remplir, tout en prenant bien garde de ne pas lui faire face. Je ne bois jamais et le vin me tourne un peu la tête.Quand je retourne au salon, mon sexe s'est remis en repos mais je n'ose plus regarder Andrée dans les yeux

 

- merci. tu n'as toujours pas répondu à ma question!

-Laquele?

-Penses tu que je ne pourrais plus te donner une bonne fessée sur ton cul nu?

-Je n'ai rien fait pour en mériter une

-oui tu t'es rincé l'oeil sur ma culotte et celà t'a fait bander cochon!

- Si vous ne vouliez pas que je la vois, il ne fallait pas me la montrer, alors je ne sais pas lequel de nous deux mérite d'être fessé.

 

Je n'en reviens pas d'avoir osé de tels mots! Ca doit être le vin, A peine prononcées je regrette mes paroles. je ne sais plus où me mettre.Andrée se joue de moi. Elle prend un air sévère que dément le ton de sa voix. Ses cuisses ne sont plus croisées. Ele est assise bien droite dans le fauteuil, comme l'était mon institutrice derrière son bureau.

 

-De toute façon, quand je dirai à ton papa le genre de lecture qui est la tienne, je suis certaine que malgré tes 17 ans, ton cul vas rougir et même saigner!

-Vous... vous n'allez pas faire celà????

-Et pourquoi pas? Je n'ai pas cru un seul instant à ton histoire de revue oubliée par un copain. Et puis tu la lisais tu as donc une attirence pour les hommes et celà, ton papa ne le supportera pas.

- S'il vous plait ne lui dites rien

-A toi de choisir. Ou ton pere ou moi. Mais l'un de nous te fessera aujourd'hui!

 

Ayant plus d'une fois vu l'état des fesses de maman après une correction, mon choix est vite fait. Mieux vaut la main de cette femme que le fouet de mon père.

 

-Tu as fait ton choix?

-S'il faut passer par là, autant que ce soit vous.

-Et bien viens ici, baisse short et slip et mets toi en position!

 

Mi appeuré, mi excité par la situation, je m'apporche d'elle et timidement fais glisser mon short sur mes genoux.Sans un mot, elle me fait signe de l'enlever completement, puis de faire suivre mon slip qui est de nouveau gonflé. Je me sens ridicule ainsi vêtu de mon seul t shirt. J'ai  beau le tiré sur mes cuisses, il n'est pas assez long pour cacher quoi que ce soit. D'un claquement de doigt, elle m'intime l'ordre de me positionner comme un gamin sur ses cuisses qu'elle a découvertes. Je suis encore face à elle. j'ai un hoquet de surpise en constatant que pendant mon court séjour dans la cuisine, elle a oté sa culotte. j'obeis sans le moindre commentaire,la tête remplie de questions sur les motivations réelles de la meilleure amie de maman. je passe sur le coté du siège et me place comme elle l'exige.

 

-Que penses tu de 50 claques sur chacune de tes fesses? Est ce suffisant pour te punir de ta curiosité?

-oui...... largement

- demande le moi alors!

-?????????

-Demande moi de te fesser et n'oublie pas de préciser le nombre de claque et la raison de la punition

-voulez vous me donner 50 claque sur chaque fesse pour avoir oser regarder votre culotte?

-Et combien estimes tu en mériter pour avoir osé bander devant moi?

-les 100 claques sont pour solde de tout compte s'il vous plait.

-Ca je verrai suivant ton comportement

 

A peine a -t'elle achevé de parler que la première claque tombe. elle n'est pas très forte mais je la sens bien quand même.

comme la première fois qu'elle m'a fessé, elle prend tout son temps. Elle sait que personne ne nous dérangera avant deux bonnes heures. Andrée fait coincider les coups avec le tic tac de l'horloge du salon. Enfin le tic pas le tac car c'est a raison d'une claque toute les deux secondes que je reçois ma punition.Dès la 40ème je suis pres de jouir. elle doit bien remarquer l'état de mon sexe coincé entre ses cuisses nues, a quelques cm de son minou nu également. Elle marque une pause. Mon excitation retombe un peu.Quand elle reprend c'est par série de 10 avec à chaque fois un arrêt qui m'évite de lui maculer les jambes. mes mouvements, combinés aux siens ont remonté sa jupe jusque sous son ventre, et, quand je me redresse fessée terminée, j'ai une vue complète de son intimité qu'elle ne tente pas le moins du monde de me cacher.

 

-as tu eu très mal?

-assez oui mais c'était supportable

- te voilà ou plutot NOUS voilà dans un bel état!

-Je suis désolé je ne peux pas contôler celà.

-Peut-être pas, mais tu peux y remédier.

-Que voulez vous dire?

-Ne fais pas l'innocent! tu as bien compris ce que je veux. et ce sera bien mieux que de te branler en regardant des hommes nus, aussi beaux soient ils.

 

Elle s'est levée. Elle me tire par la main vers le canapé sur lequel elle s'étend.Sans me lacher, elle dégraffe sa jupe, soulève les fesses et la descend jusqu'à ses chevilles. Un coup de pied envoit le vêtement sur le sol. toujours d'une main, elle déboutonne son chemisier qu'elle écarte me dévoilant en plus ses petits seins fermes et nus.Cuisses grandes ouvertes, sans un mot, elle m'attire sur elle.

La vue de cette femme toute nue, offerte a un effet desastreux sur ma libido. Aussi vite il s'était dressé, aussi vite, mon sexe ramollit et retombe.

Andrée est furieuse et déçue:

-Quoi! je ne te plais pas?

-C'est que.......

-Ne me dis pas que tu es puceau!

-oui, je n'ai jamais couché avec une femme.

-tu ne l'as quand même pas fait avec des hommes???????

-Jusqu'ici, oui, seulement avec des garçons, et ce n'était pas moi qui était actif!

-tu es un enculé? Il n'y a que la fessée ou l'intromission d'un sexe dans ton cul qui te fait bander?

-.........

Je suis mort de honte, prèt à pleurer comme un gosse. Voir le cul de maman me fait duricir comme une bète, et là, alors que j'ai une femme offerte à portée de ma queue, je n'éprouve aucune envie.

M'ayant ordonné de rester à genoux, sans bouger, au pieds du canapé, Andrée se dirige vers la cuisine et en reviens avec la bouteille de vin qu'elle vide dans nos verres.

-Puisque c'est celà qu'il te faut!!

 

Avant d'avoir pu escuissé le moindre geste, je me retouve avec le goulot de la bouteille enfoncé profondément dans le derrière. Mon sexe s'est redressé aussitot. Andrée se recouche sur le canapé et, sans lacher le gode improvisé, m'attire à nouveau sur elle.Dès que je suis sur son ventre, elle glisse sa main libre entre nous et me guide en elle. C'est un double cri qui ponctue la perte de mon pucelage "avant". La main de ma maitresse court sur mon cul, le pinçant, le gifflant de plus en plus fort au fur et à mesure que son plaisir monte. L'autre main active la bouteille en moi et très vite j'innonde pour la première fois l'intérieur d'un minou. Elle ne me lache pas pour autant, me force à continuer de m'activer en elle jusquà ce qu'à son tour elle me crie son orgasme.

 

 Nous restons nus tout les deux un long moment. Elle me serre dans ses bras, me berce comme un bébé, ma tête sur ses nichons. Quand enfin, elle reprend ses esprit c'est pour m'ordonner:

 

-nettoye moi maintenant, avec ta langue

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : la fessée pour le plaisir
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Jeudi 15 mars 4 15 /03 /Mars 00:41

D'une main ferme, elle m'a plié jusqu'au sol, le nez sur les grosses goutes de sperme. Pas besoin d'ordre, je sais ce qu'il me reste à faire. Je joue les dégoutés pour lui donner le change. Un fois le sol relèché, elle m'a saisi par les cheveux et a appliqué mes levres sur le bas de la trainée de semence qui macule sa jambe. Le contact du bas sur ma langue me deplait, mais elle ne me laisse pas le choix. Dès que je fais mine de m'écarter, je sens ma tignace prète à me quitter. Elle remonte ainsi ma tête tout le long de la coulée de sperme. Je lèche et j'avale de plus en plus difficilement, la langue et la gorge sechées par le nylon. Arrivé à sa cuisse, j'ai une vue surprenante sous sa jupe courte. L'amie de maman met des culottes aussi fines et transparentes que ses bas.

 

Andrée a tout dit à maman au telephonne,enfin presque tout, ensuite elle a écouté un court instant et elle a raccroché.

 

Je suis au coin. Tout nu. Les fesses en feu. J'entend des pneus crisser sur le gravier devant la maison. Maman entre, accompagnée de sa collègue Ginette. Je déteste cette grosse femme toujours en sueur. Elle sent fort. Je me demande quand elle se lave?

 

Dès qu'elle a posé le pied sur la terrasse, Ginette éclatte dun rire vulgaire :"tiens, la lune rouge en plein jour d'été, c'est pourtant signe de neige!"

- je ne pense pas qu'il neige aujourd'hui, lui répond maman, mais il va pleuvoir une belle série de coups de martinet.

 

Sans ajouter un mot, ma mère s'est approchée de moi. Elle a du prendre la martinet en passant par le salon car une première cinglée m'arrache immédiatement un hurlement. elle a visé la partie la plus marquée de mon gros cul. Je tente de me protèger les fesses avec les mains, mais aussitot, ce sont elles qui recoivent la morsure des lanières et instinctivement je les retire pour les replacer sur le mur.

 

Tout les dix coups, j'ai droit  à une remarque.

 

-Ainsi, monsieur, se balade le cul nu devant ses amis!

 

- Ainsi, monsieur, se permet de pelotter le derrière d'une jeune fille!

 

-Ainsi, monsieur jouit quand on le fesse!

 

-On va voir si le martinet fait autant plaisir à monsieur!

 

maman s'essoufle, j'entend sa respiration se précipiter. Elle hallète presque.

 

-Tu te fatigue pour rien, lui dit Ginette.

La garce a parlé a l'oreille de maman qui a cessé de me fouetter sans pour autant me laisser quitter le coin.

Un instant plus tard je l'entend revenir du jardin en précisant "qu'avec ça, pas besoin de se donner chaud et c'est encore plus efficace que le martinet!"

 

La main de fer d'Andrée me serre la nuque et me pousse vers une chaise surlaquelle la grosse ginette s'est assise, une main cachée derrière le dos. Irrésistiblement , je suis basculé en travers ses genoux. avec une souplesse que je n'aurais jamais devinée chez une si grosse femme, elle passe un pied sur l'arrière de mes chevilles. Elle me bloque les jambes. sa main libre me pousse les épaules de sorte que ma tête touche presque le carrelage. j'ai le cul tendu vers le ciel, les fesses un peu écartées.

 

-Sur un cul aussi bien soigné, les orties vont faire merveille, vous allez l'entendre chanter!

 

Sans me laisser le temps de réfléchir à la signification de sa remarque, Ginette se met à me carresser le derrière avec le bouquet d'orties qu'elle est allée cueillir au jardin; en penant bien garde d'enfiler un gant de cuisine au préalable.

Pour commencer, le contact est plutot doux, frais, presque apaisant pour mes grosses fesses écarlates. Celà change très vite. Une brûlure insupportable remplace la sensation de douceur. Elle ne frappe pas fort, au contraire elle frotte plutot lentement les urticacées sur et entre mes fesses. Je hurle à m'en casser la voix.

 

Autour de moi, ce ne sont que rire et commentaires, plutot retenus de la part des ados, distingués d'Andrée et de maman et égrillards de la grosse Ginette

 

- tu vois? comme ça, tu peux y aller jusqu'à demain sans te fatiguer. Et meme quans tu auras fini, il sentira la morsure des orties pendant plusieurs heures encore!

 

Chacun à son tour, maman, Andrée mais aussi Christine, Aurélie et Jean vont me passer ce nouvel outil de punition sur et entre les fesses, jusqu'a l'anus, jusqu'au dessous des testicules.

 

-File au lit, je ne veux plus te voir avant demain!

-laisse le se frotter le cul si il en a envie, plus il se frottera plus cela piquera!

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : fessées publiques
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Lundi 12 mars 1 12 /03 /Mars 06:28

 

Aurélie et Jean viennent de plus en plus souvent passer la journées avec nous. Andrée, leur maman et amie de la notre, les dépose le matin et vient les rechercher dans l'après-midi.

 

Je suis devenu leur esclave. Dès qu'Andrée est partie, je dois me mettre nu avec juste un tablier qui couvre mon ventre et se noue au dessus des fesses, laissant tout le coté pile a l'air.

 

Entre Christine et Aurélie, c'est à celle qui trouvera le meilleur moyen de m'humilier. Et, bien sur, Jean n'est pas en reste. Il n'y a pas de visite de nos amis sans que mes fesses rougissent sous la main de l'un ou l'autre, ni sans que mon cul ne soit perforé.

 

8 heures

 

ILs vont arrivés. Je suis encore en pyjama. Hier, maman a encore été fessée, et je n'ai pas pu dormir avant tard dans la nuit.

J'entends la voiture d'Andrée. maman lui a confié une clé de la maison, elle n'a même plus beoisn de sonner à la porte.

Je me précipite dans ma chambre, laissant à Christine le soin d'accueillir nos amis. Je ne peux paraitre devant mes tortionnaires qu'habillé du fameux tablier.

 

8 heures 30

 

Caché sur la mezzanine, j'ai vu Andrée quitter la maison. Sa robe est encore plus courte que d'habitude. Si maman osait montrer autant de ses cuisses, papa ferait une attaque.

 

-Michel! Descends, apporte nous de la limonade et des verres sur la terrasse.

-j'arrive tout de suite

-dépêche toi, nous n'aimons pas attendre

 

Quand j'arrive  sur la terrasse, ils sont déjà installés. Jean sur une chaise de jardin, les filles allongées dans des transats. Je suis un peu plus habile avec un plateau, mais cela reste difficile de marcher sur les genoux sans renverser la moindre goute.

 

-aujourd'hui, nous jouerons à l'école

-qui sera l'institutrice?

-ou l'instituteur!

-tirons au sort. Michel vas chercher 3 petites fiches en carton, 3 carnets et 3 crayons.

 

Bien sur, je n'ai aucune chance d'etre désigné comme instituteur. je suis exclu du tirage. Jean se charge d'écrire les 3 noms et de désigné "au hazard" celui ou celle qui guidera la "classe".

C'est Aurélie qui gagne. je suis convaincu que son frère a fait ce qu'il fallait pour celà. Dictée, calcul, récitation suivent. la première faute vient de ma soeur. J'arrète de respirer. C'est inatendu.

 

-Christine, vous ne connaissez pas vos leçons. Je vais encore devoir vous punir. Venez au tableau!

_Mais, madame!

-il n'y a pas de mais! venez ici, relevez votre jupe et baissez votre culotte!

- Madame! pas devant la classe!!!!!

-Et pourquoi pas? C'est bien le sort qui attend les autres élèves aussi

 

Si j'ai déjà vu le cul de ma soeur, en revanche, Jean ne le connait pas encore et une fois de plus, je suis certain que tout celà a été règlé entre sa soeur et lui.

Bonne joueuse, Chrisitine se lève de sa chaise et approche, tête baissée de sa copine. Elle hésite à peine à relever sa courte robe et à baisser sa culotte. Comme maman, elle a un gros cul tout blanc.

 

- Ce sera 5 claques sur vos fesses et 5 minutes au coin cul nu.

-...........

 

Assis juste à coté de jean, je remarque la tension qui gonfle son jeans. Les claques ne sont pas fortes, les fesses de Chrisitine rosissent à peine, mais leur balottement fait son effet dans nos slips.

 

9 heures

 

Le "cours" continue mais il nous est difficile de nous concentrer avec le gros cul de ma soeur sous les yeux.

 

-Retournez à votre place.

-Merci  madame

- Jean, quelle est la racine carrée de 256?

- heu...... 14?

- Vous êtes un ane. Venez ici apprendre à compter.

 

Un large sourire aux lèvres, jean s'approche de sa soeur et sans attendre l'ordre, baisse jeans et slip en un seule mouvement. Ca ne doit pas lui déplaire de montrer son cul aux filles qui de toutes façons, l'ont déjà vu a suffisance quand il m'enculait.

les 10 claques, sont appliquées un peu plus fermement. Cette fois, la main d'Aurélie reste dessinée en rouge sur les fesses du "puni"

 

10 heures 30

 

Chacun à notre tour, nous avons subi la colère de notre institutrice. Chacun est passé 3 fois par la fessée et la mise au coin. je suis le seul à ne pas avoir du me déculotter, vu ma tenue. Ma soeur propose un bain de soleil en guise de récréation. Acceptation de tous. Les filles s'installent sur les transats, sans fausse pudeur, elles ont retiré leur robe et se font bronzer en culotte et soutien gorge. C'est la première fois que je vois Aurélie en si petite tenue et, quand elle m'appelle pour lui enduire le dos d'ambre solaire, je ne peux cacher une érection qui gonfle mon tabler. A genoux à coté de son transat, je passe timidement l'huile sur le dos déjà bien brun, évitant de toucher les bretelles du soutien et plus encore le bord de la culotte sans y parvenir complètement. Elle n'a rien remarqué! Jean rend le même service à ma soeur avec beaucoup moins de réticence. je vois du coin de l'oeil ses doigts glisser sous l'elastique et rester dans la culotte bien plus longtemps et bien plus profondément que nécessaire.

 

11 heures

 

Les autres se prélassent et papottent sans s'occuper de moi. Je suis un peu déçu. 3 petites fessées, même appliquées plus sévèrement que pour Chrisitine et Jean, ce n'est pas beaucoup. J'èspérais plus d'érotisme. Enfin j'ai  vu les fesses de jean toutes nues. Jusqu'à ce matin je n'avais vu que son zizi quand j'avais du le nettoyer après qu'il m'ait solidement enculé.

 

-Michel, tu as taché ma culote!

 

Je sors brutalement de ma rèverie. j'avais déjà oublié cette petite goute d'huile solaire qui avait laissé une trace ocre sur le bord de cette culotte que je n'avais pas osé soulever. Aurélie s'est redressée, elle va s'asseoir sur une des chaises de jardin et me désigne ses cuisses sans un mot. Cachant mal ma précipitation, je m'installe pour une fessée qui, cette fois sera plus sévère. Je ne me trompais pas. La main d'Aurèlie se fait plus lourde. Elle fesse vite. Ses claques sont rapides. En quelques secondes, mon cul me brule. Je ne peux me retenir de crier et les larmes coulent sur mes joues. A l'étage du dessous, la fessée provoque la réaction habituelle. Ma soeur et Jean le remarquent et ne se privent pas d'en faire le commentaire tout en riant aux éclats.

 

11 heures 20

 

Je suis au coin sur la terrasse. Mes fesses me piquent mais j'ai interdiction de me les frotter.

 

- Qu'est- ce qui se passe ici? A quoi jouez vous? Quelle tenue indécente!

 

Andrée est entrée,  plus tôt que prévu et sans que nous l'entendions ouvrir la porte.

 

- J'exige une explication, Aurélie, Jean, pourquoi Michel est il dans cette tenue ridicule au coin?

 

Je n'ose me retourner, mon zizi est toujours dressé sous mon tablier. Même la honte de ma situation ne le fait pas redescendre. C'est jean qui vient au secours de sa soeur.

 

-Michel a pelotté les fesses d'Aurélie sous pretexte de lui mettre de l'ambre solaire, maman.

-Mais.... Ce n'est pas vrai! je n'ai rien fait de tel!

-Si, maman, la preuve, regarde il a mis de l'huile sur ma culotte.

-Et bien, c'est du propre! Ta maman va te corriger comme tu le mérites quand elle rentrera, mais en attendant, tu vas déjà avoir un avant gout. Je ne veux pas savoir pourquoi tu es sans short ni slip, ni pourquoi ce tablier ridicule, mais puisque ton cul est tout nu, je vais en profiter. Viens ici

 

Cette fois, ce n'est plus un jeu. Andrée est furieuse et à 3 contre un il est inutile que j'essaye de me disculper. je me retourne, les mains devant le ventre. Andrée est assise sur une chaise. je m'approche d'elle en traînant les pieds.

 

- Un peu plus vite, ne me fais pas attendre. Mets toi sur mes genoux, je vais t'apprendre ce qu'il en coute de toucher aux fesses des jeunes filles!

 

A peine suis-je à portée de ses mains qu'elle m'agrippe par le bras.

Une traction dans mon dos: elle a dénoué le tablier.

Mon bras est irresistiblement  tiré vers le sol. je perds l'équilibre et me retrouve en travers des cuisses de cette femme furieuse.

Seules mes mains et la pointe de mes pieds touchent le sol. Elle m'a positionné pour bien tendre mon gros cul.

Le temps s'est arrèté. derrière moi, les 3 autres ne pipent mot, mais je devine leur souire sadique.

Une main frole le bas de mes fesses, elle les pince comme pour en tater la resistance.

 

-Ainsi, jeune homme, vous vous permettez de pelotter le derrière des filles!

-...............

-payez en le prix maintenant!

 

la première claque tombe, sous la fesse, là où ça fait le plus mal.

Elle prend son temps, vise consieusement l'endroit qu'elle veut atteindre et claque d'une main ferme qui trahit une grande experience de la fessée.

Une fesse après l'autre, partant du bas et remontant vers mon dos, Andrée me rougit le cul.

Je crie, je pleure, mais chaque sanglot s'échapant de ma gorge provoque un rire et un encouragement .

 

- vas y maman, tanne lui son vilain gros cul pour lui apprendre! 

 

j'ai beau gigotter comme un poisson au bout de la ligne, elle arrive toujours a toucher l'endroit qu'elle vise.

 

- on voit ses couilles! Le faux-jeton ce Jean! comme s'il ne les avait jamais vues, mais sa remarque declenche une nouvelle série d'éclats de rire, même chez  sa mère.

 

La fessée n'en fini plus, j'ai mal comme jamais. Arrivées au dos, les claques repartent vers les cuisses puis remontent. Je n'ai plus la force de gigotter.toute mon attention est concentrée sur la peur panique qui me prend: elle doit sentir l'état de mon zizi et je sens la crisption que je connais bien anonciatrice d'éjaculation.

Andrée n'en a cure. ou alors le contact de mon jeune sexe avec ses cuisses ne lui déplait pas.

Je pense très fort: pourvu qu'elle arrète à temps!

pourvu qu'elle arrète à temps!

pourcu qu'elle..........

trop tard, je n'ai pu me retenir. Par sacade, mon sperme quitte mes couilles pour maculer les cuisses d'Andrée.

La fessée s'arrète. Les 3 autres sont morts de rire.

- Chrisitine! celà lui arrive t'il aussi quand ta maman le fesse?

-oui madame

-Que fait elle dans ce cas?

-Elle lui fait relècher, je crois.

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : les amies de maman - Communauté : fessées publiques
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