fesseessurprises

J'ai 60 ans et depuis 20 ans je vis avec une femme qui ne se doute pas de mon homosexualité. A quelques reprises nous avons fait l'amour mais toujours apres des jeux de fessees ou de penetration  de mon cul. Une amie a reussi dernierement l'exploit de me faire bander sans claque ni gode. J'aurai du attendre d'avoir plus de 50 ans pour baiser une femme sans stimulant pour mon cul. Je dois reconnaitre que c'est la plus terrible salope que j'ai jamais rencontre. C'est d'ailleurs elle qui m'a donné les photos du cul qui illustre 2 des chapitres precedents. Ce cul qu'elle aime montrer et qui ressemble a s'y méprendre à celui de maman.

Je n'ai plus de famille mis à part ma soeur, Christine, son mari, le fils de celui-ci et le garcon qu'ils ont eu ensemble sur le tard.

Jean et Sebastien vivent ensemble en Espagne et je ne les vois que tres rarement. Merci msn de nous permettre de nous parler sans nous ruiner en communications telephoniques internationales.

La semaine dernière, ma soeur et sa famille est venue passer quelques jours chez nous et je lui ai montre mon blog. Je la sais assez salope mais je ne m'attendais pas à sa réaction:

- j'avais deviné que c'était toi l'auteur quand j'ai surpris Vincent(son fils) à lire tes articles!

- il connait aussi la fessée je suppose?

-des l'age de 6 ans, oui; et depuis qu il en a 12, son pere le laisse regarder quand j'y passe

-tu en recois souvent?

-malgre mes 63 ans, j'en ai encore plusieurs fois par semaine. Mon mari a ses fils pour l'aider. Cela a ete leur cadeau pour leur 15ème anniversaire à chacun, au lieu de soufler les bougies ils ont pu me mettre a poils et me fesser.

-ca devait etre la fete dans leur slip

-l'un et l'autre  m'on arrosee en me fessant

-ils l'ont fait en etant tout nu eux meme?

-ben oui! Mais dis moi, le cul qui illustre tes articles, c'est celui de maman?

-il lui ressemble n'est ce pas? mais non c'est celui d'une amie

-une petite amie si elle t'offre des photos de ses fesses!

-elle adore s'exhiber, en ete elle fait du velo en jupe courte, sans culotte.

-et tu l'as.......

-baisée, et enculée, oui sur un chemin de campagne. Rien que l'idee qu'a tout moment quelqun aurait pu passer et nous voir la faisait couler comme une fontaine. 

-Elle te fesse?

-non, elle ne l'a jamais fait; mais aussi nous n'avons baisé  qu'une seule fois, et elle bien plus jeune que moi.

-etre plus jeune ne t'a pas empechè de tanner la peau du cul de maman. Le fils de jacques et vincent sont eux aussi bien plus jeunes que moi ça ne les empeche pas de me fesser même sans que leur père le leur demande

- tu as toujours aimé, comme maman, montrer ton gros cul aux gamins, ton fils et ton beau-fils t'ont enculée?

-tu le sais bien pour le fils de jacques, tu étais présent. Pour ce qui est de ton neveu, oui lui aussi m'a prise, je devrais dire me prend car encore maintenant il aime me remplir les fesses.

-et toi tu adore ça, que ce soit ton fils ou pas! Allez petite soeur raconte moi comment tu as commencé à te faire enculer par ton fils.

-ton neveu est obnubilé par mes fesses depuis qu'il a vu son pere me fesser. Tout comme papa fessait maman devant nous, des que Vincent à eu 12 ans, Jacques ne s'est plus gèné pour lui mais déjà bien avant celà il ne ratait pas une occasion de regarder sous mes jupes. Et comme mon mari ne veut lus que je mette de culotte......

- ca aussi ca doit te plaire d'etre cul nu sous tes vetements?

-ca excite surtout Jacques mais je reconnais que j'aime le trouble de sentir le tissu de ma robe ou de ma jupe sur la peau nue. Enfin, jai remarqué que chaque fois que j'avais été fessée, il y avait des taches sur les draps des garcons le lendemain. J'en ai parlé à Jacques qui en a bien ri et depuis lors Vincent voit sa maman fessée d'aussi pres que nous voyons la notre se faire rougir le cul. Le soir de son 15ème anniversaire, son père lui a demandé de l'aider et maintenant il me fesse au moins une fois par semaine.

- et tu aimes ca je suppose!

-oui je le reconnais sentir le regard de mes garcons sur mon cul nu, leurs mains entrer violement en contact avec mes fesses et ...... enfin celà m'excite au point de me faire jouir 

D'un coté, la situation me plaisait, d'un autre coté, je redoutais quand même la suite. Il y avait longtemps que mes fesses n'avaient plus été rougies et les souvenirs que j'avais des fessees tant paternelles que maternelles ne me laissaient rien envisager de bon pour mon  cul de puceau. Les péliminaires avient déjà passablement chauffé mes fesses.

Chrisitine commença par me malaxer le derrière, me laissant entre l'envie et le regret. apres un moment, qui me parru interminable, elle cessa de me carresser. j'étais soulagé et déçu, je pensais: elle n'a pas osé.

Quand soudain, sans prévenir la première claque sur mes fesses nues tomba.Je fus tellement surpris que je ne pu retenir un cri.

-tu peux crier si tu veux, nous sommes seuls et dis toi bien que si c'etait papa qui te fessait, tu le sentirais bien plus fort.

-........

je me mordais les levres et serrais les fesses en attendant la claque suivante. Comme la première, elle se fit attendre et m'arriva sans que je puisse m'y préparer.

-ainsi, vilain garçon, tu profites de l'absence des parents pour te carresser le zizi!

- en plus tu mates le cul de maman , cochon

-tu vas voir le tien quand j'en aurai fini avec lui

La fessée devient sérieuse, Christine s'appliquait à ne jamais frapper deux fois à la même place. Elle trainait entre chaque coup, variant le temps d'attente pour que je ne puisse prévoir l'arrivée du suivant Mon cul me brûlait comme si je m'étais roulé dans un champs d'orties, je sentais les marques de ses doigts une à une, chacune d'elles me donnait l'impression d'une morsure.

Je ne pouvais pourtant pas me plaindre, je l'avais cherchée et même désirée cette fessée sans m'imaginer qu'elle serait si terrible. le sang affluait dans mes fesses augmentant au passage l'érection déjà bien formée avant la descente de mon slip.

Je gigottais comme une mouche prise dans une toile d'araignée et ce qui devait arrivé.........

-espèce de porc tu m'as éjaculé sur les cuisses!!!!!!!

-désolé je ne l'ai pas fait expres, c'est venu tout seul

-tu vas me le payer. puis que tu es si excité quand on s'occupe de ton cul je vais t'apprendre à t'en servir autrement.

Ecartant mes fesses d'une main elle enfonça brulement ses doigts dans ce petit trou qui n'avait jusque là servi qu'aux toilettes. Je hurlai de douleur. Ses ongles m'avaient griffé presque jusqu'au sang.

La plus grosse part de mon sperme juvenile était tombée sur le parquet de ma chambre et ce qui avait trempé ses jambes rejoignait la petite flaque. Ma soeur me poussa la tête vers le sol.

-nettoye ca. lèche toutes tes cochonneries

Dégouté au début, je ne pus qu'obeïr. C'est d'une langue timide que je lappai mon liquide. Le gout ressemblait à celui du blanc d'oeuf, en plus salé. Je pris vite plaisir à ce que je faisais et c'est avec gourmandise que j'achevai ma tâche.

Relevant les yeux, je vis que christine avait retrousé sa robe et se donnait un plaisir plus qu'évident. J'avais déjà vu son minou poilu, mais jamais d'aussi pres et jamais ouvert de la sorte. Ses doigts s'activaient sur ce que je savais être son clito sans en avoir jamais vu un seul. Ainsi, cétait celà le vagin, source de délice que je ne connaitrais pas avant quelques années.