Vendredi 2 mars 5 02 /03 /Mars 10:45

- d'où viens tu à cette heure?

-du lycée, maman, je reconnais ne pas m'être trop dépèché.

- tu te moques de moi? je suis passée devant le lycée et j'ai suivi le chemin que tu dois prendre sans te dépasser.

-je ne sais pas, peut etre es tu passée avant ma sortie?

- Ca suffit, si tu penses t'en tirer par des mesonges plus gros que ton derrière, c'est à lui que je demanderai la vérité!

-..........

- tu n'as rien à dire?

-......

-c'est bon, viens au salon, nous allons règler celà.

 

M.... elle va voir que je n'ai pas de slip si elle me déculotte et ce sera ma fête

 

- j'ai joué avec un copain, nous ne sommes pas passés par le chemin habituel. Je te demande pardon.

- soit! mais tu m'as menti et tu n'échappera pas à la fessée que tu mérites. baisse ton jeans. Vu tes 14 ans et ton aveu un peu tardif, tu peux garder ton slip.

 

Christine est assise sur le canapé, elle a reposé le livre qu'elle lisait dès qu'elle a entendu le mot fessée.

 

-maman s'il te plait, pas devant Chrisitine. Je suis trop grand pour être fessé devant une fille.

-tu n'as pas fait tant de manière quand c'est elle qui en a reçue une devant toi, et elle a 16 ans, elle!

 

Je n'y échapperai pas, je n'ai plus d'argument pour arriver à cacher à maman que je suis nu sous mon jeans.

Maman est déjà assise sur la même chaise qu'hier. Je m'approche en trainant les pieds esperant contre toute logique qu'elle daignera me fesser sur le pantalon. Grossière erreur de ma part, la main maternelle a vite fait de détacher la boucle de ma ceinture et de descendre mon jeans sur mes chevilles.

Pas de réaction à l'absence de slip.

Une traction brutale sur mon poignet me renverse en travers des genoux de ma mère.dans le même mouvement, la première claque vient me cuire la fesse gauche. je mords mes lèvres pour ne pas crier. Christine serait trop contente.

Après une brève pause, c'est une pluie de claque qui vient me rougir le derrière. Ca n'en fini pas. Je n'arrive plus à les compter. La main libre de maman me maintient la nuque baissée et son pied bloque les miens au sol tendant dans cette position mon cul qui chauffe de plus en plus. Je devine plus que je n'entends le rire etouffé de ma soeur. Comme moi , hier, elle est à la bonne place pour bien se régaler du spectacle. Aussi subitement qu'elle a commencé, la fessée s'arrete.

 

- je vois que celà devient une habitude chez vous de sortir sans sous-vètements! tu es aussi dégoutant que ta soeur et , donc, tu recevras la même punition qu'elle.

- non! pas ça, s'il te plait.

- et pourquoi pas? tu était bien content hier de voir ses fesses rougir, tu sais bien que je suis pour la justice: à faute identique, punition identique. tu connais la position à prendre, prépare toi

 

En un rien de temps, le vois avec effrois le martinet redouté apparaitre comme par magie dans les mains de maman.

Cette fois pas de doute, Christine ne se cache même pas pour rire de mon humiliation.

A genoux face à la table basse, une main me tenant fermement le buste à plat sur le plateau tout en gardant relevé mon t shirt, j'attends la suite de la correction qui va, j'en suis certain, être terrible. je ne me suis pas trompé. Dès la première cinglade je ne peux m'empècher de hurler de douleur. Comme hier pour le cul de ma soeur, maman me fouette de haut en bas et de bas en haut. De la mi-cuisses au milieu du dos. Je ne m'étais pas apperçu que la fessée manuelle avait provoqué une nouvelle érection. maman , elle n'a pas manqué de s'en appercevoir mais ne dit rien. pour le moment!!!!

 

Ce qui devait arriver, arrive alors que je ne m'y attends pas: une contraction de tout mon bas ventre et j'arrose la table ainsi que le sol de mon jeune sperme trop longtemps contenu. je suis mort de honte. Que va t'elle dire? Est il possible qu'elle ne le voit pas? je me rends compte que le martinet s'est arrêté de me strier le cul.

 

- et bien! tu aimes celà semble t'il?

- je.......

-tu quoi?

-......

-essuye tes cochonnerie et file dans ta chambre. Tu as de la chance que ton père n'est pas là. Il te ferait passer le gout d'asperger le salon de tes saletés.

Longue soirée solitaire, je pleure autant de honte que de faim et de douleur. Mon cul me fait souffrir, Ca me lance comme des milliers de piqûres d'aiguilles au point que je ne ressents plus le mal intial de la pénétration de Marc.

 

jusqu'à la fin du mois, j'eu encore plusieurs rendez vous plus ou moins èspérés, plus ou moins craints avec mon initiateur. Puis plus rien. je suis passé par la ruelle , mais elle était déserte. Je ne devais plus revoir Marc avant des années

Par fesseessurprises - Publié dans : Marc - Communauté : Les amateurs de Fessées
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