Vendredi 27 avril 5 27 /04 /Avr 06:19

Hier a été une journée très spéciale: j'ai reçu mon diplôme. Fini les études supérieures et en plus j'ai signé le contrat pour mon premier boulot. Je commencerai à travailler dans 6 semaines. Mes parents sont fiers bien qu' à la réception qui a suivi la cérémonie, maman a un peu trop bu. Plus d'une fois, papa lui a demandé de se tenir mais quand elle a un verre dans le nez, elle ne peut sempècher de jouer les coquettes. J'ai réussi à m'isoler un moment avec Jean pour une petite pipe vite faite. Son sperme me plait bien plus que le champagne. Le retour chez nous a été orageux, oubliant (peut être) ma présence à l'arrière de la voiture, papa n'a pas arrèté de dire sa façon de penser sur l'inconduite  de maman. J'admets qu'il y avait de quoi être furieux: voir sa femme minauder devant le recteur et les autorités présentes, ça à du lui faire bouillir le sang. A peine la voiture dans le garage, il a  attapé maman par les cheveux et la littéralement trainée dans le salon.

 

-Tu n'es qu'une putain! tu nous a fais honte à mon fils et à moi même!

-Mais........ je n'ai rien fait de mal!

-Rien fait de mal?????? C'est tout juste si tu n'as pa proposé de montrer ton gros cul à tout le monde!

- au moins il y en a qui l'aurait regardé! je suis certaine que tu ne l'as plus vu depuis plus d'un mois.

-J'ai d'autres préocupations! Ce n'est pas pour mon plaisir que je vais aller travailler au lieu de vous accompagner demain  chez ton amie Andrée. Et puis ne dis pas que je ne t'ai pas regardée, je t'ai encore baisée la semaine dernière.

-Tu peux t'en vanter: un petit coup en vitesse dans le noir

-Si c'est montrer tes grosses fesses qui te font de l'effet, je vais te faire plaisir de suite, tu vas les montrer bien plus que tu ne l'espère

 

Joignant le geste à la parole, papa a attrapé le bras de maman et l'a fait basculée sur ses genoux. La robe déjà courte en est remontée dévoilant la moitié d'une culotte de dentelle rose. Ma mère a crié de surprise. elle battait des cuisses pour tenter d'échapper à la poigne de fer de son mari. je savais qu'elle n'avait aucune chance d'y arriver, malgré ses 20 kg de moins, papa est bien plus fort qu'elle.

D'une main, il a tiré le bas de la robe jusqu'au milieu du dos, faisant éclater une ou deux coutures. De l'autre, il a arraché la culotte. Bien que je le connaisse en détail, c'est toujours un plaisir pour moi d'admirer le cul maternel et je ne m'en suis pas privé. La fessée n'a pas été très longue, à peine 10 minutes. Mais l'intensité des claques a fait passé la couleur des fesses du blanc au rouge cramoisi.

 

-Voilà, tu dois être contente maintenant, tu viens de bien le montrer ton cul! Tu ne te plaindras plus que personne ne le regarde. Et, comme celà semble te plaire de t'exhiber, c'est à poils que tu vas préparer le diner

- Tu n'oserais pas m'imposer celà devant notre fils!

- Et pourquoi pas? Ce ne sera pas la première fois qu'il te voit ainsi

 

Le repas léger  a été vite expédié. Papa n'a pas fait grace à maman du moindre bout de tissus. Jusqu'au soir elle est restée nue. Leurs gémissements dans leur chambre ont été aussi explicites sur leur activité nocturne que si je m'étais caché sous le lit conjugal.

 

Quand je me suis levé ce matin, papa était déjà parti et maman achevait de fermer nos valises: Nous partons pour un mois avec Andrée et Jean dans le sud de la France. Andrée y a hérité de ses parents une petite maison isolée. La maison n'a que deux chambres ce qui nous arrange bien Jean et moi: tout un mois à dormir dans le même lit!!!!!! Pendant que je défais ma valise, les mains de mon ami ne cessent  de me carresser les fesses.

 

-arretes, jean! nos mères pourraient entrer

-J'en doute mais de toute façon, elle savent depuis longtemps ce qu'il en est pour nous deux

-Tu as dit à Andrée que tu m'enculais?

-Bien sur, nous ne nous cachons rien, elle et moi

 

Notre première nuit de vacances a été plutot mouvementée. Je ne pense pas avoir jamais reçu autant de sperme dans le cul. Les éjaculations de Jean sont toujours aussi abondantes et cela ne me déplait pas de les recevoir ni entre mes fesses ni entre mes lèvres.

 

Il fait chaud ce matin. Nous sommes mollement allongés sur la terrasse dans des transats. les mères d'un coté de la table, mon ami et moi de l'autre. Je perçois du coin de l'oeil un mouvement de la haie qui sépare le jardin d'Andrée de celui des voisins.

-Jean! est-ce une impression ou il y a quelqun dui nous épie derrière la haie?

-C'est peut-être le vent! 

-Tu te moques de moi, il n'y a pas un souffle d'air

-tu as raison je viens de le voir aussi, ne bouge pas

 

Jean se lève et 'approche de sa maman:

 

-Qui occupe la maison voisine?

-une veuve et son jeune fils pouruoi?

-Tu connais l'âge du fils?

-14 - 15 ans mais où veux tu en venir?

-Je crois qu'il nous espionne

Andrée fait mine de se lever mais son fils la retient d'une main ferme sur son épaule, à la limite de sa poitrine

-reste assise comme si de rien n'était, je reviens.

 

Jean disparait dans la maison. Sans élever le ton, je raconte aux femmes l'impression que nous avons eue de voir la haie bouger. Après 10 minutes de semi silence entre nous, nous entndons distinctement les echos d'une dispute dans le jardin voisin. Un instant plus tard, jean réaparait tenant fermement par le bras un jeune garçon. Mon ami s'est faufilé discretement chez les voisins et a surpris notre voyeur qu'il ramène près de nous. Le gamin n'est pas fier.

-alors, ça t'amuse d'épier les voisins?

-..............

Réponds quand je te parle ou c'est à ta mère que tu auras à faire!

-Je...... je ne vous.... épiais pas

-Ne racontes pas de salades, je t'ai vu depuis la lucarne du grenier, tu écartais la haie pour espionner chez nous

-J  J' avais....perdu ma balle

- Tu cherchais plutot si il y avait quelquechose à voler!

-Non, je vous assure......

-Ou alors c'est que tu cherchais à voir ma mère et son amie en petite tenue

 

Il faut dire que le bikini d'andrée est vraiment mini et que celui de maman a bien du mal à envelopper l'énorme poitrine et les fesses rebondies de sa propriétaire.

 

-Tu sais ce que tu mérites?

-...............

-Une bonne fessée, je dirai à ta maman de te l'administrer

 

A cette promesse d'Andrée, le gamin se décompose en un instant. Il se met à pleurer toute les larmes de son corps.Il nous jure qu'il ne recommencera plus jamais, nous suplie de ne rien dire à sa maman. la mienne comprend immédiatement le parti à tirer de la peur viscérale qui déforme le visage du petit.

 

-Si tu veux, je ne dirai rien à ta maman mais il n'en reste pas moins que tu mérites une fessée et même deux puisque nous sommes deux femmes à avoir été vitime de ta curiosité malsaine!

-Mais! Je n'ai rien vu!

-Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Décide toi. ta mère ce soir ou nous maintenant?

-Si maman l'apprend, c'est au fouet qu'elle me battra, je préfère deux fessées à la main

-C'est bien il va en être ainsi. Tu commences Andrée?

 

Sans répondre à ma mère, Andrée attrappe le gosse par un bras et l'attire près d'elle. D'une main experte, elle deboutonne le jeans et descend la tirette puis, lentement fait descendre le pantalon. Sébastien ( je ne saurai son nom que le lendemain) laisse filer son jeans mais retient comme  son slip.

 

-Ne t'imagine pas que je vais me fatiguer à fesser un slip! ce sont tes fesses nues que je vais rougir!

 

Vaincu, le garçon lache son sous-vètement qu'Andrée tire aussitot vers le bas. une jolie paire de fesses blanches apparait. un cul potelé mais ferme, marqué par les traces de nombreuses fessées plus anciennes.

L'amie de maman fait basculer le garnement en travers de ses cuisses nous laissant entrevoir un bref instant un  zizi déjà bien poilu et deux couilles assez développées. A peine sa victime couchée sur ses cuisses, Andrée achève de baisser jeans et slip, aidée plus que contrariée par les ruades du futur fessé, elle fait tomber sur le sol les deux vètements.

Ses premières claques résonnent sans vraiment faire mal, elle y va progressivement. petit à petit, la correction devient plus sévère et de blanc, le petit cul passe à un rouge profond. chaque giffle est ponctuée d'un cri de douleur et d'une ruade qui à chaque fois nous devoile le service trois pièces du gamin. Nous avons tous chaud et pas seulement à cause du climat.

 

-Voilà! cela suffit pour la première fessée. mon amie va prendre la relève

-je ne pense pas que ce soit judicieux. Son cul est trop rouge pour qu'une seconde fessée soit efficace. Et puis ce qu'il a dit est vrai: il n'a même pas pu voir quoi que ce soit

-Tu n'aurais quand même pas voulu qu'il te voit nue?

-bah! si cela tombe, tout ce qu'il connait du corps d'une femme il ne l'a vu que dans de mauvais films ou des revues subtilisées  dans une poubelle. Il a été courageux d'accepter que tu le fesse, il mérite une petite récompense, tu ne trouves pas?

-Et bien montre lui tes seins si tu y tiens

 

Sans se faire prier d'avantage, maman degraffe son haut et dévoile toute sa laiterie au garnement qui ne s'y attendait pas. L'effet est assez spectaculaire, en une seconde le zizi se dresse.

 

-Tu vas rentrer chez toi tout nu. tu reviendras demain matin chercher à la fois tes vètements et ta seconde fessée. Et si tu es bien  sage c'est toute nue que je te la donnerai

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : culs d'andrée, de maman et de sebastien - Communauté : fessées publiques
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