Mardi 10 avril 2 10 /04 /Avr 05:59

DSC03463-Arrète s'il te plait

-tu es gènée que je sache que tu es maso?

-oui bien sur, mais surtout ce sont tes mains dans mon intimité qui me gènent

- tu préfères surement autre chose que mes doigts!

-..........

 

D'une main, je la maintiens pliée de l'autre je quide mon sexe tendu entre ses fesses. Aucun effort, aucune poussée ne sont nécessaires, maman est tellement trempée que je m'introduis comme si sa chatte m'aspirait. A peine, mes testicules viennent ils cogner son cul que je décharge. Pas très fière, l'ado! elle n'a même pas du avoir le temps de sentir ma présence.Je glisse hors de sa caverne mouillée.

 Maman se redresse et me toise. La giffle qu'elle me lance à toute volée, je l'ai bien méritée. Pas pour l'avoir fessée ou l'avoir pénétrée mais pour ne pas avoir été capable de la faire jouir.

Penaud, je quitte la salle de bain. J'entre dans ma chambre et me jette sur mon lit fou de rage contre moi -même et contre ce sexe qui m'a trahi.

 

Le carillon de l'entrée sonne. J'entends maman ouvrir et parler avec quelqu'un.

 

- tu peux monter, il est dans sa chambre

-merci madame

 

C'est jean, je reconnaitrais sa voix entre mille! Dix secondes plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre, Jean n'a même pas frappé. Il ne montre aucune surprise à me voir étendu tout nu sur mon lit. Il s'assied près de moi et nous bavardons un peu de choses et d'autres. Je n'ai aucune raison de cacher ma nudité, il la connait mieux que personne. Sa main a vite trouvé le chemin de mon sexe qu'elle carresse distraitement. Soudain elle s'arrète.

 

-tourne toi un peu!

-tu es fou on ne va pas le faire ici avec ma mère en bas!!!!

-tourne toi te dis-je, montre moi ton cul

 

J'obeis malgré tout excité par la situation. L'idée d'être surpris à m'exhiber et  à me faire pelotter passe directement de mon cerveau vers mon bas-ventre.

 

- C'est bien ce que je pensais avoir remarqué en entrant, tu as le cul rouge, ta mère t'a fessé?

-oui, mais je la lui ai rendue avec les intérèts.

-t'as tanné le cul de ta mère?

-ben oui!

 

je lui raconte l'épisode de la salle de bain, sans manquer le moidre détail. L'idée l'excite visiblement. Sa main a repris son va et vient le long de mon sexe qui n'en demadait pas tant pour se redresser. IL a aussi dégagé le sien et je me penche sur lui pour le lecher avec gourmandise. Déjà une goutte  salée perle au méat. Un instant plus tard il est aussi nu que moi. Ses doigts ont quitté ma queue pour, après avoir brièvement carresser mes couilles, s'introduire dans mon anus. Nous roulons tout les deux sur mon lit et je fini par me retrouver au dessus de lui, sa queue entre mes lèvres, la mienne entre les siennes.

 

La brulure soudaine qui s'empare de mon cul manque me faire mordre la tige que je dévore. Maman est entrée dans ma chambre, ni Jean ni moi ne l'avons entendue. C'est ma ceinture qu'elle a du ramasser qui vient de me zébrer les fesses. Jean me repousse en comprenant que nous ne sommes plus seuls dans ma chambre.

 

-Ainsi c'est celà que vous faites vous deux! Vous êtes des porcs!

-maman sors d'ici!  tu n'as pas le droit!

-J'ai tout  à fait le droit d'entrer dans la chambre de mon fils tout comme j'ai tout à fait le droit de le punir quand je le surprends à faire des cochonneries avec le fils de ma meilleure amie.

 

Jean semble plutot amusé. Pas du tout gèné d'être à poils devant ma mère, il n'a même pas débandé.

 

-Le punir de me carresser ou bien le punir de n'avoir pas pu vous faire jouir?

-Jean!!!!!!!!!!!

-Avec moi, vous n'auriez pas été déçue

-Tu ne dois pas être mieux que lui, dit-elle en me désignant. Un pd reste un pd, en plus tu n'es qu'un gamin!

- Un gamin bien pourvu! et un cul c'est un cul.

 

Tout en parlant, Jean s'est levé de mon lit et s'est approché de maman qu'il défie du regard. Elle perd contenance, veux lui envoyer une réplique cinglante mais n'arrive qu'à bafouiller.

 

-Mais vous avez raison sur un point: Michel mérite une punition, alors, autant profiter que son cul soit découvert et que vous teniez déjà en main une bonne ceinture de cuir.

-..........

- A moins que vous ne préfèriez que ce soit  vos fesses que sa ceinture ne réchauffe?

-Tu.....tu .. n'oserais pas! je le dirai à ta mère.

-Ma Mère? elle connait déjà ma façon de manier un martinet

 

Brusquement, Jean a arraché la ceinture des mains de maman et s'est placé derrière elle. D'une poussee dans le dos, il la bascule sur mon lit. Comme toujours, maman porte tres court et le mouvement aidant, sa culotte est presque entierement découverte.

 

-Tiens la bien!

 

Comme un automate, je pèse de tout mon poids sur les épaules de ma mère tandis que Jean remonte encore plus la robe et, ensuite, glisse ses doigts sous l'élastique du slip. lentement, le tissu blanc descend. Si je connais le cul de maman, Jean, lui, ne l'a jamais vu et il prend tout son temps pour le dévoiler. Quelle différence avec celui tout en muscle de sa mère. Une fois la culotte à mi-cuisses, Jean se recule un peu. il admire l'énorme masse de chair encore écarlate et striée. Enfin il se décide, la ceinture vient ajouter sa signature aux autres marques décorant le cul de ma génitrice.

 

Maman, ne résiste pas. Au contraire elle semble tendre ses fesses vers mon amant comme une invite à les cingler et à les.......

Jean s'en apperçoit. Après une vingtaine de coups, il lache la ceinture et s'approche plus encore. Son glang frole la raie culière. Des deux mains, il écarte les globes. je suis fasciné par le spectacle de la queue de mon ami s'introduisant petit à petit dans l'anus qui s'écarte obligement.

 

-Tu vois, Michel, c'est aussi facile d'enculer une femme qu'un garçon!

 

Suivant le va-et vient de Jean, ma main s'active sur mon sexe.  Quand j'entend le gémissement habituel de Jean, je sais qu'il va jouir. Je n'ai pas d'expérience à ce sujet, mais je me doute que maman est sur le point d'avoir, elle aussi, un orgasme mémorable. Tout les trois nous jouissons presque au même moment. Jean dans le cul , moi sur les épaules de maman. Mon sperme macule le tissu de la robe qui n'est plus, depuis longtemps, qu'un chiffon froissé.

 

-A toi maintenant! Et essaye de faire mieux que ce matin!

 

Je lance un regard interrogateur à  mon ami. Il s'est reculé. son sexe toujours tendu est sale et laisse encore s'écouler quelques gouttes.

 

-Allez viens, je t'ai ouvert le chemin, tu n'as plus qu'à entrer

-Trop tard, j'ai éjaculé

-Je le sais, j'ai bien vu ton jet, mais nous savons tout les deux comment faire pour te redresser.

 

Sans plus tergiversser, je quitte le lit et, sous les indications de Jean, me couche sur le dos de maman. J'écarte les fesses et les tends vers le vit toujours bien dur. Sans autre forme de procès, mon cul est investi. L'effet est quasi imédiat: ma queue se redresse entre les grosses fesses qui leur servait d'étuit. A  mon tour, je prends quelques cm de recul, vise la rondelle dégoulinante de sperme et d'une poussée m'introduis jusqu'aux couilles.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : fessées de maman - Communauté : la fessée pour le plaisir
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés