culs d'andrée, de maman et de sebastien

Lundi 7 mai 1 07 /05 /Mai 06:37

Pour une fois, notre nuit a été calme. Juste une petite pipe avant de dormir. Il est vrai qu'avec l'arrivée d'Aurelie, Jean et moi avons libéré la chambre: nous dormons sur le canapé convertible du salon. La maison est silencieuse, j'entends à peine le son de la cafetière dans la cuisine. Maman et jean sont levés, ils se parlent à voix basse et je ne comprends rien à leurs chuchotements. Je me lève et vais les rejoindre. Maman est en nuisette et jean en slip. je mets un moment à remarquer d'une part que le slip n'est pas tendu, d'autre part que la nuisette est tachée derrière juste au dessus de l'ourlet. une seule explication: Jean a fait l'amour avec maman et tel que je le connais, il l'a même enculée.

 

-Andrée dort encore?

-Non elle est partie chez le boulanger, elle va arriver avec les croissants

- Ah bon! dites donc vous deux, vous avez mis son absence à profit?

 

Pour toute réponse, mon ami éclate de rire alors que maman baisse la tète et ne peux s'empecher de passer une main sur ses fesses.

J'en suis à mon troisième café et toujours pas d'Andrée, le boulanger n'est pourtant qu'à 5 minutes à pieds, le premier commerce en entrant dans le village.

 

-Ta maman s'est perdue?

-Elle a parlé de passer chez Nadine, elles doivent avoir oublié l'heure et notre faim, rit Jean.

 

   J'en profite pour aller me doucher et me raser. je prend mon temps dans la salle de bain et quand je redescend, juste vétu d'un short blanc, Andrée est rentrée. Jean ne semble pas très heureux de l'attente, quand son estomac réclame, il est d'une humeur de chien. C'est donc la grosse engueulade entre sa mère et lui.

Sans qu'il m'en fasse la confidence, j'ai deviné depuis des années qu'il corrige sa maman. Des allusions, des regards fuyants peuvent être très révélateurs.

Je devine la suite de la discution et jean ne tarde pas à me prouver que mes suppositions sont justes.

 

-Cela suffit, maman! Tu sais bien que je n'aime pas attendre mon petit déjeuner

- tu n'as pas du attendre longtemps et, tel que je vous connais Claudine et toi, tu as su mettre à profit ces quelques minutes

- parles moi sur un autre ton ou il va t'en cuire!

-je suis encore chez moi quand même. et cesse de parler si fort tu vas réveiller ta soeur.

- ma soeur? et bien il est temps qu'elle se lève et aussi grand temps qu'elle sache ce qui arrive à tes fesses quand tu me contraries.

- ah non! pas ici devant nos amis!

-et pourquoi pas, tu as bien apprécié la fessée de Claudine, à son tour de voir ton cul rougir.

 

Tout en parlant, il a écarté une chaise de la table. Andrée est devenue rouge jusqu'aux oreilles. Ca me fait tout drole de voir cette femme si fiere baisser la tête devant son fils. Jean pose un pied sur la chaise et, d'un claquement de doigt, fait signe à sa mère de s'approcher. Elle obeit en trainant les pieds. sans qu'aucune instruction ne soit nécessaire, elle se plie sur le genou de Jean. Trouvant , sans doute la jupe porte feuille trop étroite, mon ami dégraffe l'attache. la jupe tombe au sol dévoilant une jolie culotte de dentelle qui souligne plus qu'elle ne cache le petit cul musclé. Le sous-vètement rejoint la jupe après une lente descente le long des cuisses et des  jambes. Maman et moi sommes fascinés par la main de mon amant carressant le cul de sa mère, elle frole, elle malaxe, s'insinue entre les fesses. Un doigt explore l'un puis l'autre trous et Andrée gémit. Sans que rien n'ait pu nous prévenir du changement, une claque sonnore retentit: la fessée a commencé! C'est le moment que choisit aurélie pour descendre de sa chambre. Elle regarde un peu puis, sans un mot, se dirige vers le vaisselier fouille dans un tiroir et en sort une longue cuillère en bois. Toujours sans parler, elle tend l'ustensile à son frère. Sans avoir changer le rythme de la fessée, Jean frappe avec le plat de son nouvel outil.

Cette fois ce ne sont plus des gémissements étouffés qui sortent de la bouche d'Andrée, chaque coup lui arrache un cri. son fils s'applique a viser le même endroit jusqu'à ce qu'il devienne presque noir, puis passe à l'autre fesse pour revenir a la pemiere dès que la couleur lui convient. Une demi heure de fessée est suffisante pour que le derrière prenne  une teinte sombre.

Maman a relevé sa nuisette et se frotte le minou vigoureusement, Aurélie a laissé tomber son fin peignoir et, nue, une main entre les cuisses et une se pinçant les tétons, elle se fait jouir. Sans vergogne, je me masturbe également, le short sur les chevilles.

 

 

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Jeudi 3 mai 4 03 /05 /Mai 06:30

   Nous sommes installés sur la terrasse pour le petit-déjeuner quand le carillon de l'entrée résonne. Andrée quitte la table et va ouvrir. Elle revient accompagnée d'une femme d'une quarantaine d'années et de notre petit voyeur.

 

-Voici Nadine, ma voisine et son fils Sébastien.

 

Un triple bonjour salue les arrivants. Nadine  a de long cheveux noirs, marqués de quelques fils gris, noués en queue de cheval qui lui donne un air sévère. Elle porte une jupe large plissée et un chemisier satiné assez ample.

 

-Jean! approche deux chaises s'il te plait

-Ne vous dérangez pas!

-Il n'y a pas de dérangement, vous allez prendre le petit-déjeuner avec nous

 

Sans plus de manière, la voisine s'installe entre maman et moi tandisque son fils pose ses fesses sur le bord d'une chaise entre Jean et Andrée.

Tout en mangeant nos croissants, nous bavardons de choses et d'autres. J'observe du coin de l'oeil la femme. Elle me rappelle une institutrice que j'avais au CE. A l'époque, les fessées en classe étaient encore permise et plus d'une fois mes copains et copines avaient eu l'occasion de bien rire de mos grosses fesses rougie par la maîtresse.  

Les choses se précisent alors que je reviens de la cuisine avec un nouveau pot de café.

 

-Vous avez eu des soucis avec mon garnement de fils, hier!

-Rien de bien grave, c'est déjà oublié

-Assez grave quand même pour que vous estimiez qu'il mérite une bonne fessée cul nu, et si je l'en crois, il doit d'ailleur en recevoir une seconde ce matin?

-Une menace en l'air! Juste pour le faire tenir tranquille.

- Non! Cela fait bien deux ans, depuis le décès de son papa que j'ai le même problème avec lui. Toujours à épié, à tanter de me voir en petite tenue. Comme vous j'ai commencé par le fesser puis j'ai du passer au martinet et j'en suis à devoir le fouetter pour le corriger.

-La curiosité est de son âge, mais vous avez raison, il n'a pas à regarder sa maman toute nue.je suis étonnée qu'il vous ait avoué son aventure d'hier, je pensais qu'il serait trop honteux d'avoir eu le cul bien tanné!

-Oh! il ne me l'a pas dit de bonne grace, Mais en rassemblant le linge sale j'ai remarqué l'absence d'un jeans et d'un slip et il a bien été obligé de s'expliquer. il a fini par TOUT me dire.

 

Nadine a bien appuyé sur le "TOUT" en regardant maman dans les yeux. Ma mère baise la tête et rougit jusqu'aux cheveux. Nous comprenons tous que le gamin n'a pas fait qu'avouer sa faute et la punition qui en a résulté. IL a du aussi raconter la promesse de maman de le fesser en étant elle-même toute nue et probablement aussi le spectacle auquel il a assisté depuis son poste d'observation derrière la haie. jean et moi, pas du tout gènés pouffons de rire dans notre serviette. Sébastien, de son coté, ne pipe mot. Il doit savoir que ses fesses vont, une fois de plus, rougir; que la promesse d'hier sera, au moins partiellement tenue.

 

-Alons, Claudine, vous pouvez, à votre tour, vous venger de la curiosité de ce garnement. C'est dans ce but que je l'ai amené avec moi.

 

Maman recule sa chaise et la tourne un peu pour avoir de la place. Andrée prend le petit par le coude et le force à se lever et à s'apporcher. Profitant que son amie empèche Sébastien de s'enfuir, ma mère prend tout son temps pour déboucler la ceinture, défaire le bouton et descendre la tirette du jeans. Le vètement descend lentement le long des cuisses maigres. Le bas du dos est zèbré ainsi que le haut des cuisses. La soirée a du être dure pour lui et la journée ne commence pas mieux. Un regard interrogateur, suivit d'un hochement de tête d'assentiment et le slip suit le pantalon jusqu'aux chevilles. ma mère l'a tiré petit à petit pour faire durer le plaisir du déculotage final. Une poussée de Andrée fait basculer le voisin sur les genoux qui l'attendent. Une jambe passée sur les molets et une main gauche fortement appuyée sur les épaules mettent le garçon en position, le cul tendu à l'extrème. tout comme le dos et les cuisses, les fesses son marquées de nouvelles lignes encore bien rouge. Maman lève sa main libre et la fessée commence. chaque claque provoque un tremblement des fesses et laisse une trace rouge . comme d'habitude, ma mère frappe posément, une fesse puis l'autre, toujours à un endroit différent pour obtenir une couleur uniforme de tout le petit fessier. Après la dixième claque, Sébastien commence à gémir, puis à crier et enfin à hurler sa douleur. je sais ce qu'il ressent. Les fessées maternelles ont toujours été d'une rare séverité. Ce n'est qu'après avoir obrenu la teinte qu'elle désirait donner au cul que maman libère le garnement qui se redresse, le visage noyé de larmes, les mains se frottant le derrière. Il se penche pour relever son jeans mais un ordre bref de Nadine l'arrète.

-Reste cul nu! Si tu aimes voir la nudité des autres, ne les prive pas de la tienne!

-Voilà qui est règlé, j'espère n'y avoir pas été trop fort quand même.

-Non, je suis bien plus sévère que vous encore mais TOUT n'est pas règlé pour autant!

-Que voulez vous dire?

-D'après mon fils, lui aviez pomis d'etre toute nue pour le fesser

-...............

-Et vous n'avez pas attendu ce matin pour lui laisser voir vos seins et le reste!

-Que racontez vous là?

-Sébastien a beaucoup de défaut mais je sais toujours quand il me dit la vérité et je crois ce qu'il m'a dit. Vous lui avez montrer votre poitrine avant de le laisser rentrer et même, par la suite, vous vous êtes complètement déshabillée en sachant bien qu'il pouvait vous voir depuis son trou dans la haie!

- il vous a raconté des salades, je ne vais pas m'exhiber devant un gamin de 15 ans!

-C'est simple a vérifier! il parrait que vous avez une tache de naissance sur la fesse, prouvez moi qu'il m'a menti et je le fouette illico devant vous.

-Je ne vais pas me déculotter comme ça devant tout le monde!!!!!

-Vous pouvez choisir: vous me prouvez que je me trompe et le cul de mon fls en patit, vous refusez, et ce sont les gendarmes qui viendront vérifier. Et, si il a dit la vérité, ce seront vos fesses qui tateront de mon fouet!

 

maman comprend qu'elle est coincée. Les gendarmes cela signifie que papa sera mis au courant. Si elle peut s'en sortir avec la justice puisque après tout c'est le gamin qui était curieux et elle peut toujours dire qu'elle ne le savait pas à l'affut; mon père, lui , elle ne lui échappera pas!

 

-Je reconnais que je me suis mise en tenue légère pour profiter du soleil mais c'est tout!

- vous saviez que Sébastien vous épiait, cela ne vous a pas dérangée n'est-ce pas?

-Je n'ai pas pensé à cela, je croyais qu'après la fessée reçue, il aurait été calmé et que son envie de voyeurisme serait passée. Dis le lui, Andrée!

-Claudine, ma chérie, tu n'as pas le choix. Et puis nous savons bien toi et moi que tu aimes montrer tes fesses. Nous sommes ici entre amis, mon fils, le tien, Sébastien et moi avons déjà vu ton cul et, à part Sébastien , de très pres même!

-Andrée!!!!!!!

 

la situation devient de plus en plus interresante. Voir maman se faire fesser m'a toujours plu, mais qu'elle le soit devant mon amant et devant un gamin m'excite au plus haut point.

Vaincue, et surtout terrorisée à l'idée que papa connaisse son inconduite, maman, baisse la tête. Elle tente une dernière prière:

 

- pas ici alors, pas devant votre fils!

-Et pourquoi pas? vous avez vu son cul de près, il est juste qu'il voit le votre et ce sera éduatif pour lui de voir le changement de couleur que prend un derrière sous la fessée.

 

Tout en parlant, Nadine s'est installée sur la chaise abandonnée par ma mère. D'un claquement de doigt, elle lui intime l'ordre de s'approcher.

 

- Allez Claudine, tu dois assumer! dit Jean tordu de rire.

 

La voisine passe les mains sous l'ourlet de la robe et doucement, d'un geste presque carressant, elle releve le vetement jusqu'au milieu du dos. la culotte rose est tendue sur les grosses fesses mais nadine n'a aucun mal a la baisser jusqu'aux chevilles. Elle impose a ma mère de lever un pied puis l'autre afin de lui désentraver les jambes.

 

-Sébastien, apporte moi mon sac s'il te plait!

 

Trop heureux de pouvoir s'approcher et de regarder de tout pres le cul nu, le gamin se precipite pour obéir. Nadine passe la main dans le grand cabas qu'elle avait apporter et en ressort un joli martinet à lanières carrées qui, de toute évidence a déjà beaucoup servi.

 

-La position ne serait pas comode ainsi! Claudine, mettez vous à genoux sur la chaise. et je vous préviens si vous tentez de vous soustraire j'augmente le nombre de coups!

 

Les deux femmes échangent leur place: maman comme on le lui a dit et Nadine à coté d'elle, face à nous. Sans  le moindre avertissement, elle leve son bras armé et abbat les lanières en travers des fesses maternelles. Maman sursaute et ne peut retenir un cri. Ma mère a un mouvement pour  se protéger le derrière de ses mains , mais se ravise vite et reprend la position. Sébastien est resté tout à coté des deux femmes, il ne perd pas une miette du spectacle. C'est surement la première fois quil peut voir a l'aise un cul d'aussi pres.

Les cinglades se suivent à un rythme soutenu. Nadine ne semble même pas se fatiguer. Son bras se  leve et s'abbat avec la régularité d'un métronome et, petit à petit, le cul de maman prend la même teinte que celui du gamin qui en bave de plaisir. le short de Jean et le mien sont gonflés, Sébastien, toujours tout nu, ne pense pas à cacher son érection. Andrée, de son coté, se frotte les cuisses l'une contre l'autre. Elle aussi doit être hyper excitée par le spectacle.

 

Après dix bonnes minutes de ce traitement, le gros cul est devenu rouge foncé. Nadine arrète la punition.

 

-voila pour votre indécence ma chère Claudine, masi il reste un point à règler encore!

-????????????

-j'ai toujours tenu à ce que mon fils tienne ses promesses. Je l'ai éduqué dans le respect de la parole donnée

-je ...je ne vois ......pas ce que vous voule dire

- mais si vous voyez très bien: vous lui aviez promis de lui donner sa fessée en étant toute nue et pourtant vous êtes restée habillée.

- Je n'allais quand même pas me mettre nue devant vous tous!

-vous auriez du! maintenant c'est trop tard, la fessée a été donnée mais votre manque de parole doit trouver une compensation!

-comment celà??

-et bien, mon fils va vous donner lui même les dix dernières cinglages. j'estime qu'il est temps pour lui d'apprendre a manier correctement le martinet et je ne vais pas lui offrir mon propre cul pour son initiation!

-Mais vous êtes folle!!!!!!!

 

Tout en lui expliquant la suite de sa punition, Nadine a passé sa main libre sur les fesses et entre les cuisses de maman. Je connais assez ma mère pour savoir  dans quel état la voisine a trouvé le minou. Elle n'a montré aucun signe de surprise ni fait la moindre remarque. Elle tend le martinet à son fils

 

-Tiens Sébastien, dix coups  pas plus! Et si tu m'en crois, le dernier donne le en long. Ca te consolera de ne pas l'avoir eue nue pour te fesser comme elle te l'avait promis

 

bien sur, le gamin ne se fait pas prier. Les cinq premiers coups sont un peu maladroits mais les quatre suivants  sont assenés avec la maîtrise d'un vrai pro du martinet. Comme sa maman le lui a suggéré, il donne le dixième en long, visant et trouvant avec précision le milieu de la raie. Au moment où les lanières s'insinuent entre les grosses fesses rouge, le gamin asperge d'une longue giclée le cul de maman.

 

 

 

 

 

 

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Dimanche 29 avril 7 29 /04 /Avr 07:32

-Claudine tu ne vas pas faire cela quand même!!!!!

-Mais non, c'était juste pour être certaine qu'il reviendra bien demain!

 

Maman n'a pas remis son haut, elle se passe de l'huile solaire sur les seins. Le mouvement de ses mains est de plus en plus lassif. Ses tétons pointent. Je n'avais jamais remarqué à quel point ils sont longs. nous sommes tout les trois hypnotisés par le va-et-vient des doigts. Andrée commence à respirer plus rapidement, jean et moi sentons nos slips de bain se tendre.

 

-Arrète, Claudine!

-Ben quoi? vous m'avez déjà vue nue tous alors ne me dites pas que mes seins vous dérangent!

-Ce n'est pas une raison pour exciter les garçons

-Il fait chaud et nous sommes entre nous j'ai plutot envie de tout retirer

-Maman! et si le gamin a repris son poste d'observation derrière la haie?

-Je m'en moque, il a été fessé pour avoir voulu voir mon cul et bien il le verra!

 

joignant le geste à la parole, maman se lève et, nous tournant le dos, baisse lentement le bas de son bikini. Elle tortille un peu les fesses pour se dénuder complètement

 

-Qui sera assez gentil pour me passer de l'huile solaire sur les fesses?

 

sans hésiter, Jean s'approche d'elle et s'empare du flacon , il n'a pas trop de ses deux mains pour enduire le cul que maman lui presente. Les mouvements enveloppants de ses doigts sur le fessier me fascinent.

 

-Comme mon fils est occupé avec le derrière de ta mère, tu pourrais avoir la galanterie de m'aider moi!

 

    Je me retourne pour découvrir une Andrée complètement nue, couchée sur le ventre. Ses petites fesses tendues vers moi m'invitent. Délicatement, je l'enduis d'huile m'attardant plus particulièrement dans la raie et sur son petit trou. Elle a écarté les cuisses et sa main s'active dans son minou. Je cesse de lui carresser le cul, ne pouvant détacher mes yeux des doigts entrant et sortant de son antre de plus en plus trempé.

 

-Qu'attends tu? Viens, prends moi!

-Andrée, je......

 

Elle se retourne sur le dos et en un instant m'arrache plus que ne retire mon slip de bain. L'érection qui s'était formée pendant la fessée du gamin a complètement disparu. Le cri de déception  d'Andrée se mèle à ceux de jouissance des deux autres. Trop honteux pour la regarder, je tourne la tète. mes yeux se posent sur le vit de Jean sortant du cul de maman. Son gland est sale et gluant. Du sperme s'échappe de l'anus encore ouvert. Jean a toujours ses éjaculations abondantes qui me plaisent tant.

Comprenant le problème, mon ami s'approche de nous et prend la direction des opérations

 

-Retourne-toi, maman, Michel n'est pas trop attiré par ton minou et je sais ce qu'il lui faut pour honorer convenablement ton petit cul

 

Nous suivons les consignes de mon amant. Andrée se met à genoux, la tète posée sur les mains. Je me penche sur son dos, tendant les fesses vers Jean qui m'encule sans autre forme de procès. comme d'habituse, l'effet est immédiat . Je taquine un peu l'anus du bout de mon zizi et d'un coup je l'enfonce. je n'ai presque pas de place pour bouger, serré en sandwich entre Jean et sa mère! Notre accouplement dure longtemps.

 

Maman s'est approchée toujours nue, elle se carresse en regardant et, c'est presque simulatément que nous jouissons tout les quatre. Je devais même dire tout les cinq car de derrière la haie nous parvient le son de gémissement ne nous laissant aucun doute sur l'activité solitaire du fils de la voisine.

 

Le soir, alors que nous prenons un digestif sur la terrasse, les échos d'une dispute nous parviennent. Le garnement d'à coté se fait copieusement engueuler par sa mère. Nous devinons qu'elle a soit remarqué la disparition de son jeans, soit vu l'état de son cul. 10 bonnes minutes de sermon se solde par la musique caractéristique d'un martinet cinglant un cul nu, ponctuée des cris de douleurs du puni. Nous percevons distinctement ses supplications entre deux gémissements. Il a du être forcé de tout raconter à sa mère. Tout ou presque! En tout cas sa correction s'achève sur la promesse que demain, sa maman l'accompagnera chez nous pour assister à la seconde partie de la punition que ma propre mère lui a promise.  Jean et moi pensons au même moment: elle lui a promis de le fesser toute nue, si la voisine vient aussi, ça va être dur de tenir cette promesse!

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Vendredi 27 avril 5 27 /04 /Avr 06:19

Hier a été une journée très spéciale: j'ai reçu mon diplôme. Fini les études supérieures et en plus j'ai signé le contrat pour mon premier boulot. Je commencerai à travailler dans 6 semaines. Mes parents sont fiers bien qu' à la réception qui a suivi la cérémonie, maman a un peu trop bu. Plus d'une fois, papa lui a demandé de se tenir mais quand elle a un verre dans le nez, elle ne peut sempècher de jouer les coquettes. J'ai réussi à m'isoler un moment avec Jean pour une petite pipe vite faite. Son sperme me plait bien plus que le champagne. Le retour chez nous a été orageux, oubliant (peut être) ma présence à l'arrière de la voiture, papa n'a pas arrèté de dire sa façon de penser sur l'inconduite  de maman. J'admets qu'il y avait de quoi être furieux: voir sa femme minauder devant le recteur et les autorités présentes, ça à du lui faire bouillir le sang. A peine la voiture dans le garage, il a  attapé maman par les cheveux et la littéralement trainée dans le salon.

 

-Tu n'es qu'une putain! tu nous a fais honte à mon fils et à moi même!

-Mais........ je n'ai rien fait de mal!

-Rien fait de mal?????? C'est tout juste si tu n'as pa proposé de montrer ton gros cul à tout le monde!

- au moins il y en a qui l'aurait regardé! je suis certaine que tu ne l'as plus vu depuis plus d'un mois.

-J'ai d'autres préocupations! Ce n'est pas pour mon plaisir que je vais aller travailler au lieu de vous accompagner demain  chez ton amie Andrée. Et puis ne dis pas que je ne t'ai pas regardée, je t'ai encore baisée la semaine dernière.

-Tu peux t'en vanter: un petit coup en vitesse dans le noir

-Si c'est montrer tes grosses fesses qui te font de l'effet, je vais te faire plaisir de suite, tu vas les montrer bien plus que tu ne l'espère

 

Joignant le geste à la parole, papa a attrapé le bras de maman et l'a fait basculée sur ses genoux. La robe déjà courte en est remontée dévoilant la moitié d'une culotte de dentelle rose. Ma mère a crié de surprise. elle battait des cuisses pour tenter d'échapper à la poigne de fer de son mari. je savais qu'elle n'avait aucune chance d'y arriver, malgré ses 20 kg de moins, papa est bien plus fort qu'elle.

D'une main, il a tiré le bas de la robe jusqu'au milieu du dos, faisant éclater une ou deux coutures. De l'autre, il a arraché la culotte. Bien que je le connaisse en détail, c'est toujours un plaisir pour moi d'admirer le cul maternel et je ne m'en suis pas privé. La fessée n'a pas été très longue, à peine 10 minutes. Mais l'intensité des claques a fait passé la couleur des fesses du blanc au rouge cramoisi.

 

-Voilà, tu dois être contente maintenant, tu viens de bien le montrer ton cul! Tu ne te plaindras plus que personne ne le regarde. Et, comme celà semble te plaire de t'exhiber, c'est à poils que tu vas préparer le diner

- Tu n'oserais pas m'imposer celà devant notre fils!

- Et pourquoi pas? Ce ne sera pas la première fois qu'il te voit ainsi

 

Le repas léger  a été vite expédié. Papa n'a pas fait grace à maman du moindre bout de tissus. Jusqu'au soir elle est restée nue. Leurs gémissements dans leur chambre ont été aussi explicites sur leur activité nocturne que si je m'étais caché sous le lit conjugal.

 

Quand je me suis levé ce matin, papa était déjà parti et maman achevait de fermer nos valises: Nous partons pour un mois avec Andrée et Jean dans le sud de la France. Andrée y a hérité de ses parents une petite maison isolée. La maison n'a que deux chambres ce qui nous arrange bien Jean et moi: tout un mois à dormir dans le même lit!!!!!! Pendant que je défais ma valise, les mains de mon ami ne cessent  de me carresser les fesses.

 

-arretes, jean! nos mères pourraient entrer

-J'en doute mais de toute façon, elle savent depuis longtemps ce qu'il en est pour nous deux

-Tu as dit à Andrée que tu m'enculais?

-Bien sur, nous ne nous cachons rien, elle et moi

 

Notre première nuit de vacances a été plutot mouvementée. Je ne pense pas avoir jamais reçu autant de sperme dans le cul. Les éjaculations de Jean sont toujours aussi abondantes et cela ne me déplait pas de les recevoir ni entre mes fesses ni entre mes lèvres.

 

Il fait chaud ce matin. Nous sommes mollement allongés sur la terrasse dans des transats. les mères d'un coté de la table, mon ami et moi de l'autre. Je perçois du coin de l'oeil un mouvement de la haie qui sépare le jardin d'Andrée de celui des voisins.

-Jean! est-ce une impression ou il y a quelqun dui nous épie derrière la haie?

-C'est peut-être le vent! 

-Tu te moques de moi, il n'y a pas un souffle d'air

-tu as raison je viens de le voir aussi, ne bouge pas

 

Jean se lève et 'approche de sa maman:

 

-Qui occupe la maison voisine?

-une veuve et son jeune fils pouruoi?

-Tu connais l'âge du fils?

-14 - 15 ans mais où veux tu en venir?

-Je crois qu'il nous espionne

Andrée fait mine de se lever mais son fils la retient d'une main ferme sur son épaule, à la limite de sa poitrine

-reste assise comme si de rien n'était, je reviens.

 

Jean disparait dans la maison. Sans élever le ton, je raconte aux femmes l'impression que nous avons eue de voir la haie bouger. Après 10 minutes de semi silence entre nous, nous entndons distinctement les echos d'une dispute dans le jardin voisin. Un instant plus tard, jean réaparait tenant fermement par le bras un jeune garçon. Mon ami s'est faufilé discretement chez les voisins et a surpris notre voyeur qu'il ramène près de nous. Le gamin n'est pas fier.

-alors, ça t'amuse d'épier les voisins?

-..............

Réponds quand je te parle ou c'est à ta mère que tu auras à faire!

-Je...... je ne vous.... épiais pas

-Ne racontes pas de salades, je t'ai vu depuis la lucarne du grenier, tu écartais la haie pour espionner chez nous

-J  J' avais....perdu ma balle

- Tu cherchais plutot si il y avait quelquechose à voler!

-Non, je vous assure......

-Ou alors c'est que tu cherchais à voir ma mère et son amie en petite tenue

 

Il faut dire que le bikini d'andrée est vraiment mini et que celui de maman a bien du mal à envelopper l'énorme poitrine et les fesses rebondies de sa propriétaire.

 

-Tu sais ce que tu mérites?

-...............

-Une bonne fessée, je dirai à ta maman de te l'administrer

 

A cette promesse d'Andrée, le gamin se décompose en un instant. Il se met à pleurer toute les larmes de son corps.Il nous jure qu'il ne recommencera plus jamais, nous suplie de ne rien dire à sa maman. la mienne comprend immédiatement le parti à tirer de la peur viscérale qui déforme le visage du petit.

 

-Si tu veux, je ne dirai rien à ta maman mais il n'en reste pas moins que tu mérites une fessée et même deux puisque nous sommes deux femmes à avoir été vitime de ta curiosité malsaine!

-Mais! Je n'ai rien vu!

-Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Décide toi. ta mère ce soir ou nous maintenant?

-Si maman l'apprend, c'est au fouet qu'elle me battra, je préfère deux fessées à la main

-C'est bien il va en être ainsi. Tu commences Andrée?

 

Sans répondre à ma mère, Andrée attrappe le gosse par un bras et l'attire près d'elle. D'une main experte, elle deboutonne le jeans et descend la tirette puis, lentement fait descendre le pantalon. Sébastien ( je ne saurai son nom que le lendemain) laisse filer son jeans mais retient comme  son slip.

 

-Ne t'imagine pas que je vais me fatiguer à fesser un slip! ce sont tes fesses nues que je vais rougir!

 

Vaincu, le garçon lache son sous-vètement qu'Andrée tire aussitot vers le bas. une jolie paire de fesses blanches apparait. un cul potelé mais ferme, marqué par les traces de nombreuses fessées plus anciennes.

L'amie de maman fait basculer le garnement en travers de ses cuisses nous laissant entrevoir un bref instant un  zizi déjà bien poilu et deux couilles assez développées. A peine sa victime couchée sur ses cuisses, Andrée achève de baisser jeans et slip, aidée plus que contrariée par les ruades du futur fessé, elle fait tomber sur le sol les deux vètements.

Ses premières claques résonnent sans vraiment faire mal, elle y va progressivement. petit à petit, la correction devient plus sévère et de blanc, le petit cul passe à un rouge profond. chaque giffle est ponctuée d'un cri de douleur et d'une ruade qui à chaque fois nous devoile le service trois pièces du gamin. Nous avons tous chaud et pas seulement à cause du climat.

 

-Voilà! cela suffit pour la première fessée. mon amie va prendre la relève

-je ne pense pas que ce soit judicieux. Son cul est trop rouge pour qu'une seconde fessée soit efficace. Et puis ce qu'il a dit est vrai: il n'a même pas pu voir quoi que ce soit

-Tu n'aurais quand même pas voulu qu'il te voit nue?

-bah! si cela tombe, tout ce qu'il connait du corps d'une femme il ne l'a vu que dans de mauvais films ou des revues subtilisées  dans une poubelle. Il a été courageux d'accepter que tu le fesse, il mérite une petite récompense, tu ne trouves pas?

-Et bien montre lui tes seins si tu y tiens

 

Sans se faire prier d'avantage, maman degraffe son haut et dévoile toute sa laiterie au garnement qui ne s'y attendait pas. L'effet est assez spectaculaire, en une seconde le zizi se dresse.

 

-Tu vas rentrer chez toi tout nu. tu reviendras demain matin chercher à la fois tes vètements et ta seconde fessée. Et si tu es bien  sage c'est toute nue que je te la donnerai

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : culs d'andrée, de maman et de sebastien - Communauté : fessées publiques
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