Mercredi 15 août 3 15 /08 /Août 06:36

Maryse, la belle cinquantaine, etait une femme arrogante. Fière de la fortune d' André, son mari, elle snobait son entourage. Toujours habillée bcbg, tailleur stricte et chemisier boutonné jusqu'au cou, sa seule fantaisie vestimentaire était dans ses dessous qu'elle choisissait toujours le plus affriolants possible: strings transparents, porte jarretelle pour tenir ses bas de soie, soutiens-gorges à balconnets, rien n'était trop beau trop cher ou trop érotique.

André l'avait épousée pour remplacer la maman des jumeaux, décedée très jeune. Dans la villa entourée d'un parc, les garçons grandissaient sans problème en taille et en force. Laurent et Pierre aimaient bien leur belle-mère mais souffraient de sa sévérité et du manque de tendresse maternelle. Les bètises étaient toujours sanctionnées de la même manière: fessée sur leur petit cul nu, au salon en hivers, sur la terrasse en été.

 

Fin 2008, la crise frappa l'entreprise d'André, mais celui-ci mit un point d'honneur à conserver tout son personnel, aussi bien dans l'entreprise que domestique. Même la prime de fin d'année fut versée. Bien entendu, ce ne fut pas sans conséquence sur le train de vie de la famille. Finis les déplacement à Paris pour l'achat de vètements de marques ou de dessous dans les boutiques spécialisées où un string coutait le prix d'un costume complet.

 

Le 24 décembre cette année là, André voulut néanmoins fêter dignement le quinzième anniversaire de ses fils. Il avait invité son ami jacques, chef de son personnel, ainsi que les enfants de celui-ci: Lucas un gamin boutonneux de 13 ans et Patricia, une jeune fille de 16 ans dont André était le parrain.

 

A 20 heures tapantes, Jacques et ses enfants firent leur apparition au salon. Le pied du sapin, déjà bien garni de pacquets multicolores  se retrouva chargé de veiller sur 8 cadeaux supplémentaires.

 

-Nous sommes 7 et tu apportes 8 cadeaux, remarqua Maryse, qui donc va en recevoir un de plus?

-C'est une surprise, ma chère Maryse, tu le sauras au dessert

 

Caroline, la bonne apporta, sur un signe d'André, le Champagne de circonstance. Pour Lucas c'était la première fois qu'il recevait la permission de boire une coupe, et, avant même d'y avoir gouté, il avait déjà les yeux brillants. L'apéritif et le dîner se passèrent dans une joyeuse ambiance. Tous étaient heureux d'oublier l'espace de quelques heures les soucis de la vie. Seule patricia était un peu morose. Comme toujours Maryse la snobait, et la pauvre gamine pensait à son petit ami qui, lui, n'avait pas été invité. Bien éduquée, l'ado souriait néanmoins aux plaisanteries et fit honneur à chaques plats.

 

Le dessert à peine avalé, André invita tout son petit monde au salon pour le moment le plus attendu: la distribution et l'ouverture des cadeaux. Même Caroline et Lucien, le chauffeur et homme à tout faire, furent conviés à rejoindre la famille. Cétait une tradition. Le soir avant Noël, André ne voulait plus de barrière de classe. Il n'avait néanmoins jamais réussi à convaincre son personnel de les tutoyer sa femme et lui. Les enfants furent, bien sur, les premiers servis par ordre croissant d'age. C'est dans un joyeux fouilli de papier et de rubans que les adultes découvrirent à leur tour ce que le Père Noël leur avait apporté. Il restait juste un long  pacquet sous le sapin lorsqu'André réclama le silence. Des sièges confortables avaient été placés en, demi-cercle  devant la table bureau et chacun s'installat

 

-L'année n'a pas été facile. Tous nous avons dû subir les effets de la crise économique. Mais, ce soir, nous pouvons célébrer à la fois, l'anniversaire des jumeaux, Noêl et le début prévisible d'un redressement grace au contrat que Jacques à réussi à nous obtenir.

 

Tous applaudirent poliment. André ne parlait jamais beaucoup et l'impatience ne risquait pas d'etre trop longue.

 

-Néanmoins, je dois bien reconnaitre que, si chacun a fait un effort, cerrtaine n'ont pas bien compris mes ordres d'éconnomie.

 

En disant cela, André s'était tourné vers sa femme , son sourire qui adoucissait son air sévère habituel avait disparu. 

 

-1500€ pour des strings et des soutien-gorges , je n'appele pas ca être raisonnable!

-Chéri , ils étaient en promo . Cette marque à ce prix c'est donné!

-J'ai refusé la semaine  aux sports d'hivers que les  jumeaux me demandaient, ce n'est pas pour que tu jettes l'argent par la fenetre. tu vas être punie par là où tu a pèché!

 

-Caroline! as tu préparé ce qu je t'ai demandé?

-oui, monsieur, c'est dans le tiroir de votre table de travail

 

  André  amena  Maryse devant la table en la tirant par un bras.     

 

-Lucien approche, s'l te plait. Tu sais ce que tu dois faire

-Lucas, apporte moi le dernier pacquet, tu seras gentil!

 

L'homme et le garçon obéirent sans discuter, comme tout le monde, le gamin  se demandait ce qu'André avait voulu dire par:"-tu seras punie" Quand il vit Lucien sortir des cordes du tiroir et adroitement en passer un boucle au poignet de Maryse, il commenca à avoir peur.

Maryse prise de court par l'action de son domestique réagit trop tard, un de ses bras était déjà immobilisé, attaché à un pied de la table, l'obligeant à s'étendre sur le plateau

 

Mi amusés, mi intrigués, les invités  attendaient la suite. Aucun commentaire ne vint troubler le silence qui s'était installé. Lorsque ses deux bras furent attachés , chacun à un pied de la table, maintenant son buste sur le bois, Maryse comprit ;enfin, et voulu se débattre. Encore trop fière pour supplier, sa seule possibilité de réaction fut de battre des jambes. Mais Lucien était un ancien marin et les noeuds il savait très bien les serrer. André,pendant ce temps,  avait ouvert le dernier cadeau et sorti de son embalage un solide martinet.

 

-J'en ai assez de tes désobeissances! Je me bats pour apporter un minimum de confort à mon personnel, et toi tu ne penses qu'à gaspiller mon argent en frioriture.

 

-Chéri je t'ai dit, c'était une promo  je n'ai vraiment pas payé très cher. Et s'il te plait dis à Lucien de me détacher les mains

 

-Te détacher les mains? il n'en est pas question, bien au contraire, dans un instant, tes chevilles orneront les deux autres pieds de mon bureau.

 

-Tu ....... ne vas ...... quand même pas?

 

- oh que si, je vais!

 

-Pas ici, pas devant tout le monde!

 

-Et pourquoi pas? tes dépenses inconsidérées limitent mes possibilités de faire plaisir aux autres alors.....

 

-Mais...... et les enfants?

 

-Jacques est d'accord pour que je te punisse devant ses enfants, quand aux jumeaux, c'est à moi de décider. et je trouve qu'ils sont assez grands.

- Caroline, dégraffez la jupe de Maryse!

 

Sans hésiter, la jeune femme s'approcha de sa patronne et fit ce qu' André lui avait ordonné. L'attache défaite, elle descendit le zip et tira un peu sur la jupe, découvrant le bas du dos jusqu'au ras du string. S'approchant à son tour, André terminat lentement la descente de la jupe. Les spectateurs retenaient leur souffle en voyant  petit à petit le cul apparaitre. si les jumeaux avaient déjà vu des photos de fesses, Lucas, lui, n'en avait jamais vues de plus agées que celles de  copains de son age fessés devant et souvent en même temps que lui.

Sur un signe du maître de maison, Lucien, aidé complaisament par Jacques, attachèrent les chevilles  de Maryse aux pieds restant libre de la table. La malheueuse avait beau se débattre , se tortiller dans tout les sens, elle fut vite maitrisée et dans l'incapacité de bouger plus que les doigts ou les orteils. 

 

-Tu m'as desobei et je vais te punir pour celà. Tes dépenses inconsidérées m'ont empèché de donner à Lucien et Caroline les étrennes qu'ils méritaient et, pour celà, eux aussi te fesseront!

 

-Nooooon pas par les domestiques je ne le suporterai pas!

 

-Tu sais que ce soir, il n'y a pas de momestiques ici. Il y a des amis fidèles c'est tout

 

-pas devant les enfants alors!

 

-tais toi, je ferai comme je l'entends. Pendant mon dernier voyage, tu as tenté de séduire Jacques!

-..........

- tu as raison, il est inutile de le nier et donc pour celà, Jacques aussi te fesseras.

 

Bien qu'elle ne puisse bouger, chacun avait l'impression que Maryse baissait la tête au fur et à mesure de l'énoncé de la liste de ses futurs fesseurs.  A l'énoncé de chaque nom, les fesses de cette femme fière, arogante, se contractaient comme si elle sentait déjà les claques lui rougir le cul.

 

-Depuis des années tu prends un plaisir sadique à fesser les jumeaux. Je ne nie pas qu'ils le méritent souvent, mais il n'était pas toujours nécessaire de les déculotter devant leurs amis! en conséquence, eux aussi auront leur revanche ce soir.

 

C'en était trop! Maryse, à ses mots, s'était mise à gigotter dans ses liens. Elle tirait de toutes ses forces sur ses cordes sans arriver  au moindre résultat.

 

-Ne te fatigue pas. Tu es trop bien attachée pour te libérer et tu auras besoin de ton énergie pour crier quand le martinet mordra ton cul. D'ailleur, la liste n'est pas terminée

- qu'as tu encore inventer pour m'humilier plus?

 

-Je t'avais dit d'inviter le petit ami de Patricia et pourtant tu ne l'as pas fait

 

-j' ai...j'ai...ou...blié

 

-Menteuse! Caroline t'a entendue au téléphonne dire au jeune homme que tu regrettais mais que je ne voulais pas de lui à ma table. Pour cette raison, Patricia, elle aussi, s'occupera de tes fesses.

 

Bien que généralement timide, le jeune fille laissa un large sourire éclairer son visage. On pouvait voir dans ses yeux qu'elle allait prendre un plaisir énorme lorsque viendrait son tour de fouetter le cul tendu vers eux tous.

 

-Et enfin, même si tu n'as pas de tort vis à vis de lui, je trouve que ce ne serait pas juste que seul Lucas ne participe pas. jacques étant du même avis que moi, le petit te donnera la huitième fessée.

 

Sur un signe de son patron, Lucien s'emparat d'une paire de ciseau et, sans hésiter, s'applicat à découper le chemisier de la malheureuse. Il prenait tout son temps. Du pan arrière jusqu'au col. Le crissement du tissus était le seul son audible dans la pièce.Apres la découpe du dos, il s'attaquat aux manches et Maryse se trouvat bien vite en soutien-gorge et string; ses fesses rondes tendues vers les spectateurs.

 

-Continue, Lucien!

-C'est que, Monsieur....

-Allons, ne soit pas si timide. Nous en avons parlé ce matin. Achève le travail je la veux toute nue!

 

En entendant ses derniers mots, Maryse voulut suplier son mari de lui laisser ses derniers vètements pour sauvegarder sa pudeur, mais rien ne pouvait faire flèchir la volonté du maitre de maison et Lucien dût terminer le deshabillage . Après trois coups de ciseaux, le soutien-gorge s'envolat pour rejoindre la jupe. dix secondes plus tard c'était au tour du string et maryse n'eut plus que ses boucles d'oreilles. Si ses seins étaient écrasés sur le bois et donc presqu'invisibles pour les invités, sa position, jambes largements ouvertes ne laissait aucune place à l'imagination pour son cul ni pour son sexe poilu, par dessous les fesses. 

 

La main gauche d'André passait et repassait  sur et ente les fesses de sa femme. C'était une carresse  légère qui faisiat frissonner Maryse et lui donnait la chair de poule puis, subitement, le premier coup de martinet vint zébrer le derrière tendu.

Le claquement fit sursauter l'assistance. Quelques cris s'échapèrent de la bouche des femmes et des ados. 7 lignes rouges se formèrent sur la peau tendue. André prenait tout son temps. Rien ne pressait. La main carressante repris son travail d'appaisement plusieurs secondes avant de laisser la place brusquement aux lanières de cuir.

 

-une faute vis à vis de chacun de nous! nous sommes huit ! ce sera donc huit cinglades multipliées par huit. Et ce ne sera que le début de ta punition!

 

Sans s'occuper des supplications et des lamentations de sa femme, le fesseur reprit son manège: carresse appaisante d'une main douce suivie immédiatement d'un violent coup de martinet en travers du gros cul tendu. Lucas s'érait mis à compter à voix haute. Hommes, femme, garçons et fille transpiraient. Plus d'excitation au spectacle de ce cul rougissant qu' à cause de la température. Après le huitième coup de martinet, André tendit l'engin à son ami. Les deux hommes échangèrent leur place. Jacques se positionnant à coté du derrière déjà écarlate tandis que André prenait place dans le fauteuil libéré.

Pas de carresse intermédiaire cette fois. Les huit cinglades, toujours énumérées par Lucas se suivirent à un rythme soutenu. L'ami laissait juste le temps à la punie de bien "savourer" le contact entre les fesses et les lanières avant de réarmer son bras et de l'abattre à nouveau. 

 

    Ce fut ensuite au tour de  Lucien. Nulement gèné par l'érection bien visible, il s'aquitta de sa tâche avec un plaisir évident. Quand il eut fini, c'est vers la bonne qu'il se tournat et tendit le martinet. Caroline n'hésita pas un seul instant. Elle se leva en defroissant sa courte jupe de service et se saisit de l'engin de torture.

La jeune femme prenait tout son temps. Elle admirait l'état déjà pitoyable du cul qu'elle allait fustigier,le carressant d'une main à la fois douce et ferme . Elle écartait les fesses pour mieux voir le contraste de couleur entre la raie blanche et les fesses écarlates. Son manège troublait toute l'assistance par son erotisme et des mains s'égaraient sur des pantalons gonflés.

 

-Madame aime bien me fouetter quand je fais une erreur!

un coup sur la fesse droite suivit d'un cri soulignèrent  la remarque

 

-Madame aime bien me déculotter pour le moindre faux pli lors du repassage!

cette fois ce fut la fesse gauche qui recut les lanière

 

-Madame n'hésite pas à m'humilier devant Lucien!

Caroline en disant cela s'était assise sur la table, juste à coté de maryse et, d'un main, lui avait écarté les fesses. Le toisième coup tombat dans la raie, arrachant un hurlement à la supliciée.

 

-Madame va savoir ce qu'est une vraie fessée publique, pour de vraies fautes et non sous de quelquonques pretextes fallatieux!

 

A toute volée et rapidement, la bonne appliquat les  derniers coups directement entre les fesses, visant particulièrement l'oeillet qui semblait faire un clin d'oeil au public médusé.

Les pantalons étaient tous tendus à hauteur de la braguette. C'est comme à regret que Patricia  retirat sa main de la bosse de Laurent pour echanger sa place avec Caroline. Cette dernière était en nage, les joues rouges et pas seulement à cause de la chaleur ou de l'exercice. A peine assise, la bonne posa la main à l'endroit précis que la jeune fille avait touché.

 

La 5ème fessée fut un peu maladroite. Le manque d'habitude sans doute. Si Patricia avait déjà vu sa maman fesser son frère, elle même n'avait donné la fessée qu'une demi-douzaine de fois et encore c'était à la main et plus pour jouer que pour vraiment punir. Le premier coup tombat presque à coté du cul tendu et le père de la flagelleuse conseillat sa fille pour la position à adopter et la façon de viser l'endroit qu'elle voulait atteindre. Les hommes se rendirent vite compte que la gamine visait particulièrement l'endroit le plus poilu accessible aux lanières. Chaque claquement était souligné d'un hurlement de maryse et ses gémissement remplissait la pièce entre les coups.

 

Laurent, comme son père l'avait fait avant lui, pris tout son temps. Entre chaque cinglade, il carressait le cul tendu et cherchait les rares parcelles de peau moins rouge que le reste. André était fièr de son fils. Le garçon promettait de devenir un bon fesseur! Sa tâche accomplie, il retournat s'asseoir à coté de Patricia. Il voyait du coin de l'oeil la main de lucien profondément engagée sous la robe courte de Caroline. La bonne avait perdu toute pudeur et le pantalon de son ami était grand ouvert. A peine laurent était il assis que la main de Patricia se posa à la place qu'elle avait du abandonner un moment plus tot. Elle aussi avait vu le manège des domestiques et san vergogne, elle descendit le zip, libérant ainsi le jeune sexe tendu à en faire mal.

 

La punition fut appliquée sans qu'une seule claque ne soit épargnée à la punie. Lucas comme ses prédécesseurs n'eut pas à rougir de sa prestation. Les cris de maryse prouvaient à tous que le gamin avait, lui aussi, de véritables dons de fesseur.

 

C'est une maryse pantelante qui fut détachée de la table. Elle n'eut même pas la présence d'esprit de cacher ses seins ou son pubis de ses mains. A peine déliée, elle tombat sur les genoux, prostrée. Jacques dut l'aider à se rendre dans le coin où André l'avait consignée en attendant la suite de la punition.

 

-Si nous prenions le café et un digestif, maintenant? C'est Jacques qui avait fait cette prposition, mais André avait autre chose en tête et il l'expliquat à l'orelle de son ami qui ne put retenir  un hoquet de surprise .

 

-Tu es certain de vouloir celà?

-oui, j'en ai vues ainsi en Allemagne et en Hollande et celà me plairait beaucoup.

-nous ne serons pas assez de deux ni même de trois pour la tenir pendant cette opération!

-les jumeaux nous aiderons, avec lucien et nous , 10 mains seront suffisante et caroline pourra agir tranquille!

 

Sur un signe de son patron, la bonne qui était déjà avertie de la suite, disparut dans l'office, laissant la porte de communication entr'ouverte. Tous entendirent nettement le rononnement du four micro-onde. Les ados se regardaient en se posant des questions. Qu'à donc encore inventé papa pour punir sa femme?

 

-c'est quand vous voudrez, monsieur.

 

La voix de Caroline fut le signal. André s'approchat de son épouse et la tirant par les cheveux la ramenat pres de la table des supplices. Il la fit s'asseoir sur le plateau du meuble et, avec l'aide de Jacques et de Lucien, la couchat, cuisses pendantes vers les autres.

 

-Venez nous aider Laurent et Pierre! tenez lui fermement les cuisses grandes ouvertes

 

Alors que les garçons obéissaient à leur père, celui-ci expliquat les raisons de la position plus qu'indécente qu'il avait obigé la malheureuse à prendre.

 

-Puisque votre belle mère s'est conduite comme une gamine capricieuse, elle a été punie comme telle. Mais les traces de martinet s'effaceront d'ici quelques jours voire une semaine ou deux. Je veux qu'elle n'oublie plus jamais

 

-Papa! tu vas la refouetter chaque fois que les marques auront disparu?

 

-non. Seulement quand elle le méritera et je compte sur vous deux pour m'avertir quand vous estimerez qu'elle mérite une nouvelle fessée.

 

-Que vas tu faire ce soir alors?

 

-Je ne peux rien faire pour gommer les formes imposantes de son corps! Formes qui vous ont bien plues si j'en crois l'état de vos braguettes!

 

Les garçons rougirent un peu mais savaient bien, au ton de la voix paternelle, que ce n'était pas une réprimante.

 

-Pour qu'elle n'oublie pas, je vais la transformer en gamine. Au moins pour son entre jambes.

 

Caroline sur l'entrefait s'était approchée, un pot de liquide doré à la main. D'une spatule de bois, elle puisait un peu de ce qui semblait être du miel, et en tartinait la toison impecablement taillée de Maryse. C'était très chaud et la femme recommencat à gémir

 

-ca brule! Arretez vous faites cuire mon minou!

 

Sans s'occuper des lamentations de sa patronne, Caroline appliquat sur la chatte exposée, la cire, puisque c'était bien un pot de cire qu'elle avait apporté,puis, une bandelette de papier feutré. Elle lissat la bandelette puis, brutalement, la retirat; provocant un hurlement désagréable aux oreilles de l'assistance. La peau du coté gauche du minou apparut , dégarnie de tout poil, et devint en une seconde aussi rouge que la peau du cul. Intraitable, faisant fi des supplications, des cris de douleurs, des menaces, la bonne recommencat l'opération. Systematiquement, bande par bande elle épilat complètement le minou.

 

-Retournons la! Il fut aussi dégarnir son cul du moindre poil. Ainsi au moins pour cet endroit elle ressemblera à la gamine dont elle a pris les mauvaise manières!

 

personne ne discutat les ordres et maryse se retrouvat illico sur le ventre, les cuisses tenues écartées par les jumeaux, les fesses tirées par Son mari et son ami. L'épilation se poursuivit jusqu'à ce qu'André estimat la raie culière aussi lisse que l'était devenu le minou.

 

-Caroline! mets lui quand même un peu de lait de corps hydratant et appaisant

-Oui Monsieur, j'y ai pensé et j'en ai apporté.

 

D'un doigt peut être plus carressant que vraiment nécessaire, la bonne enduisit copieusement le cul et sa raie d'un beaume calmant. S'appercevant qu'une bonne quantité de crème blanche était restée dans les replis de l'anus, André se saisit du martinet posé juste à coté de sa femme. Si les lanières étaient d'une belle longueur, le manche, lui ne mesurait pas plus de 20 cm.

 

-Te voici lisse comme une gamine. mais ton attitude était vraiment une vacherie pour Patricia. alors je vais, pour le reste de cette soirée, te donner un peu l'aspect de ce noble animal!

 

Sous la poussée intraitable du mari, le manche du martinet disparut entierement dans le cul tendu par la position imposée.

quand Maryse put enfin se redresser, elle avait une sorte de queue de vache qui fit rire tout le monde.

 

-Voilà! tu vas rester ainsi et garre à toi si tu retire ou même si tu perds ta belle queue! Maintenant apprends aussi ce qu'est la vie des gens de maison. Sers nous le café!

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Communauté : fessées publiques
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés