Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 06:20

La première fois que j'ai vu Angélique, c'est en me rendant chez son mari pour un après-midi de travail. Elle était nue et semblait enlacer un arbre du parc. En m'approchant je vis qu'en fait, elle était attachée face au tronc. son dos, et ses fesses étaient joliment marqués de stries rouges.

 

Je n'avais pas à me mèler des histoires domestiques de mon ami aussi, par politesse, je ne fis aucun commentaire et me dirigeai vers Cédric qui m'accueillit la main tendue et nous nous mîmes directement au travail dans son bureau.

Après plus d'une heure de mise au point, les grandes lignes du projet étaient décidées et nous fîmes une pause. Il faisait chaud. Nous nous installâmes sur la terrasse pour déguster un café bien mérité.

 

-Tu as des nerfs d'acier! tu n'as pas sourcillé en voyant ma femme.

-Je n'ai pas à juger votre couple. Si tu as estimé que ta femme avait besoin d'etre corrigée, c'est toi que celà regarde

-C'est vrai et j'apprécie ton ouverture d'esprit.

- Ca ne veut pas dire que je n'ai pas été étonné de découvrir ta femme entièrement nue alors que nous  ne nous étions encore jamais rencontrés elle et moi.

-Sa tenue et sa position sont le résultat d'une longue histoire. Si tu en as envie je vais te la résumer

-Tu me connais, je suis discret mais celà n'empeche pas que j'aime les histoires

-Et bien voilà:

 

Tous à commencer une semaine avant mon mariage. Angélique avait reçu de son pére la "permission de minuit" et nous avions été nous amuser dans une boite que je connaissais à l'autre bout de la ville. Un stupide accident avait provoqué un retard de plus de trente minutes au métro. Quand je lui ai souhaité le bonsoir devant sa porte il était minuit passée.

 

Je redescendais les marches du perron quand j'entendis son père me rappeler

 

- Cédric! un moment s'il vous plait. entrez un instant j'ai à vous parler.

 

Me doutant qu'il allait me reprocher notre retard je remontai vers lui pour donner l'explication somme toute naturelle d'une arrivée tardive bien involontaire. Mon futur beau-père ne m'en laissat pas le temps. Il me fit entrer dans la maison, et donnat directement ses ordres à sa fille

 

-Angélique! Tu connais la suite, vas au salon des punitions et prépare toi.

 

J'étais quelque peu interloqué par le vocable: "salon des punitions". Une nouvelle fois je voulus expliquer la cause de notre retard mais une nouvelle fois le papa de ma fiancée me coupat la parole.

 

-Jeune-homme, c'est avec plaisir que je vous confierai ma fille la semaine prochaine. Dès samedi elle sera votre femme et vous serez son seigneur et maître mais jusque là, elle me doit toujours l'obéissance. J'ai la charge de son éducation et je m'en occupe comme je l'entends.

 

 

Tout en parlant, il m'avait servi un verre de Porto et nous nous étions assis dans de profonds fauteuils. Nous avons encore discuté une dizaine de minutes des derniers détails de la cérémonie de mariage. Je partais le lendemain matin pour mon boulot et nous ne nous verrions plus avant le jour J.

 

Nos verres vides, mon hôte m'invitat à le suivre. il me conduisit vers une porte que je n'avais jamais vue ouverte. Il m'introduisit dans une sorte de bureau spacieux. Aux murs, étaient pendus toute une panoplie de martinets, de cravaches, de fouets. Au centre de la pièce tronait un cheval d'arçon; cet engin de gymnastique avait à chacun de ses pieds un solide anneau d'acier. Du plafond, pendaient deux cordes sous les quelles deux autres anneaux avaient été fixés dans le sol.

 

-Bienvenue dans mon salon des punitions! Vous semblez surpris de l'ameublement! Et bien sachez qu'il en a été de même la première fois que je l'ai vu quand j'ai acheté cette maison. Et si vous m'en croyez, vous installerez le même chez vous.

 

-Vous avez là tout le matériel du parfait sadique!

 

-Sadique ? non. Le matériel qu'un mari et un père aimant doit avoir chez lui pour l'éducation de sa femme et de ses enfants.

 

Il ne m'était jamais venu à l'idée de fouetter ma future femme et encore moins les enfants qu'elle me donnerait, mais il aurait été inconvenant de ma part d'en faire la remarque au maître des lieux. Ce n'est qu'en regardant tout autour de moi que je decouvris, dans un coin, ma fiancée. Elle attendait, tête basse , entièrement nue. C'était la première fois que je la voyais dans cette tenue. Le geste le plus osé que j'avais jamais eu envers elle avait été de lui carresser un sein par dessus son bustier. Nous avions toujours désiré ne nous découvrir physiquement qu'au soir de nos noces. Interloqué, je ne pouvais néanmoins pas détaccher mes yeux des fesses rondes d'Angélique. Quand son père lui intimat l'ordre de se positionner sur le cheval d'arçon, je compris que la punition annoncée se déroulerait devant moi. Docile, Angélique se couchat sur l'engin, saisir ues anneaux du coté opposé, ne touchant plus le sol que de la pointe des orteils de notre coté. Cuisses largement écartées la position lui tendait le cul et nous laissait voir en détail la fente poilue de son intimité.  Mon beau-père choisit un martinet à longue mèche, le décrochat du mur et sans un mot de plus, se plaçat aux coté de sa fille. Le premier coup ainsi que le cri de douleur qui lui succédat me fit sursauter. Je me pris à compter à voix haute les claquements qui se suivaient à raison de deux par minutes environs. Le cul de ma fiancée rougissait petit à petit et, dans mon pantalon, mon sexe se dressait au fur et à mesure du changement de couleur que prenaient les fesses de ma chérie.

 

Le quarantième coup porté, mon beau-père me reconduisit d'une main ferme à la porte d'entrée.

 

-Je vous souhaite une bonne nuit. Nous nous reverrons samedi à la mairie. D'ici là Angélique ne sortira pas d'ici, mais de toutes façons vous partez demain jusqu'à vendredi et vous aurez tout le temps de bien réfléchir à ce que je vous ai dit et à ce que vous avez vu ce soir. N'hésitez pas à me contacter après votre mariage si vous avez besoin d'un conseil quand au parachevement de l'éducation de votre femme.

 

Pendant le récit de mon ami, Angélique n'avait pas bougé d'un pouce. Elle était restée droite, fière, collée à son arbre; comme ignorant ma présence et l'indécence de sa tenue. Les marques rouges qui tranchaient sur la blancheur de sa peau était d'un effet hautement érotique. Tout comme mon ami une semaine avant ses noces, je ne pouvais détacher mes yeux de ce magnifique cul et je dus bien m'avouer que plus que sa nudité, c'était le contraste des lignes rouge sur la peau blanche qui provoquait un bouleversement dans  mon slip.

 

-Christian! allez libérer Madame, qu'elle vienne saluer notre visiteur

 

Le domestique que je n'avais même pas vu s'approcher obeit sans sourciller. D'une main sure, il défit les liens retenant Angélique à son arbre et, celle-ci vint vers nous, tête basse sans même tenter de cacher ses seins ou son pubis impecablement épilé.

 

-Salue donc mon ami et, raconte lui pourquoi tu te trouves dans cette tenue ainsi que les raisons de la correction que tu as reçue.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Communauté : fessées publiques
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