Non catégorisé

Mardi 9 avril 2 09 /04 /Avr 23:44

 

toujours tête basse mais sans aucune tentative pour cacher ses appats, Angélique se mit à genoux au bord de la terrasse. D'une voix un peu tremblante elle entamât son explication.

 

- Depuis notre mariage, Cédric et moi avons un accord: Pas de sotte jalousie, si l'un de nous a envie de tester un autre corps, il lui suffit d'en avertir l'autre et celui-ci lui donnera la permission. Jusqu'il y a peu, je n'ai jamais transgressé cet accord. J'ai eu deux amants approuvé par Cedric.

 

- Je dois te dire, interrompt mon ami, que j'ai largement suivi les conseils de mon beau-père. Quand je suis mécontent de ma femme, je la puni par la fessée manuelle, le martinet ou le fouet selon la gravité de son manquement. Il est arrivé plus d'une fois que pour lui rappeler qui était le maître, je l'ai obligée à vivre ici nue,domestique ou pas, ou à sortir sans dessous avec une robe courte et légère ne laissant aucun doute à tout ceux qui voulait y faire un temps soit peu attention.

- Mais continue Angélique, notre ami t'écoute

 

- Il y a un mois, pour une question d'exactitude à un rendez vous avec Cedric, J'ai été punie. Je suis restée entièrement nue une semaine entière. C'est au cour de cette semaine que cela a commencé. Un après midi, Cedric était au bureau et les domestiques avaient reçu un demi jour de congés. Pierre, notre voisin est passé apporter les plans d'une extension que mon mari veut apporter à la maison. Une pièce qui sera le salon des punitions comme chez mon père. En habitué de la maison il est entré dans le parc sans s'annoncer. j'étais étendue dans un transat ici même sur la terrasse et m'étais assoupie. lorsqu'il m'a vue, plutot que de se retirer discretement, Pierre s'est approché et m'a carressée intimement. Bien que réveillée, je l'ai laissé faire et nous avons débuté une aventure en secret.j'ai été imprudente et cédric a découvert ce matin une preuve de ma faute. Voila la raison de ma tenue et des marques qui traversent mon dos mes cuisses et mon derrière.

 

- Cette punition n'est que le début, me révèle mon ami. Après l'avoir fouettée copieusement j'ai appelé Patricia, la femme de Pierre et l'ai invitée à venir diner avec son mari ce soir. Il serait injuste que Angélique soit la seule punie pour une faute qu'elle a commise avec un autre. Donc, ce soir, Pierre, sa femme et leur fille seront des nôtres. je dis bien "notres" car il n'est pas question que tu retourne chez toi. Tu vas diner avec nous et tu assisteras à la suite que j'ai prévue pour punir les deux fautifs.

 

- Ta voisine ne sait rien de ce qu il va se passer?

-Non, pas encore.

-Même si elle approuve la double punition, peut-être sera t'elle moins encline à accepter que sa fille y assiste. Quelle age a t'elle au fait leur fille?

-16 ans et crois moi son père ne sera pas le premier homme nu qu'elle verra.

-comment peux tu être cetain qu'il acceptera la punition?

- Le cabinet d'architecte qu'il dirige appartient à sa femme ainsi que leur maison, leur villa de vacances dans le sud et le reste.

- Evidement dans ce cas......

-Mais tu as raison. Il serait plus correct de ma part de l'avertir, et si elle est contre le fait que la gamine voit son père nu et fouetté, elle pourra l'envoyer chez une amie ou un membre de la famille. je lui téléphonne immédiatement.

 

A peine Cédric entré, Angélique se jettât à mes pieds en pleurs

 

-je vous en prie, vous qui êtes son ami, dissuadez le. j'aime mon mari, j'accepte toute les punitions qu'il estime méritées, mais être fouettée avec Pierre devant Solange , sa fille, c'est au dessus de mes forces. Pas tellement pour moi mais pour l'humiliation que cela imposera a Pierre.

 

- Désolé, Angélique, non seulement Cédric est dans son droit, mais en plus, je suis moi même un chaud partisan de la fessée publique. Dès l'age de 14 ans j'ai assisté des dizaines de fois aux corrections que mon père infligeait à maman et j'ai trouvé cela très instructif.. Encore aujourd'hui, il arrive que malgré ses 60 ans, Maman ait des soucis pour s'asseoir.

 

 

                                                                                     -o-

 

A 18 heures sonnantes, J'entend le gravier de l'allée crisser sous des pas. L'homme est plus petit que son épouse, un peu grassouillet. Correctement habillé d'un pantalon de toile et d'un t-shirt blanc. La femme qui l'accompagne est canon. grande , mince, une poitrine qui tente de tranpercer son corsage, des hanches en anphores. Chacune de ses apparitions doit provoquer     une révolution dans les braguettes.  La jeune fille suit les pas de sa mère. aussi blonde qu'elle, poitrine menue mais qui ne demande qu'à se développer, délà très femme dans son allure générale.

J'ai immédiatement la pensée que il faut être fou pour délaisser une telle famille. Maryse est belle et sexy mais elle n'arrive pas à la cheville de sa voisine.

 

Cedric a averti patricia du déroulement spécial de cette soirée en même temps qu'il lui a appris son infortune. Pourtant rien ne parait sur le visage fin si ce n'est un peu de dureté dans le regard. Pour les accueillir, Angélique a reçu la permission d'enfiler une robe. enfin un bout de tissu qui, s'il ressemble à une robe devant, ne cache rien de l'anatomie martyrisée dans le dos. La célèbre robe du "grand blond" est tres decente à coté de celle de notre hotesse. Les invités ne peuvent encore rien remarquer, mais moi qui me tiens un peu en retrait j'ai tout loisir de compter les stries rouges qui décorent le haut des cuisses, les fesses et le dos de la femme de mon ami quand elle s'est avancée pour embrasser les trois arrivants. D'autorité, Cedric à pris le bras des voisines et les guide jusqu'à la terrasse. J'échange quelques banalités avec Pierre et Maryse nous suit à deux pas.

 

Christian nous attend au bord de la terrasse avec un plateau supportant des coupes de champagne. Nous prenons l'apéritif debout. Personne n'a encore vu le dos de maryse et patricia doit certainement avoir été au conservatoire d'art dramatique pour pouvoir afficher un air aussi naturel. Impossible de lire quoi que ce soit dans son attitude. On jurerait qu'elle ne sait rien. Une femme qui vient diner chez des amis avec lesquels elle se sent tout à fait à l'aise.

 

- Pierre, j'ai trouvé ce bouton de manchette sous mon lit ce matin! N'est ce pas un de ceux que je t'ai offert pour ton anniversaire?

 

C'est parti, sans préambule, Cédric a lancé le pavé dans la marre. En un instant les joues du coupable passent  au  rouge vif . Pierre balbutie un "je ne crois pas... ce n'est pas possible... certainement une erreur......peut être le bouton de manchette de quelqun d 'autre...."

 

 - Puis-je voir? je connais très bien les boutons de manchettes de mon mari je saurai te dire si celui-ci est à lui ou non.

 - Bien sur, regarde mais je te signale que j'avais fait faire ces boutons par un bijoutier et ce modele est unique.

-  En effet c'est bien un bouton de mon mari!

 

Un peu à l'écart, Solange et moi suivons discretement les explications bafouillées par le voisin et les réponses qui le confondent à chaque foi sun peu plus. La gamine a un sourire qui me rassure sur la façon dont elle acceptera la suite de la soirée. Malgré son jeune age elle me donne l'impression d'avoir déjà bien vécu. De plus, le rayons du solail couchant me laissent deviner que sous sa robe sage, cette petite ne porte pas grand chose. J'hésite entre le mini string et... rien du tout.

 

Un cris de dénégation m'arache à le contemplation du petit cul juvénile. Les choses se précisent. Pierre vient d'être averti sur les conséquences de son inconduite. Angélique reçoit l'ordre de son mari de se tourner pour que tout un chacun puisse à la fois admirer sa plastique mais aussi, et même surtout, comprendre ce qu'elle a déjà subi et donc ce que son amant va connaitre à son tour. Après un léger sursaut de surprise, Solange ne peut s'empècher de passer le bout de sa langue sur ses lèvres. Visiblement la situation l'excite au plus haut point. Je ne sais pas encore si c'est le cul d'Angelique, les traces du fouet ou l'idée que son père va subir le même sort; mais en tout cas, je suis certain qu'elle va apprecier la suite.

 

 

 

 

 

 

Par mienstring - Communauté : fessées publiques
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Dimanche 16 septembre 7 16 /09 /Sep 06:20

La première fois que j'ai vu Angélique, c'est en me rendant chez son mari pour un après-midi de travail. Elle était nue et semblait enlacer un arbre du parc. En m'approchant je vis qu'en fait, elle était attachée face au tronc. son dos, et ses fesses étaient joliment marqués de stries rouges.

 

Je n'avais pas à me mèler des histoires domestiques de mon ami aussi, par politesse, je ne fis aucun commentaire et me dirigeai vers Cédric qui m'accueillit la main tendue et nous nous mîmes directement au travail dans son bureau.

Après plus d'une heure de mise au point, les grandes lignes du projet étaient décidées et nous fîmes une pause. Il faisait chaud. Nous nous installâmes sur la terrasse pour déguster un café bien mérité.

 

-Tu as des nerfs d'acier! tu n'as pas sourcillé en voyant ma femme.

-Je n'ai pas à juger votre couple. Si tu as estimé que ta femme avait besoin d'etre corrigée, c'est toi que celà regarde

-C'est vrai et j'apprécie ton ouverture d'esprit.

- Ca ne veut pas dire que je n'ai pas été étonné de découvrir ta femme entièrement nue alors que nous  ne nous étions encore jamais rencontrés elle et moi.

-Sa tenue et sa position sont le résultat d'une longue histoire. Si tu en as envie je vais te la résumer

-Tu me connais, je suis discret mais celà n'empeche pas que j'aime les histoires

-Et bien voilà:

 

Tous à commencer une semaine avant mon mariage. Angélique avait reçu de son pére la "permission de minuit" et nous avions été nous amuser dans une boite que je connaissais à l'autre bout de la ville. Un stupide accident avait provoqué un retard de plus de trente minutes au métro. Quand je lui ai souhaité le bonsoir devant sa porte il était minuit passée.

 

Je redescendais les marches du perron quand j'entendis son père me rappeler

 

- Cédric! un moment s'il vous plait. entrez un instant j'ai à vous parler.

 

Me doutant qu'il allait me reprocher notre retard je remontai vers lui pour donner l'explication somme toute naturelle d'une arrivée tardive bien involontaire. Mon futur beau-père ne m'en laissat pas le temps. Il me fit entrer dans la maison, et donnat directement ses ordres à sa fille

 

-Angélique! Tu connais la suite, vas au salon des punitions et prépare toi.

 

J'étais quelque peu interloqué par le vocable: "salon des punitions". Une nouvelle fois je voulus expliquer la cause de notre retard mais une nouvelle fois le papa de ma fiancée me coupat la parole.

 

-Jeune-homme, c'est avec plaisir que je vous confierai ma fille la semaine prochaine. Dès samedi elle sera votre femme et vous serez son seigneur et maître mais jusque là, elle me doit toujours l'obéissance. J'ai la charge de son éducation et je m'en occupe comme je l'entends.

 

 

Tout en parlant, il m'avait servi un verre de Porto et nous nous étions assis dans de profonds fauteuils. Nous avons encore discuté une dizaine de minutes des derniers détails de la cérémonie de mariage. Je partais le lendemain matin pour mon boulot et nous ne nous verrions plus avant le jour J.

 

Nos verres vides, mon hôte m'invitat à le suivre. il me conduisit vers une porte que je n'avais jamais vue ouverte. Il m'introduisit dans une sorte de bureau spacieux. Aux murs, étaient pendus toute une panoplie de martinets, de cravaches, de fouets. Au centre de la pièce tronait un cheval d'arçon; cet engin de gymnastique avait à chacun de ses pieds un solide anneau d'acier. Du plafond, pendaient deux cordes sous les quelles deux autres anneaux avaient été fixés dans le sol.

 

-Bienvenue dans mon salon des punitions! Vous semblez surpris de l'ameublement! Et bien sachez qu'il en a été de même la première fois que je l'ai vu quand j'ai acheté cette maison. Et si vous m'en croyez, vous installerez le même chez vous.

 

-Vous avez là tout le matériel du parfait sadique!

 

-Sadique ? non. Le matériel qu'un mari et un père aimant doit avoir chez lui pour l'éducation de sa femme et de ses enfants.

 

Il ne m'était jamais venu à l'idée de fouetter ma future femme et encore moins les enfants qu'elle me donnerait, mais il aurait été inconvenant de ma part d'en faire la remarque au maître des lieux. Ce n'est qu'en regardant tout autour de moi que je decouvris, dans un coin, ma fiancée. Elle attendait, tête basse , entièrement nue. C'était la première fois que je la voyais dans cette tenue. Le geste le plus osé que j'avais jamais eu envers elle avait été de lui carresser un sein par dessus son bustier. Nous avions toujours désiré ne nous découvrir physiquement qu'au soir de nos noces. Interloqué, je ne pouvais néanmoins pas détaccher mes yeux des fesses rondes d'Angélique. Quand son père lui intimat l'ordre de se positionner sur le cheval d'arçon, je compris que la punition annoncée se déroulerait devant moi. Docile, Angélique se couchat sur l'engin, saisir ues anneaux du coté opposé, ne touchant plus le sol que de la pointe des orteils de notre coté. Cuisses largement écartées la position lui tendait le cul et nous laissait voir en détail la fente poilue de son intimité.  Mon beau-père choisit un martinet à longue mèche, le décrochat du mur et sans un mot de plus, se plaçat aux coté de sa fille. Le premier coup ainsi que le cri de douleur qui lui succédat me fit sursauter. Je me pris à compter à voix haute les claquements qui se suivaient à raison de deux par minutes environs. Le cul de ma fiancée rougissait petit à petit et, dans mon pantalon, mon sexe se dressait au fur et à mesure du changement de couleur que prenaient les fesses de ma chérie.

 

Le quarantième coup porté, mon beau-père me reconduisit d'une main ferme à la porte d'entrée.

 

-Je vous souhaite une bonne nuit. Nous nous reverrons samedi à la mairie. D'ici là Angélique ne sortira pas d'ici, mais de toutes façons vous partez demain jusqu'à vendredi et vous aurez tout le temps de bien réfléchir à ce que je vous ai dit et à ce que vous avez vu ce soir. N'hésitez pas à me contacter après votre mariage si vous avez besoin d'un conseil quand au parachevement de l'éducation de votre femme.

 

Pendant le récit de mon ami, Angélique n'avait pas bougé d'un pouce. Elle était restée droite, fière, collée à son arbre; comme ignorant ma présence et l'indécence de sa tenue. Les marques rouges qui tranchaient sur la blancheur de sa peau était d'un effet hautement érotique. Tout comme mon ami une semaine avant ses noces, je ne pouvais détacher mes yeux de ce magnifique cul et je dus bien m'avouer que plus que sa nudité, c'était le contraste des lignes rouge sur la peau blanche qui provoquait un bouleversement dans  mon slip.

 

-Christian! allez libérer Madame, qu'elle vienne saluer notre visiteur

 

Le domestique que je n'avais même pas vu s'approcher obeit sans sourciller. D'une main sure, il défit les liens retenant Angélique à son arbre et, celle-ci vint vers nous, tête basse sans même tenter de cacher ses seins ou son pubis impecablement épilé.

 

-Salue donc mon ami et, raconte lui pourquoi tu te trouves dans cette tenue ainsi que les raisons de la correction que tu as reçue.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Communauté : fessées publiques
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Mercredi 15 août 3 15 /08 /Août 06:36

Maryse, la belle cinquantaine, etait une femme arrogante. Fière de la fortune d' André, son mari, elle snobait son entourage. Toujours habillée bcbg, tailleur stricte et chemisier boutonné jusqu'au cou, sa seule fantaisie vestimentaire était dans ses dessous qu'elle choisissait toujours le plus affriolants possible: strings transparents, porte jarretelle pour tenir ses bas de soie, soutiens-gorges à balconnets, rien n'était trop beau trop cher ou trop érotique.

André l'avait épousée pour remplacer la maman des jumeaux, décedée très jeune. Dans la villa entourée d'un parc, les garçons grandissaient sans problème en taille et en force. Laurent et Pierre aimaient bien leur belle-mère mais souffraient de sa sévérité et du manque de tendresse maternelle. Les bètises étaient toujours sanctionnées de la même manière: fessée sur leur petit cul nu, au salon en hivers, sur la terrasse en été.

 

Fin 2008, la crise frappa l'entreprise d'André, mais celui-ci mit un point d'honneur à conserver tout son personnel, aussi bien dans l'entreprise que domestique. Même la prime de fin d'année fut versée. Bien entendu, ce ne fut pas sans conséquence sur le train de vie de la famille. Finis les déplacement à Paris pour l'achat de vètements de marques ou de dessous dans les boutiques spécialisées où un string coutait le prix d'un costume complet.

 

Le 24 décembre cette année là, André voulut néanmoins fêter dignement le quinzième anniversaire de ses fils. Il avait invité son ami jacques, chef de son personnel, ainsi que les enfants de celui-ci: Lucas un gamin boutonneux de 13 ans et Patricia, une jeune fille de 16 ans dont André était le parrain.

 

A 20 heures tapantes, Jacques et ses enfants firent leur apparition au salon. Le pied du sapin, déjà bien garni de pacquets multicolores  se retrouva chargé de veiller sur 8 cadeaux supplémentaires.

 

-Nous sommes 7 et tu apportes 8 cadeaux, remarqua Maryse, qui donc va en recevoir un de plus?

-C'est une surprise, ma chère Maryse, tu le sauras au dessert

 

Caroline, la bonne apporta, sur un signe d'André, le Champagne de circonstance. Pour Lucas c'était la première fois qu'il recevait la permission de boire une coupe, et, avant même d'y avoir gouté, il avait déjà les yeux brillants. L'apéritif et le dîner se passèrent dans une joyeuse ambiance. Tous étaient heureux d'oublier l'espace de quelques heures les soucis de la vie. Seule patricia était un peu morose. Comme toujours Maryse la snobait, et la pauvre gamine pensait à son petit ami qui, lui, n'avait pas été invité. Bien éduquée, l'ado souriait néanmoins aux plaisanteries et fit honneur à chaques plats.

 

Le dessert à peine avalé, André invita tout son petit monde au salon pour le moment le plus attendu: la distribution et l'ouverture des cadeaux. Même Caroline et Lucien, le chauffeur et homme à tout faire, furent conviés à rejoindre la famille. Cétait une tradition. Le soir avant Noël, André ne voulait plus de barrière de classe. Il n'avait néanmoins jamais réussi à convaincre son personnel de les tutoyer sa femme et lui. Les enfants furent, bien sur, les premiers servis par ordre croissant d'age. C'est dans un joyeux fouilli de papier et de rubans que les adultes découvrirent à leur tour ce que le Père Noël leur avait apporté. Il restait juste un long  pacquet sous le sapin lorsqu'André réclama le silence. Des sièges confortables avaient été placés en, demi-cercle  devant la table bureau et chacun s'installat

 

-L'année n'a pas été facile. Tous nous avons dû subir les effets de la crise économique. Mais, ce soir, nous pouvons célébrer à la fois, l'anniversaire des jumeaux, Noêl et le début prévisible d'un redressement grace au contrat que Jacques à réussi à nous obtenir.

 

Tous applaudirent poliment. André ne parlait jamais beaucoup et l'impatience ne risquait pas d'etre trop longue.

 

-Néanmoins, je dois bien reconnaitre que, si chacun a fait un effort, cerrtaine n'ont pas bien compris mes ordres d'éconnomie.

 

En disant cela, André s'était tourné vers sa femme , son sourire qui adoucissait son air sévère habituel avait disparu. 

 

-1500€ pour des strings et des soutien-gorges , je n'appele pas ca être raisonnable!

-Chéri , ils étaient en promo . Cette marque à ce prix c'est donné!

-J'ai refusé la semaine  aux sports d'hivers que les  jumeaux me demandaient, ce n'est pas pour que tu jettes l'argent par la fenetre. tu vas être punie par là où tu a pèché!

 

-Caroline! as tu préparé ce qu je t'ai demandé?

-oui, monsieur, c'est dans le tiroir de votre table de travail

 

  André  amena  Maryse devant la table en la tirant par un bras.     

 

-Lucien approche, s'l te plait. Tu sais ce que tu dois faire

-Lucas, apporte moi le dernier pacquet, tu seras gentil!

 

L'homme et le garçon obéirent sans discuter, comme tout le monde, le gamin  se demandait ce qu'André avait voulu dire par:"-tu seras punie" Quand il vit Lucien sortir des cordes du tiroir et adroitement en passer un boucle au poignet de Maryse, il commenca à avoir peur.

Maryse prise de court par l'action de son domestique réagit trop tard, un de ses bras était déjà immobilisé, attaché à un pied de la table, l'obligeant à s'étendre sur le plateau

 

Mi amusés, mi intrigués, les invités  attendaient la suite. Aucun commentaire ne vint troubler le silence qui s'était installé. Lorsque ses deux bras furent attachés , chacun à un pied de la table, maintenant son buste sur le bois, Maryse comprit ;enfin, et voulu se débattre. Encore trop fière pour supplier, sa seule possibilité de réaction fut de battre des jambes. Mais Lucien était un ancien marin et les noeuds il savait très bien les serrer. André,pendant ce temps,  avait ouvert le dernier cadeau et sorti de son embalage un solide martinet.

 

-J'en ai assez de tes désobeissances! Je me bats pour apporter un minimum de confort à mon personnel, et toi tu ne penses qu'à gaspiller mon argent en frioriture.

 

-Chéri je t'ai dit, c'était une promo  je n'ai vraiment pas payé très cher. Et s'il te plait dis à Lucien de me détacher les mains

 

-Te détacher les mains? il n'en est pas question, bien au contraire, dans un instant, tes chevilles orneront les deux autres pieds de mon bureau.

 

-Tu ....... ne vas ...... quand même pas?

 

- oh que si, je vais!

 

-Pas ici, pas devant tout le monde!

 

-Et pourquoi pas? tes dépenses inconsidérées limitent mes possibilités de faire plaisir aux autres alors.....

 

-Mais...... et les enfants?

 

-Jacques est d'accord pour que je te punisse devant ses enfants, quand aux jumeaux, c'est à moi de décider. et je trouve qu'ils sont assez grands.

- Caroline, dégraffez la jupe de Maryse!

 

Sans hésiter, la jeune femme s'approcha de sa patronne et fit ce qu' André lui avait ordonné. L'attache défaite, elle descendit le zip et tira un peu sur la jupe, découvrant le bas du dos jusqu'au ras du string. S'approchant à son tour, André terminat lentement la descente de la jupe. Les spectateurs retenaient leur souffle en voyant  petit à petit le cul apparaitre. si les jumeaux avaient déjà vu des photos de fesses, Lucas, lui, n'en avait jamais vues de plus agées que celles de  copains de son age fessés devant et souvent en même temps que lui.

Sur un signe du maître de maison, Lucien, aidé complaisament par Jacques, attachèrent les chevilles  de Maryse aux pieds restant libre de la table. La malheueuse avait beau se débattre , se tortiller dans tout les sens, elle fut vite maitrisée et dans l'incapacité de bouger plus que les doigts ou les orteils. 

 

-Tu m'as desobei et je vais te punir pour celà. Tes dépenses inconsidérées m'ont empèché de donner à Lucien et Caroline les étrennes qu'ils méritaient et, pour celà, eux aussi te fesseront!

 

-Nooooon pas par les domestiques je ne le suporterai pas!

 

-Tu sais que ce soir, il n'y a pas de momestiques ici. Il y a des amis fidèles c'est tout

 

-pas devant les enfants alors!

 

-tais toi, je ferai comme je l'entends. Pendant mon dernier voyage, tu as tenté de séduire Jacques!

-..........

- tu as raison, il est inutile de le nier et donc pour celà, Jacques aussi te fesseras.

 

Bien qu'elle ne puisse bouger, chacun avait l'impression que Maryse baissait la tête au fur et à mesure de l'énoncé de la liste de ses futurs fesseurs.  A l'énoncé de chaque nom, les fesses de cette femme fière, arogante, se contractaient comme si elle sentait déjà les claques lui rougir le cul.

 

-Depuis des années tu prends un plaisir sadique à fesser les jumeaux. Je ne nie pas qu'ils le méritent souvent, mais il n'était pas toujours nécessaire de les déculotter devant leurs amis! en conséquence, eux aussi auront leur revanche ce soir.

 

C'en était trop! Maryse, à ses mots, s'était mise à gigotter dans ses liens. Elle tirait de toutes ses forces sur ses cordes sans arriver  au moindre résultat.

 

-Ne te fatigue pas. Tu es trop bien attachée pour te libérer et tu auras besoin de ton énergie pour crier quand le martinet mordra ton cul. D'ailleur, la liste n'est pas terminée

- qu'as tu encore inventer pour m'humilier plus?

 

-Je t'avais dit d'inviter le petit ami de Patricia et pourtant tu ne l'as pas fait

 

-j' ai...j'ai...ou...blié

 

-Menteuse! Caroline t'a entendue au téléphonne dire au jeune homme que tu regrettais mais que je ne voulais pas de lui à ma table. Pour cette raison, Patricia, elle aussi, s'occupera de tes fesses.

 

Bien que généralement timide, le jeune fille laissa un large sourire éclairer son visage. On pouvait voir dans ses yeux qu'elle allait prendre un plaisir énorme lorsque viendrait son tour de fouetter le cul tendu vers eux tous.

 

-Et enfin, même si tu n'as pas de tort vis à vis de lui, je trouve que ce ne serait pas juste que seul Lucas ne participe pas. jacques étant du même avis que moi, le petit te donnera la huitième fessée.

 

Sur un signe de son patron, Lucien s'emparat d'une paire de ciseau et, sans hésiter, s'applicat à découper le chemisier de la malheureuse. Il prenait tout son temps. Du pan arrière jusqu'au col. Le crissement du tissus était le seul son audible dans la pièce.Apres la découpe du dos, il s'attaquat aux manches et Maryse se trouvat bien vite en soutien-gorge et string; ses fesses rondes tendues vers les spectateurs.

 

-Continue, Lucien!

-C'est que, Monsieur....

-Allons, ne soit pas si timide. Nous en avons parlé ce matin. Achève le travail je la veux toute nue!

 

En entendant ses derniers mots, Maryse voulut suplier son mari de lui laisser ses derniers vètements pour sauvegarder sa pudeur, mais rien ne pouvait faire flèchir la volonté du maitre de maison et Lucien dût terminer le deshabillage . Après trois coups de ciseaux, le soutien-gorge s'envolat pour rejoindre la jupe. dix secondes plus tard c'était au tour du string et maryse n'eut plus que ses boucles d'oreilles. Si ses seins étaient écrasés sur le bois et donc presqu'invisibles pour les invités, sa position, jambes largements ouvertes ne laissait aucune place à l'imagination pour son cul ni pour son sexe poilu, par dessous les fesses. 

 

La main gauche d'André passait et repassait  sur et ente les fesses de sa femme. C'était une carresse  légère qui faisiat frissonner Maryse et lui donnait la chair de poule puis, subitement, le premier coup de martinet vint zébrer le derrière tendu.

Le claquement fit sursauter l'assistance. Quelques cris s'échapèrent de la bouche des femmes et des ados. 7 lignes rouges se formèrent sur la peau tendue. André prenait tout son temps. Rien ne pressait. La main carressante repris son travail d'appaisement plusieurs secondes avant de laisser la place brusquement aux lanières de cuir.

 

-une faute vis à vis de chacun de nous! nous sommes huit ! ce sera donc huit cinglades multipliées par huit. Et ce ne sera que le début de ta punition!

 

Sans s'occuper des supplications et des lamentations de sa femme, le fesseur reprit son manège: carresse appaisante d'une main douce suivie immédiatement d'un violent coup de martinet en travers du gros cul tendu. Lucas s'érait mis à compter à voix haute. Hommes, femme, garçons et fille transpiraient. Plus d'excitation au spectacle de ce cul rougissant qu' à cause de la température. Après le huitième coup de martinet, André tendit l'engin à son ami. Les deux hommes échangèrent leur place. Jacques se positionnant à coté du derrière déjà écarlate tandis que André prenait place dans le fauteuil libéré.

Pas de carresse intermédiaire cette fois. Les huit cinglades, toujours énumérées par Lucas se suivirent à un rythme soutenu. L'ami laissait juste le temps à la punie de bien "savourer" le contact entre les fesses et les lanières avant de réarmer son bras et de l'abattre à nouveau. 

 

    Ce fut ensuite au tour de  Lucien. Nulement gèné par l'érection bien visible, il s'aquitta de sa tâche avec un plaisir évident. Quand il eut fini, c'est vers la bonne qu'il se tournat et tendit le martinet. Caroline n'hésita pas un seul instant. Elle se leva en defroissant sa courte jupe de service et se saisit de l'engin de torture.

La jeune femme prenait tout son temps. Elle admirait l'état déjà pitoyable du cul qu'elle allait fustigier,le carressant d'une main à la fois douce et ferme . Elle écartait les fesses pour mieux voir le contraste de couleur entre la raie blanche et les fesses écarlates. Son manège troublait toute l'assistance par son erotisme et des mains s'égaraient sur des pantalons gonflés.

 

-Madame aime bien me fouetter quand je fais une erreur!

un coup sur la fesse droite suivit d'un cri soulignèrent  la remarque

 

-Madame aime bien me déculotter pour le moindre faux pli lors du repassage!

cette fois ce fut la fesse gauche qui recut les lanière

 

-Madame n'hésite pas à m'humilier devant Lucien!

Caroline en disant cela s'était assise sur la table, juste à coté de maryse et, d'un main, lui avait écarté les fesses. Le toisième coup tombat dans la raie, arrachant un hurlement à la supliciée.

 

-Madame va savoir ce qu'est une vraie fessée publique, pour de vraies fautes et non sous de quelquonques pretextes fallatieux!

 

A toute volée et rapidement, la bonne appliquat les  derniers coups directement entre les fesses, visant particulièrement l'oeillet qui semblait faire un clin d'oeil au public médusé.

Les pantalons étaient tous tendus à hauteur de la braguette. C'est comme à regret que Patricia  retirat sa main de la bosse de Laurent pour echanger sa place avec Caroline. Cette dernière était en nage, les joues rouges et pas seulement à cause de la chaleur ou de l'exercice. A peine assise, la bonne posa la main à l'endroit précis que la jeune fille avait touché.

 

La 5ème fessée fut un peu maladroite. Le manque d'habitude sans doute. Si Patricia avait déjà vu sa maman fesser son frère, elle même n'avait donné la fessée qu'une demi-douzaine de fois et encore c'était à la main et plus pour jouer que pour vraiment punir. Le premier coup tombat presque à coté du cul tendu et le père de la flagelleuse conseillat sa fille pour la position à adopter et la façon de viser l'endroit qu'elle voulait atteindre. Les hommes se rendirent vite compte que la gamine visait particulièrement l'endroit le plus poilu accessible aux lanières. Chaque claquement était souligné d'un hurlement de maryse et ses gémissement remplissait la pièce entre les coups.

 

Laurent, comme son père l'avait fait avant lui, pris tout son temps. Entre chaque cinglade, il carressait le cul tendu et cherchait les rares parcelles de peau moins rouge que le reste. André était fièr de son fils. Le garçon promettait de devenir un bon fesseur! Sa tâche accomplie, il retournat s'asseoir à coté de Patricia. Il voyait du coin de l'oeil la main de lucien profondément engagée sous la robe courte de Caroline. La bonne avait perdu toute pudeur et le pantalon de son ami était grand ouvert. A peine laurent était il assis que la main de Patricia se posa à la place qu'elle avait du abandonner un moment plus tot. Elle aussi avait vu le manège des domestiques et san vergogne, elle descendit le zip, libérant ainsi le jeune sexe tendu à en faire mal.

 

La punition fut appliquée sans qu'une seule claque ne soit épargnée à la punie. Lucas comme ses prédécesseurs n'eut pas à rougir de sa prestation. Les cris de maryse prouvaient à tous que le gamin avait, lui aussi, de véritables dons de fesseur.

 

C'est une maryse pantelante qui fut détachée de la table. Elle n'eut même pas la présence d'esprit de cacher ses seins ou son pubis de ses mains. A peine déliée, elle tombat sur les genoux, prostrée. Jacques dut l'aider à se rendre dans le coin où André l'avait consignée en attendant la suite de la punition.

 

-Si nous prenions le café et un digestif, maintenant? C'est Jacques qui avait fait cette prposition, mais André avait autre chose en tête et il l'expliquat à l'orelle de son ami qui ne put retenir  un hoquet de surprise .

 

-Tu es certain de vouloir celà?

-oui, j'en ai vues ainsi en Allemagne et en Hollande et celà me plairait beaucoup.

-nous ne serons pas assez de deux ni même de trois pour la tenir pendant cette opération!

-les jumeaux nous aiderons, avec lucien et nous , 10 mains seront suffisante et caroline pourra agir tranquille!

 

Sur un signe de son patron, la bonne qui était déjà avertie de la suite, disparut dans l'office, laissant la porte de communication entr'ouverte. Tous entendirent nettement le rononnement du four micro-onde. Les ados se regardaient en se posant des questions. Qu'à donc encore inventé papa pour punir sa femme?

 

-c'est quand vous voudrez, monsieur.

 

La voix de Caroline fut le signal. André s'approchat de son épouse et la tirant par les cheveux la ramenat pres de la table des supplices. Il la fit s'asseoir sur le plateau du meuble et, avec l'aide de Jacques et de Lucien, la couchat, cuisses pendantes vers les autres.

 

-Venez nous aider Laurent et Pierre! tenez lui fermement les cuisses grandes ouvertes

 

Alors que les garçons obéissaient à leur père, celui-ci expliquat les raisons de la position plus qu'indécente qu'il avait obigé la malheureuse à prendre.

 

-Puisque votre belle mère s'est conduite comme une gamine capricieuse, elle a été punie comme telle. Mais les traces de martinet s'effaceront d'ici quelques jours voire une semaine ou deux. Je veux qu'elle n'oublie plus jamais

 

-Papa! tu vas la refouetter chaque fois que les marques auront disparu?

 

-non. Seulement quand elle le méritera et je compte sur vous deux pour m'avertir quand vous estimerez qu'elle mérite une nouvelle fessée.

 

-Que vas tu faire ce soir alors?

 

-Je ne peux rien faire pour gommer les formes imposantes de son corps! Formes qui vous ont bien plues si j'en crois l'état de vos braguettes!

 

Les garçons rougirent un peu mais savaient bien, au ton de la voix paternelle, que ce n'était pas une réprimante.

 

-Pour qu'elle n'oublie pas, je vais la transformer en gamine. Au moins pour son entre jambes.

 

Caroline sur l'entrefait s'était approchée, un pot de liquide doré à la main. D'une spatule de bois, elle puisait un peu de ce qui semblait être du miel, et en tartinait la toison impecablement taillée de Maryse. C'était très chaud et la femme recommencat à gémir

 

-ca brule! Arretez vous faites cuire mon minou!

 

Sans s'occuper des lamentations de sa patronne, Caroline appliquat sur la chatte exposée, la cire, puisque c'était bien un pot de cire qu'elle avait apporté,puis, une bandelette de papier feutré. Elle lissat la bandelette puis, brutalement, la retirat; provocant un hurlement désagréable aux oreilles de l'assistance. La peau du coté gauche du minou apparut , dégarnie de tout poil, et devint en une seconde aussi rouge que la peau du cul. Intraitable, faisant fi des supplications, des cris de douleurs, des menaces, la bonne recommencat l'opération. Systematiquement, bande par bande elle épilat complètement le minou.

 

-Retournons la! Il fut aussi dégarnir son cul du moindre poil. Ainsi au moins pour cet endroit elle ressemblera à la gamine dont elle a pris les mauvaise manières!

 

personne ne discutat les ordres et maryse se retrouvat illico sur le ventre, les cuisses tenues écartées par les jumeaux, les fesses tirées par Son mari et son ami. L'épilation se poursuivit jusqu'à ce qu'André estimat la raie culière aussi lisse que l'était devenu le minou.

 

-Caroline! mets lui quand même un peu de lait de corps hydratant et appaisant

-Oui Monsieur, j'y ai pensé et j'en ai apporté.

 

D'un doigt peut être plus carressant que vraiment nécessaire, la bonne enduisit copieusement le cul et sa raie d'un beaume calmant. S'appercevant qu'une bonne quantité de crème blanche était restée dans les replis de l'anus, André se saisit du martinet posé juste à coté de sa femme. Si les lanières étaient d'une belle longueur, le manche, lui ne mesurait pas plus de 20 cm.

 

-Te voici lisse comme une gamine. mais ton attitude était vraiment une vacherie pour Patricia. alors je vais, pour le reste de cette soirée, te donner un peu l'aspect de ce noble animal!

 

Sous la poussée intraitable du mari, le manche du martinet disparut entierement dans le cul tendu par la position imposée.

quand Maryse put enfin se redresser, elle avait une sorte de queue de vache qui fit rire tout le monde.

 

-Voilà! tu vas rester ainsi et garre à toi si tu retire ou même si tu perds ta belle queue! Maintenant apprends aussi ce qu'est la vie des gens de maison. Sers nous le café!

 

 

 

 

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Communauté : fessées publiques
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 06:30

papa veut être grand-père et Chrisitine ne pouvent avoir d'enfant il ne reste que moi pour lui faire ce plaisir. le hic c'est mon homosexualité que je n'ai jamais eu le courage d'avouer à mon père. Je me confie à jean qui, comme toujours a une solution toute prète:

-Epouse ma soeur

-Aurélie? mais.....

-C'est le plus simple, d'une part elle connait tes gouts, d'autre part depuis qu'elle t'a fessé quand nous jouiions à l'école chez toi, elle a un petit faible pour ton cul!

-Me marier ne serait pas une mauvaise chose vu la montée de l'homophobie au boulot. mais lui faire un enfant ce sera plus difficile

-Ne t'inquiète pas pour ça, si il le faut, je vous aiderez.

Quand nous parlons de ce projet à Aurélie, elle saute litteralement de joie. Le temps de publier les bans et  de tout preparer, quatre mois plus tard je suis marié.

Notre nuit de noce a frolé la catastrophe.: impossible de bander!

Ma femme fait ce qu'elle peut pour m'exciter mais rien à faire je reste mou. de rage, Aurélie se jette sur moi et me fesse violement. un début d'erection lui montre le chemin à suivre. Mais des qu'elle s'arrete de me battre et ouvre ses cuisses, je retombe. Cette nuit je n'arrive à la faire jouir que par l'habilité de ma langue et de mes doigts.

 

Quand je me reveille, le lendemain, j'entend ma femme discuter au telephone. C'est son frère qui est au bout du fil.

 

- si tu crois que c'est la seule solution, viens vite je n'en peux plus.

-............

- oui, je le veux.

 

- qu'as tu demandé à Jean?

-qu'il vienne te faire bander puisque que tu n'y arrive que si tu es enculé!

- c'est son idée?

-oui et si ça fonctionne comme celà, nous ferons notre ménage à trois.

-d'accord pour moi.

 

On frappe à la porte. Ma femme est toute nue mais n'en à cure, elle ouvre. heursuement c'est bien son frere qui entre chez nous. Il embrasse sa soeur sur la joue en lui passant une main sur le cul puis vient vers moi et m'embrasse à pleine bouche. Il tient en main un petit pacquet cadeau. Nous nous assayons autour de la table et je sers le café. tout en sirotant , nous discutons de choses et d'autres. Seul jean est habillé. Assis aux cotés de sa soeur, ses mains s'égare sur la poitrine et entre les cuisses. j'éprouve un peu de jalousie, pas parceque ma femme se fait pelotter par un autre homme, mais parceque cet homme ne me touche pas, moi.

Finalement, Aurélie et moi, nous jettons sur mon ami et lui arrachons plus que nous les retirons, ses vètements. Une fois nu comme nous, je m'agenouille devant lui et avale son vit déjà tendu.

 

- Ne l'épuise pas, il a un travail à accomplir

 

elle a raison. même si j'aime boire le sperme de son frère, c'est une autre tâche qui attend cette belle queue et sans plus attendre nous nous installons sur le lit. Sans autre préhambule, jean me plante son sexe entre les fesses. Immédiatement, le mien se dresse et, enfin, je peux honorer ma femme.

 

Se doutant que cela arriverait plus ou moins vite, c'est un très grand lit que maman nous a offert, et tout le long des 5 ans de mon mariage, nous y avons dormi et baisé à trois parfois même plus.

 

Le traitement est efficace, trois à quatre fois par jour, je me vide dans le vagin nuptial, et, six mois plus tard, le ventre d'Aurélie commence à s'arrondir. papa va être heureux, sa descendance est en bonne voie.

D'un commun accord, Jean ne jouit jamais dans le minou de sa soeur. Nous sommes certains ainsi que l'enfant sera bien de moi.

Par fesseessurprises
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