maman

Dimanche 20 mai 7 20 /05 /Mai 06:07

DSC03469Un an après la naissance de ma fille, papa nous a quitté. Il s'est eteint dans son sommeil.  Il n'a pas souffert. Mon appartement est trop petit pour accueillir maman et, comme sa maison est devenue bien trop grande, c'est nous qui nous installons chez elle.

Aurelie se sert chaque jour du gode ce qui me permet de lui rendre homage sans avoir à faire appel à son frère. Maman sait comment se passe nos nuits, elle ne dit rien. Petit à petit elle reprend du poil de la bete et aussi ses vieilles habitudes d'exhibition. Il n'est pas rare qu'elle sorte nue de la salle de bain et nous finissons par passer nos soirées d'été à poils tout les trois. la petite ne peut pas encore se rendre compte de l'insolite de la situation.

 

Le jour du premier anniversaire du décès de papa, maman est dans un sale état. Elle pleure toute la journée. Aurélie est dans le sud pour quelques jours, Andrée a besoin d'elle et mon travail ne m'a pas permis de l'accompagner. je décide d'emener maman au cinéma pour tanter de lui changer les idées.

 

C'est la première fois que je reviens dans cette salle où j'ai eu mes premiers contacts masculins. Je guide maman vers la dernière rangée et je m'assieds dans le même fauteuil. IL y a peu de monde, pourtant un homme vient s'installer à coté de ma mère. Je me penche au dessus d'elle pour signaler à cet importun qu'il y a assez de places libres pour qu'il n'ait pas à se coller à nous. c'est un individu dans la quarentaine, chauve et bedonnant. En réponse à ma remarque, il se met à ricaner

 

- tu faisais moins de manière la première fois que je me suis assis à tes cotés ici même

-De quoi voulez vous parler? il y a des années que je ne suis plus venu dans ce cinéma!

-moi non plus je n'y suis plus venu, mais j'ai encore fréquenté la ruelle qui passait derrière l'immeuble bien avant que la municipalité de fasse raser les maisons pour agrandir le parc.

-L'endroit était glauque, il s'y passaient des choses les soirs d'été!

-Nous savons bien toi et moi de quelles choses tu veux parler. mais ta maman, elle, le sait elle?

 

Je le reconnais enfin. Vieilli, marqué par les dix années de plus, mais c'est lui: Marc!

 

-Ah enfin tu me reconnais! ce n'est pas comme toi , Claudine ou est-ce que tu es génée de retrouver ton ancin amant en compagnie de ton fils?

-Maman! tu as couché avec lui????

 

Marc eclate de rire , heureusement les lumieres s'eteignent à ce moment et les quelques spectateurs que le rire de marc a fait se retourner ne peuvent voir la honte sur la figure de maman.

Comme bien souvent dans ce petit cinema de quartier, le film est un navet. je. n'ai preté aucune attention au titre avant d'entrer.

J'ai juste oublié que le vendredi soir la derniere séance est reservee aux adultes.Sur l'écran, une fille au cul flasque tente d'exciter un mec qui ne bande même pas. Après une demi heure de pipe de baise et de caresses lesbiennes, nous décidons de sortir. Marc nous suit.

 

Je ne suis pas remis du choc. Maman couchait avec celui qui m'a forcé la rondelle! Tout à mes pensées je n'ai pas remarqué que Marc nous a entrainés au travers du parc. Je ne m'en appercois que lorsque nous passons de la nouvelle partie à l'ancienne. Cette dernière est moins entretenue, un lampadaire sur deux est eteint.A un croisement, mon ancien amant nous guide fermement dans un santier encore plus sombre que le reste. Nous débouchons sur une sorte de rotonde entourée de banc en bois. Un couple y est déjà installé. L'homme a le pantalon sur les chevilles et sa compagne, la jupe retournée sur le dos, sans culotte, lui leche avec gourmandise un sexe de belle taille.

 

-c'est quand même mieux en "live" que ce que nous avions dans le cinema non?

-nous ne derions pas les déranger

-penses-tu! ceux qui viennent baiser ici la nuit le font dans l'espoir d'etre vus!

 

Nous nous assayons sur un banc en face du couple, Marc entre maman et moi. Sans quitter le couple des yeux, nous nous racontons un résumé de notre vie depuis notre dernier rendez vous. je reste discret sur mes relations avec maman, mais, prise dans le feu de l'histoire et, probablement excitée par le couple ma mère fini par reconnaitre qu elle est aussi ma maitresse depuis des années. De son coté, notre compagnon n'a pas grand chose à nous dire: pris sur le fait lors d'un vol et étant multi récidiviste, il a purgé une peine de prison. Il n'est sorti qu'il y a un mois et ce n'est que ce matin qu'il est revenu s'installer dans la maison de ses parents décédés durant son incarcération. Nous sommes donc de nouveau voisins et cette fois plus besoin de se cacher ou de s'ignorer quand nous nous rencontrerons dans la rue.

Tout en parlant et en nous écoutant, Marc n'a pas laissé ses mains inactives: une pétrit un sein qu'il a sorti de la robe, l'autre a ouvert mon pantalon et carresse mon sexe.

 

-J'ai appris pour ton mari! ses fessees doivent te manquer?

-Il n'y avait déjà pas que lui qui s'occupait d me rougir le derrière mais bien sur elles me manquent.

- tiens donc! et qui d'autre te tannait le cul?

-lui!

- je m'en doutais figure toi. et à quand remonte la dernière?

-il doit y avoir deux ou trois semaines je pense

-c'est trop long, michel, ta mere aime trop ca pour l'en priver si longtemps.

 

Marc lache mon sexe pour s'occuper de la robe de maman. Il baisse la tirette dans son dos et fait descendre le bustier. Il ne marque pas la moindre surprise de trouver maman nue sous sa robe: ni soutien ni culotte ne cachent quoi que ce soit une fois ma mere debout son unique vetement à ses pieds. En face, le couple s'est arreté de se carresser pour nous regarder. il fait sombre mais les 3 ou 4 metres qui nous séparent et le ciel dégagé, leur permet de bien voir.

 

Marc pousse maman face au banc. elle s'y appuie en lui tendant son gros cul. La ceinture de mon ancien amant ne met que quelque seconde a quitter le pantalon qui descend un peu. Enroulant une extreité autour de sa main, il commence sans préambule a cingler le gros cul exposé. Très vite, maman commence à gémir. je la connais assez maintenant pour savoir que ce n'est pas de douleur. une à une, de larges lignes rouges apparaissent en travers des fesses. Les gemisements de maman s'emplifient. je jette un coup d'oeil vers l'autre couple pour constater qu'ils se sont approchés. Ils sont nus tout les deux. J me glisse entre Marc et maman, m'agenouille au pied de mon initiater et n'ai besoin que d'un instant pour lui baisser completement le pantalon. Son sexe que je me rapelle immense, me jait à la figure. Je m'en empare et le glisse dans ma bouche. Il était temps! à peine quelques va et vient des levres et un peu de sperme frappe ma langue. Ses ejaculations sont toujours aussi courtes, mais je me régale.

Au moment de jouir, marc s'est arreté de fesser maman. L'autre couple est maintenant juste à coté de nous.

 

-A toi maintenant, il y a trop longtemps que j'ai envie de ton cul! dommage que tu sois devenu si mince, j'aimais bien tes grosses fesses mais ca me changera de défoncer un petit cul nerveux!

 

Sous ses instructions, je me mets nu à mon tour et m'agenouille sur le banc. Je tends les fesses et les écarte des deux mains. Je ne dois pas attendre, directement je sens la queue me chatouiller l'anus. Comme pour la fessée, marc ne perd pas de temps, il pousse son zob au fond de moi. Tournant la tête, je vois que l'inconnu fait la même chose, dans la même position au cul de maman. Sa compagne, cuisses largement écartée, se frotte le minou en nous regardant.

 

 

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : maman - Communauté : fessées publiques
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Vendredi 24 février 5 24 /02 /Fév 06:47

Le lendemain, comme chaque mercredi après midi j'étais à la maison avec ma soeur.Maman travaillait jusqu'a 18 heures et c'etait papa qui restait avec nous. Vers 14 heures, suite à un appel telephonnique, il du retourner à son bureau. Sur le pas de la porte il nous fit , bien sur, ses recommandations: être sages, ne pas ouvrir à des inconnus, faire nos devoirs etc....

Il n'était pas au bour de la rue que j'étais déjà dans ma chambre, allongé sur mon lit une revue en principe interdite aux moins de 18 ans dans les mains.5 minutes après, la braguette de mon pantalon ouverte, je me carressais dans mon slip quand Christine, ma soeur, passa la tête par la porte qu'elle avait entrebaillée.

- tu fais quoi?

-...................

-ah oui, je vois.! Tu as pu dormir cette nuit?

- pas beaucoup et toi?

-moi non plus, les parents n'ont pas été tres discrets.

- papa l'a encore fessée?

- non, c'est d'une autre façon qu'il s'est occupé de son cul

-que veux tu dire?

La chambre de ma soeur est voisine de celle de nos parents, alors que la mienne se touve à l'autre extremité. Je savais que ma soeur écoutait souvent, l'oreille collée au mur, les ébats des parents.

- ben oui, il a du être pas mal excité après lui avoir arraché la peau du cul comme il l'a fait cette nuit.

-Tu as pu savoir quelle betise maman avait faite?

- non je ne sais pas et je ne pense pas qu'elle me le dise jamais.

Elle s'était assise sur mon lit, et j'avais refermé ma revue et retiré ma main de mon slip.

- si l'un ou l'autre des parents te prend avec ça, ton cul sera vite dans le même état que celui de maman!

-tu ne vas quand même pas le leur dire?

- ce serait mon devoir de grande soeur

-est ce mon devoir de frère de raconter à papa que tu laisse ton copain mettre sa main dans ta culotte?

-comment sais tu celà?

-je vous ai vus la semaine dernière derrière le cinéma, dans la ruelle.

-j'ai 16 ans, et un flirt,même un peu poussé, c'est normal pas comme toi de regarder des revues de femmes à poils à 14 ans!

-..........

-en plus tu etais occupé à te....

à quoi?

-tu le sais bien j'ai vu ta main dans ton slip. tu meriterais une bonne fessée aussi et

 je suis certaine que papa t'en donnerait une aussi si il savait malgré tes 14 ans.

 

j 'entendais bien au son de sa voix qu'elle ne voulait pas vraiment me faire fesser. Si elle avait voulu me cafarder, elle ne m'en aurait pas parlé avant.j'essayais un peu maladroitement de refermer ma braguette, mais Christine saisit mon poignet et m'en empecha.

-ne te fatigue pas a refermer ton pantalon, tu mérites une fessée mais ça ne doit pas obligatoirement être papa ou maman qui te la donne.

- ce ne sera pas toi non plus, tu n'oserais pas !

-cà, c'est ce que tu crois, tu veux parier ?

-sur le pantalon alors, pour rire. Comme quand j'étais petit

- tu as bien vu cette nuit que même adulte, la fessée se reçoit sur les fesses nues!

-papa et maman sont mariés, toi tu es ma soeur et j'ai 14 ans. Je ne suis plus en age de te laisser regarder mon derrière tout nu.

-oh mais oui que je vais le voir et pas que ton derrière, tu oublies que cette nuit tu as bien arrosé ton pyjama et que dans l'etat où il était il ne cachait plus grand chose de ton "devant"

 

Je ne savais que répondre à celà, l'envie d'être déculotté par Christine s'insinuait en moi, mais je ne savais pas trop comment parvenir à ce qu'elle le fasse.Jusque là je pensait qu'elle voulait juste me taquiner , qu'elle n'irait pas plus loin.

-alors cette fessée,  je te la donne ou je dis ce qu'il faut à papa pour que ce soit lui qui s'occupe de ton gros cul?

 

Présenté comme celà, je n'avais plus le choix et ça m'arrangeait bien que ce soit Christine qui prenne l'initiative. J'étais horriblement timide avec les filles. Je n'avais jamais eu de flirt, à peine si une ou deux gamines de ma classe pouvaient se vanter d'avoir eu un bisous de moi sur la joue. Rien que l'idée de baisser mon pantalon devant ma soeur provoqua une transformation dans mon slip. C'était bien agréable. Il faut dire que depuis ce matin, je ne pensais qu'au cul de maman que j'avais vu si longteps la veille.

- tu te decides?

- d'accord mais pas trop fort alors

- je n'ai pas de martinet sous la main tu n'as rien a craindre à ce sujet. lève toi et baisse ton pantalon.

Je fis le tour de mon lit et, lui tournant le dos, je défit ma ceinture et commençai à baisser mon pantalon juste sous les fesses.

- voilà je suis pret. tu peux me tapper le cul

-non, pas comme cà, retire ton pantalon completement

-mais....

-pas de mais fais ce que je te dis.

Je lachai mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. du coté face, mon slip était de plus en plus déformé.

-viens te couche sur mes genoux, c'est comme celà qu'un petit garçon recoit la fessée!

Aië! si je fais celà, elle ne pourra pas manquer de sentir mon érection. elle ne voudra surement plus continuer.

- tu crois que je n'ai pas vu que tu bandais? c'est aussi visible que ton nez au milieu de ta figure. cesse de tergiverser et viens te mettre en position.

Rassuré sur son envie d'aller jusqu'au bout de la fessée, je m'installai comme elle le voulait.

A peine étais je sur ses genoux qu'une premiere claque tomba sur mon slip.Je fus surpris que celà ne me fasse pas plus mal. quelques secondes plus tard une série de claques alternée fesse gauche, fesse droite me détrompa sur la douleur que je pensais ne pas ressentir.

-soulève toi un peu m'ordonne Christine d'une voix de fausse colère

-pourquoi? je te fais mal?

-non, mais fesser un slip ce n'est pas gai, je veux m'occuper de ton cul tout nu.

Enfin , elle était arrivée où j'espérait qu'elle arrive, je soulevai mes fesses et les doigs de ma soeur s'insinuèrent sous l'élastique de mon slip pour faire rouler celui-ci jusque sous mes fesses. Je pensais que le déculotage était terminé mais je fus vite agréablement détrompé. Le slip continua son chemin le long de mes cuisses puis de mes mollets jusqu'a mes chevilles

-laisse le tomber sur le sol, je ne veux pas que tes jambes soient entravées.

Il faisait assez chaud ce jour là et pour être à l'aise dans ma chambre j'avais oté mon tshirt. J'étais donc entièrement nu sur les genoux de ma soeur. Le cul tendu pour la fessée.

 

Par fesseessurprises - Publié dans : maman
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 06:16

bien sur à 14 ans je savais ce quétait une fessée, marmot turbulent j'en avais reçu ma part.Ignorant et naîf je ne pensais pas qu'un adulte pouvait en subir ausssi.

Lorsque un soir ma soeur vint me chercher dans ma chambre en m'imposant le silence absolu, je n'imaginais pas que les minutes suivantes allaient influencer le reste de ma vie.

Les chambres donnaient sur une mezzanine surplombant le salon, et en bas, une vive discution opposait mes parents.

Ma soeur me fit signe de m'allonger à plat ventre sur le parquet pour voir sans etre vus. Le sermon que papa passait à maman tirait à sa fin et je n'ai jamais su la raison de cette dispute. Quand j'arrivai a portée d'oreille et de vue, maman était tête basse , des larmes pleins les yeux.

- je te promets , chéri, ue celà ne se reproduira plus jamais

- j'en suis certain, tes fesses se chargeront de te le rappeler si tu oses encore seulement y penser

- tu ne vas quand même pas me.......

- bien sur que si, tu le mérite mille fois

-mais.... les enfants?

-ils dorment et il ne tient qu'à toi de ne pas crier

- attends demain matin quand ils seront à l'école

-cesse de discuter. Prépare toi c'est maintenant que tu vas la recevoir

 

Je n'osais imaginer la suite, jusqu'à ce que je vois maman se retourner et dégraffer sa jupe qui tomba sur le sol. J'avais déjà vu maman en culotte, les hormones travaillent à 14 ans et les trous de serrure de salles de bain servent à celà aussi. ce que je ne connaissais pas encore c'était la descente hésitante de la dite culotte. Maman avait un derrière plutot volumineux qui, devant nos yeux d'ados, se dévoilait petit à petit. Elle nous tournait le dos,  et quand, après un temps qui me parut interminable, sa culotte eut rejoint sa jupe; elle se pencha sur la table basse du salon. Ce nétait pas le premier cul que je voyais nu, mais ceux que je connaissais appartenaient à des gosses ou avaient été vus dans des revues spécialisées qu'un garcon de 14 ans pouvait regarder en cachette dans les années 1970.

Ce fessier large, blanc, tremblant à chaque mouvement m'hypnotisait.

Papa revient se placer à coté de maman, il avait en main le martinet qui m'avait fait crié plus d'une fois quelques années avant. Je ne pensais pas qu'il puisse encore se trouver dans la maison. Allongée à coté de moi, ma soeur me pris la main et la serra.

-tu vas voir, papa va lui rougir le cul

- non ce n'est pas possible, il veut juste lui faire peur

-chuuuut attends, on verra bien

Ma soeur avait raison, nous vîmes!

la pemière cinglade prit maman par surprise, elle se cambra et etouffa difficilement un cri. Sur ses fesses, 7 lignes rouge apparaissaient lentement. Papa prenait son temps, il attendait entre chaque coup que maman ait repris la position, qu'elle tende son cul au prochain contact des lanières.

Petit à petit, les lignes rouge couvrirent tout le fessier, du haut des cuisses au bas du dos. papa était précis, il visait posément frappait et attendait que le cul offert ait repris sa place. Maman gémissait de plus en plus fort mais il n'en avait rien à faire.

Sur la mezzanine, la main de ma soeur serrait la mienne à m'en faire mal. A chaque coup le sentais ses ongles s'enfoncer dans ma paume. Dans mon pyjama aussi il y avait une transformation, au fur et à mesure que le cul maternel rougissait, je grossissais.

Papa avait promis 50 coups à maman et ma soeur les comptait à voix basse à mon oreille. Quand le dernier coup tombat, je ne pu retenir mon excitation et je trempai copieusement mon pyjama.

En bas, maman s'etait affalée sur les genoux, elle se frottait les fesses des deux mains en pleurant.

-tu peux te relever. N'oublie pas cette correction, si tu recommences, je doublerai le tarif. Est-ce clair?

-je te jure que je ne le ferai plus

-vas te coucher j'arrive dans un instant.

Nous eûmes juste le temps d'appercevoir le coté face d'une maman en larmes avant de battre precipitament en retraite vers nos chambres.

 

 

Par fesseessurprises - Publié dans : maman
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