inceste

Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 16:16

Chapitre un : une bonne nouvelle et la préparation au départ  

 

 

 

 

Comme chaque année, le premier vendredi de juillet, Pierre V. rassemble les cadres de son entreprise pour un bilan avant 5 semaines de congés.

 

Isabelle, un blonde plantureuse, arrive a l'étage de la direction en même temps que son amie d'enfance: Mireille, une rousse plutot androgine , secretaire du patron et, nul ne l'ignore, accessoirement sa maitresse.

 

-Mireille ma chérie, tu es radieuse! Ce sont les vacances qui te font cet effet?

 

-Non Isa mais je ne peux rien dire tu sauras tout dans une heure

 

Un baiser sur la joue, a la limite des levres met un terme à la conversation. Les collègues et le patron étant déjà dans la salle de réunion.

 

Cette année l'athmosphère est plus détendue, Isabelle a obtenu un contrat interressant pour la société et l'avenir immédiat s'annonce serein.

 

Mes amis, commence Pierre après voir obtenu le silence, J'ai trois choses à vous dire avant de prendre un verre de champagne: primo, le contrat qu'Isabelle a décroché nous met a l'aise pour au moins 3 à 4 ans

 

applaudissements des collègues.

 

secundo ce meme contrat vous vaudra a tous une prime supplémentaire de 1000€

 

applaudissemetst plus nourris

 

et enfin je vous anonce que Mireille et moi convoleronsle w e prochain en juste noces.

 

Ovations de l'assemblée sous les explosions bien orchestrées des bouchons de champage.

 

Près quelques verres Mireille s'apporche de son amie et lui glisse a l'oreille:

 

Nous partons nous marier aux Seychelles je n'aurai donc pas besoin de la villa héritée de mes parents a Saint Raphaêl. Tiens prends les clés vas y avec tes enfants la place est libre jusqu'en septembre.

 

De retour chez elle, Isabelle anonce la bonne nouelle à Claire sa fille de 16 ans et à son fils Alan venu 3 ans plus tard.

 

Nous allons allez ensemble faire quelques achats puis nous prearerons nos valises : départ demain a l'aube

 

Quels achats maman? on va acheté des fringues? Demande Claire , les yeux brillants d'excitation

 

Oui ma puce des vetements de jour et de plage il y a longtemps que tu m'en demande mais je n'avais pas les moyens jusqu'ici.

 

Maman, je suis obligé d'aller avec vous? moi les fringues de filles j'en ai rien a .....

 

Ta soeur est assez grande pour se débrouiller et toi qui est l'homme de la maison tu m'aideras à choisir pour moi d'accord mon grand?

 

La petite famille se rend donc au centre commercial , Claire recoit une somme généreuse pour ses achats et Isabelle pars de son coté , accompagnée d'Alan trînant un pe les pieds.

 

Alors tu vas te choisir un slip de bain un short et quelques t shirt pour commencer d'accord?

 

bah si on allait sur une plage nudiste je n'ayrais pas besoin de tout ca...et toi non plus hihi

 

Oh petit coquin tu es bien le petit-fils de ton papy toi!

 

Pourquoi maman papy il allait en vacances chez les tout nu ?

 

Tais toi si ta soeur t'entendait, elle si prude, elle serait horrifiée

 

Mais tu dis pas que ce n'est pas vrai donc c'est que papy le faisait. Tu allais avec eux aussi?

 

Pourquoi cel ate choque?

 

Non maman mais j'aurais bien voulu voir mamy à poils hi hi

 

Parleconvenablement on ne dit pas à poils on dit nu et ta mamy n'est pas mal du toutmême toute nue*

 

Et toi aussi maman?

 

Ca ne te regarde pas. Le magazin est ici on va aller te chercher ce dont tu as besoin et...Alan...

 

Oui maman?

 

Inutile de repeter notre conversation a ta soeur

 

Apres une demi heure d'hésitation et d'essayage, le gamin avait de quoi passer les vacances habillé de neuf.

J'ai aussi besoin d'une robe de plage et d'un nouveau bikini tu vas aller boire un soda  pendant que je fais ces achats d'accord?

 

Pourquoi maman, je peux aller avec toi tu as dit toi même que j'étais l'homme et que je devais choisir!

 

Si tu te conduis bien d'accord mais ne recommence pas à vouloir voir sous les robes que j'essaye

 

Promis, je serai sage maman mais c'est pas ma faute si tu ne ferme pas le rideau de la cabine quand tu essaye un robe "ras des fesses"

 

Tais toi tout lemonde pourrait t'entendre et on pourrait mal interpreter tes paroles

 

Sans plus discuter, la maman et son fils entrent dans une boutique spécialisée dans les grandes tailles.   Une vendeuse maigrichonne s'approche aussitôt et propose ses services

 

Bonjour madame bonjour jeune homme, vous rechercher quel genre de vetements madame car je suppose que c'est pour vous ce n'est pas ce b-eau garcon qui va mettre une robe hi hi

 

 Oui bien sur, en taille 48-50 s'il vous plait. une ou deux robes de plage et un bikini

95c pour le haut

 

Ce sera pour des vacances en famille ou.......sans enfants? cette derniere remarque chuchottee au creu de l'oreille d'une Isabelle profondément choquée

 

Cela, ce ne sont pas vos affaires mademoiselle

 

Reamarquant le debut de prise de tête entre une cliente et la vendeuse, la gérente de la boutique arrive aussi vite que ses 80kg lui permettent

 

Cela ira bien  Solange je vai m'occuper de madame.

 

Mais! vous ne seriez pas Isabelle Duchant?  

 

O..Oui nous nous connaissons?

 

Vous ne devez pas vous rappeler vos parents et les miens prenaient toujours leurs vacances presqu'ensembles, dans le centre naturiste des Landes. Il y avait aussi une autre famille avec une fille de votre age Mireille je crois c'est bien cela? Dire que c'est peut être la premiere fois que je vous vois habillée. Vous êtes  plus jeunes que moi mais vous, en tout cas vous n'avez pas changé. Enfin de visage parceque la derniere fois que je vous ai vue vous n'aviez que

 12 ou 13 ans et ....hi hi,,, il y a eu developement. Oups je n'aurais peut etre pas du parler de cela devant ce jeune homme qui est votre fils je suppose

 

Ce n'est pas grave je viens juste de lui parler du naturisme de ses grands parents

 

Alors que cherchez vous? ou cherches tu si tu permet que je te tutoye comme avant

 

Oui bien sur je me souviens un peu mais en effet j'etais gamine. Mireille aussi a changé mais moins que moi.
Je voudrais une ou deux robes de plage et un bikini taille 48-50 et 95c

 

Ah donc plus de naturisme pour vous! ton mari est du genre prude?

 

Mon mari est parti avec une gamine a peine majeure avant la naissance de mon fils. Et ce n'est pas une grande perte j'ai une fille de 16 ans et je ne sais ce qui aurait pu arriver s'il avait encore été avec nous.

 

Tu connais le refrain: les hommes sont tous des cochons!

 

Dis maman pourquoi la dame dis qu'on est des cochons? demande Alan rouge comme une pivoine d'avoir entendu toutes les confidences intimes concernant la tenue de ses grands-parents et de sa mère des années avant sa naissance

 

Ne t'inquietes pas mon poussin tu n'es pas encore vraiment un homme alors cela ne s'applique pas à toi. bien que..., parfois...

 

C'est bien ce qu eje disais tous des cochons mais reconnais que ce n'est pas trop dérangeant. Tu n'étais pas une petite oie blanche a 12 ans tu savais très bien où étais la différence entre ton papa et ta maman

 

Arrete tu vas donner de fausses idées a Alan. Je ne voudrais pas te presser mais j'ai donné rendez vous à ma fille et il ne faut plus que je traine trop

 

Viens j'ai quelques modèles qui vont surement te plaire si tu n'as pas trop changé de mentalité. Voilà essaye cette petite robe , je sais qu'elle est ultra courte mais tu m'as dit pour la plage donc peu importe que l'ont puisse voir le bas de ton bikini

 

Ouf oui c'est vraimant tres court !!

 

Oh maman essaye là elle est tès jolie elle t'ira surement bien

 

Tu vois ton fils a déjà bon gout je te laisse passer en cabine tu me diras si le 48 te va

 

Alan tu es sage pendant que je suis en cabine d'accord?

 

Mine de rien le gamin suis sa maman des yeux et dès qu'elle a tiré le rideau il s'approche  un léger espace est resté entre la cloison et le rideau de là il peu voir sa maman se deshabiller. Il a un hocquet de surprise quand il voit que sa maman qu'il pensait si prude n'a sous sa robe qu'un petit string enfoncé entre ses grosses fesses et pas le moindre soutien gorge.

 

La gérente ayant remarqué le manège du gamin s'approche silencieusement et lui chuchotte:

 

Tu veux en voir plus?

 

Sans osé ouvrir la bouche c'est d'un signe de tête qu'il répond oui. Et, en ouvrant largement le rideau, la coquine demande a Isabelle si la taille lui convient.
Sans penser que son fils peut etre juste derriere elle, la jeune femme se retourne pour repondre devoilant ainsi ses imposantes mamelles aux yeux émerveillés du gamin qui n'en demandait pas tant

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Samedi 5 juillet 6 05 /07 /Juil 06:24

Lentement, la peur au ventre de me faire repousser, je longeai le ventre de papa, de son nombril au bord du drap. Je le sentis se crisper lorsque mes doigts passèrent sous le tissu. Sa main quitta ma tete et vint repousser le dernier obstacle.

C'était beau, tout droit, le chapeau violet comme j'avais pu l'appercevoir plus tot dans la journée. Timidement j'effleurai la colone de chair qui m'avait tant intriguée. Papa ne bougeait pas et je m'enhardis dans mon exploration. Ma petite main pouvait juste entourer le zizi dressé. Je ne savais pas ce qu'il fallait faire dans cette situation, aussi me suis-je décidée à imiter le mouvement de va-et-vient que ma curiosité matinale m'avait dévoilée ce matin là. La main de papa  vint  se poser sur ma mienne et me guida. Je sentis dans mon ventre la contraction que je me procurais généralement quand je jouais avec mon minou. J'en  voulais plus, voir de plus près encore, sentir l'odeur de ce nouveau jouet qui allait, j'en étais certaine, renvoyer mes poupées au fond du grenier. Sans interrompre le contact, je desendis la tète de la poitrine au ventre de papa, mettant par ce mouvement mon petit derrière à la portée de l'autre main de l'homme de ma vie. J'eu un frisson lorsque les doigts froissèrent ma robe de nuit et vinrent carresser mes fesses. Instinctivement, je poussai celles-ci pour accentuer le contact. je sentis les doigts de papa englober une après l'autre les deux hémisphères qui formaient mon petit cul. D'un seul coup, papa accéléra le mouvement de ma main sur sa colone, il eut un soubressaut et je vis de longs jets blanchâtres jaïr du chapeau violet vers le plafond pour retomber lourdement à quelques milimètre de ma tête.

 

-papa! tu as fait pipi?

-non, ma chérie ce n'est pas du pipi, c'est du sperme

-qu'est ce que c'est?

-c'est ce qui sort d'un zizi quand une gentille fille donne beaucoup de plaisir a son papa

-les filles ont aussi du sperme qui sort de leur minou?

-ce n'est pas du sperme mais il y a ausi du liquide qui sort du minou des filles quand elles ont du plaisir, tu veux que papa te montre?

-oh oui!

 

Doucement, sans la moindre brusquerie, papa fit passer ma robe de nuit par dessus ma tète. Il me coucha sur le dos et, appuyé sur son coude, se pencha sur ma poitrine. Je n'avais pas encore de sein. Seul mes tetons commencaient timidement à grossir et mes aréoles à s'élargir.  Du bout des lèvres, papa commença a me taquiner un téton puis l'autre.

Sa main libre m'écarta les cuisses et vint se poser sur le bas de mon ventre. Un doigt fureteur s'insinua le long de ma fente et se mit à carresser mon bouton déjà dur.

 

-tu aimes que papa te carresse là?

-oh oui, papa c'est bon, ca me donne des frissons partout

 

Ma respiration s'accelerait de plus en plus et je sentais venir la contraction délicieuse que je provoquais souvent, mais cette nuit là, en mille fois plus fort. J'ai crié quand la jouissance me submergea. Je n'avais jamais ressenti mon minou ainsi. je m'étais cambrée sous l'effet du plaisir, mon petit cul ne touchant plus le lit, mon minou poussé vers le doigts qui lui apportait tant de bonheur.

Quand je retombai sur le matelas, papa présenta son doigt devant mon visage pour me montrer qu'il était mouillé.

 

-tu vois ça c'est le sperme des petites filles. Et c'est un nectar!

 

En prononçant ces mots, papa porta son doigt à sa bouche et le lècha avec, visiblement beaucoup de plaisir.

 

-et ton sperme aussi je peux le gouter?

-bien sur si tu en as envie

 

Le ventre de papa était toujours maculé de son liquide laiteux et je pus en recueillir un peu avec mes doigts. Je commençai par en sentir l'odeur puis passai ma langue pour gouter. La situation, la nudité de papa mais aussi son odeur et le gout de son sperme me rendirent folle; papa s'étant remis sur le dos, je me jettai sauvagement sur son ventre pour recolter de mes levres jusqu'à la dernière parcelle de ce nouveau breuvage dont je me doutais déjà que je ne pourrais plus me passer.  Du ventre, je descendis sur le zizi et de là au sac tout poisseux et nettoyai consciencieusement mes nouveaux jouets. Dès mes premiers coups de langues, le sexe de papa se releva et durcit.

J'étais étalée sur la poitrine paternelle, bécotant le chapeau violet quand je sentis les mains si douces m'écarter les cuisses pour livrer le passage à la bouche de mon chéri. Quand ses lèvres touchèrent mon minou, je hurlai de jouissance.

 

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Vendredi 4 juillet 5 04 /07 /Juil 07:04

Cette nuit là, ce ne fut plus une main posee sur le cul de papa que je m'endormis mais bien les lèvres contre son sexe encore poisseux de sperme.

 

vers 4 heures je fus réveillée par une douleur épouvantable qui me déchirat le ventre. Je pus à peine trouver la force de secouer le zizi de papa que je tenais toujours pour arracher mon géniteur à son sommeil.

 

-papa j'ai mal

-où ma cherie?

-mon ventre, j'ai comme une barre qui me transperce

-montre moi

 

papa me palpa le ventre  délicatement, mais même la douceur de ses mains ne put désèrer l'étau qui me broyait le entrailles. Je sentis d'un coup que mon minou coulait alors que je ne devais pas faire pipi et que j'étais à des lieues de jouir. Papa aussi le remarqua et me sourit.

 

-Ce n'est rien ma cherie, tu viens juste de devenir une jeune-fille!

-comment ça?

-tu es règlée tout simplement. tout les mois tu perdras un peu de sang pendant quelques jours. je vais aller chez le pharmacien te chercher quelquechose qui te soulagera

 

Au matin, papa entra dans ma chambre, une boite de medicament en main. Il m'expliqua que la meilleur chose pour calmer ma douleur c'était des suppositoires de perdolan. J'avais toujours eu horreur de de ces petits projectiles que maman me rentrait dans le derriere, je me sentais humiliée quand elle m'obligeait  à lui présenter mon petit cul, mais cette fois ce serait papa qui allait s'en occuper et ça ne me dérangeait plus du tout. Suivant les indications de papa, je me mis a genoux sur le lit, la tète posée sur mes mains. Papa écarta délicatement mes fesses pour bien dégager la cible, puis, doucement, introduisit le suppo dans mon anus. Il était très doux, quand le bout de son doigt atteingit ma rondelle, je poussai instinctivement le cul vers lui pour le sentir plus. il ne se retira pas immédiatement, au contraire, il carressa un peu ce centre si intime me procurant, malgré la douleur de mon ventre, un long frisson de plaisir.

 

-encore, papa s'il te plait, je sens que ca va déjà mieux rien qu'avec ton doigt.

-tu es certaine que je ne te fais pas mal?

-oh non, papa c'est tellement bon que j'en oublie la douleur!

-toi, tu as hérité quelque chose de ta grand-mère paternelle!

-quoi papa chéri?

-tu est une des rares femmes qui jouissent autant du cul que du minou. Mais nous en reparlerons quand tu iras mieux.

 

A midi, papa entra doucement dans la chambre, un plateau repas dans les mains. A coté de l'assiette trônait la boite de suppo. 

Pendant que j'avalais la salade, papa continua mon éducation sexuelle en etoffant mon vocabulaire. j'appris les mots tels que: bite, couilles, jus, chatte, con, clitoris; mais aussi trous du cul, nichons etc....

En bon péagogue, il me montrait au fur et à mesure à quoi correspondaient tout ces mots qui jusqu'ici m'étaient inconnus ou pour le moins défendus. A la fin de la leçon, il me demanda de me retourner et de lui présenter mon trou de cul pour enfiler le suppositoire de calmant. je lui obéis en le priant de bien vouloir m'enculer avec la mini bite que le pharmacien lui avait fournie. Papa était ravi de constater que j'avais compris la leçon. Restée calme jusque là, sa queue se releva d'un coup quand je lui demandai de bien entrer le doigt en même temps que le suppo dans mon cul, afin me préparer petit à petit à etre enculée par sa grosse bite; et surtout que je lui avouai ma curiosité. A quoi il me répondit en me révélant qu'il avait très bien ompris que j'étais collée a la serrure de sa chambre at que donc il savait que je l'avais vu se branler.

 

Deux jours plus tard, le saignement se termina, malheureusement papa devait se rendre a une réunion et ensuite au tribunal de famille pour faire acter l'abandon de foyer de ma mere. Restée seule dans ctte chambre qui était devenue la mienne, je m'ennuyais ferme. Je voulu faire passer le temps en rengeant un peu, mettre de coté les quelques effets que ma mère avait laissé pour avoir de la place pour mes propres vetements même si je n'avais pa vraiment l'intention de m'habiller beaucoup. Au fond d'un tiroir, je découvris une boite contenant des films vidéo. Toujour aussi curieuse je transportai ma trouvaille dans le salon pour y regarder ces films que je devinais du genre interdits aux moins de 18 ans.

 

Les premières images étaient de simple film X interressant néanmoins pour une gamine qui n'avait encore vu qu'une seule bite dans sa vie. Le 4 ème film était tout différent. Les acteurs en étaient mes parents, à poils du début à la fin, papa lèchant le minou de maman, maman suçant la bite de papa, papa enculant maman, maman...........ENCULANT papa avec une queue en plastique. Visiblement papa y prenait beaucoup de plaisir. Plus loin, c'était maman qui fessait papa comme elle aurait pu le faire d'un garnement difficile. J'en étais complètement retournée. Après avoir regardé jusqu'à la dernière image je remontai le tout pour le ranger. Le gode entrant dans le cul de papa alternant avec la main de maman rougissant ce même cul; m'obsédait. Je fouillai dans les tiroirs de papa et fini par découvrir non seulement l'objet violeur du film mais aussi un solide martinet qui, vu l'état des lanières avait dû beaucoup servir.

Vers 20 heures, je me couchai nue dans le grand lit, cachant sous mon oreiller les outils du plaisir paternel

 

 

 

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Jeudi 3 juillet 4 03 /07 /Juil 06:58

Je revis à peine papa le reste de la journée. Il était continuellement au téléphonne, cherchant des solutions aux problèmes de notre future vie commune sans maman. Mamy était en vacances et ne rentrait qu'un mois plus tard, les voisins passaient tout les ans l'été dans le sud. Papa pu, enfin,  obtenir un dépacement de ses congés, ce qui lui permit de rester avec moi jusqu'au retour de mes grands-parents. Je l'entendis parler de divorce, de garde alternée, et de toute sorte de choses auxquelles je ne comprenais rien.

De mon coté je restai la plus grande partie de la journée à jouer au soleil sur la terrasse. A chaque instant, je me prenais à repenser à ce tube rose et violet que j'avais pu voir par le trou de la serrure. Je m'imaginais le tenir dans mes petites mains et le secouer comme j'avais vu papa le faire, et, chaque fois, une folle envie de toucher mon minou m'envahissait. 

Je finis par retirer ma culotte et, cachée dans un coin, je decouvris peu à peu les endroit procurant un délicieux frisson lorsque je les carressais. Je me doutais que si papa me voyait faire cela, je serais punie, pourtant c'était systématique: je voyais dans ma tète le tube rose de papa, ma main partait comme d'elle-même vers le bas de mon ventre. Si papa remarqua que j'étais cul nu sous ma jupette, il n'en laissa rien paraitre.

Après le diner, constitué principalement d'une salade, papa m'envoya au lit. Je n'hésitai qu'un bref instant, une fois ma petite robe de nuit passée sur mon corps nu, je ressortis de ma chambre et me faulilai dans celle de papa pour me glisser dans son grand lit, où je m'endormis. La lumière subite me tira de mon rève de tube rose. J'étais enfuie sous le drap. papa n'avait pas remarqué ma présence. J'entendis les bruits caractéristique d' habits glissant sur la peau et tombant sur le parquet.

 

-Mais que fais tu ici??

-papa j'ai peur toute seule!

 

Je n'avais pas remarqué qu'il s'approchait et c'est en ouvrant les draps pour s'y glisser qu'il avait découvert ma présence. Si j'étais affrayée, lui fut tellement surpris de me voir là qu'il en oublia de couvrir ou au moins de tenter de cacher le bas de son ventre. J'étais hypnotisée par cette chose si secrete que je voyais en pleine lumière pour la première fois. Cette chose, entourée de poils blonds qui ne la cachait en rien, reposait sur un gros sac de peau coucert de la même toison. A chaque mouvement de papa, ca se balançait de gauche à doite ou sursautait vers moi.

 

-Chérie, tu ne peux pas passer touts les nuits dans mon lit!

-Pourquoi, papa? tu a un grand lit et c'est si bon de te savoir près de moi en m'endormant!

-Les petites filles ne font pas dodo avec leur papa!

-Mais pourquoi?

-c'est ainsi

 

Je sentis les larmes me monter aux yeux, c'est en reniflant que j'essayai d'argumenter encore et de le convaincre de me garder près de lui. Emu sans doute par mes larmes, papa s'assit sur le bord du lit et me tendit les bras dans lesquels je me précipitai. Je m'accrochais à lui, mes mains tentant de se rejoindre dans son dos. Papa me pris les mains et m'éloigna de lui, doucement mais fermement. Dans mon mouvement, ma robe de nuit était remontée sur mon ventre et, de nouveau, je vis papa rougir jusqu'à la racine de ses cheveux. si moi j'étais hypnotisée par son tuyau, lui, ne pouvait détacher les yeux de mon minou. Il fini par se rappeler sa nudité et se couvrit du  drap. Il était encore plus rouge si c'était possible

 

-tu sais papa...

-q..quoi....je sais quoi?

-ben c'est trop tard pour te cacher, j'ai tout vu

-et...tu....je...;enfin tu as vu quoi?

-ton tuyau

-tu es choquée?

-non c'est joli, mais je ne sais pas à quoi ca sert

-c'est pour les garçons faire pipi

-mais moi je n'en ai pas et pourtant je fais aussi pipi.

-tu comprendras quand tu seras plus grande

-tout le monde fait pipi, pourquoi faut il que tu le caches?

-si quelqun savait que tu as vu mon zizi, j'irais en prison et nous serions séparés pendant des années.

-je ne dirai jamais rien à personne c'est pomis. Même si je le vois encore.

-ce sera notre secret personne pas même mamy ne doit le savoir.

-alors tu me le laisseras encore voir?

-c'est pour ça que les petites filles ne dorment pas avec leur papa, pour qu'elles ne voient pas le zizi et que le papa ne voit pas le minou

-maintenant que j'ai vu ton zizi et que tu as vu mon minou je peux rester dans ton lit?

-..........

-j'aime bien voir ton zizi et si tu as envie tu peux regarder mon minou et mes fesses quand tu veux

 

IL avait laché mes mains et s'était etendu sur le dos, le drap remonté juste trop haut pour satisfaire ma curiosité. Je posai la tête sur sa poitrine, ma main gauche sur son ventre à hauteur de son nombril. Je le sentis frémir, mais il ne me repoussa plus. La lumière était toujours allumée. je vis distinctement le drap se lever.Pourtant, sa main  droite était posée sur mes cheveux et la gauche sur mes épaules. 

 

 

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Mardi 1 juillet 2 01 /07 /Juil 05:48

C'est une sensation de vide qui me reveilla le lendemain matin. J'étais seule dans le grand lit. Il me fallu plusieurs minutes pour me convaincre que je n'avais pas rèvé, que j'avais réellement toucher les fesses nues de papa pendant la nuit. En sortant de la chambe, j'entendis le bruit de la douche et me dirigeai vers la porte de la salle de bain. J'imaginais papa tout nu sous le jet d'eau chaude, ses fesses nues ruisselantes et cette chose qui faisait de lui un homme, vrai ou pas, qui devait se balancer sous son ventre. Je me penchai pour regarder par le trou de la serrure mais la buée et l'etroitesse du l'ouverture ne me permirent pas de voir quoi que ce soit. Je restai là torturée par l'envie de savoir. Qu'avait voulu dite maman par "un homme, un vrai"? Toute à mes pensées je ne remarquai pas de suite que l'eau avait fini de couler. C'est le son caracteristique du rasoir électrique de papa qui me ramena à la réalité. Je réfléchi que, vu la disposition de la salle de bain, papa devait etre juste devant la porte. Je recollai mon oeil à la minuscule ouverture. A l'intérieur, la vapeur s'était un peu dissipée. J'apperçu un peu de mon papa chéri. Il s' était enroulé dans une serviette. J'en pleurai presque de déception. j'aurais voulu être une fée ayant le pouvoir de faire disparaitre le bout de tissu pour voir ces fesses qui m'avaient tant toublée cette nuit.

Papa avait fini de se raser, il n'allait plus tarder à sortir.  Je devais me sauver en vitesse si je ne voulais pas me faire surprendre. A contre coeur, je quittai mon poste d'observation et descendis dans la cuisine sans prendre la peine d'enfiler une robe de chambre sur ma robe de nuit de gamine qui, déjà courte d'origine, avait encore perdu un peu de sa longueur avec tout les plis et faux plis créés par ma nuit agitée.

 

Toute petite que j'étais, je savais déjà préparer le café, ce que je fis en rèvassant.

 

-Bonjour, Claire, tu es déjà levée!

-Heuu,........ oui, je......je ne pouvais plus dormir, papa

-je t'ai réveillée en sortant du lit?

-non,non, je me suis réveillée seule. Je t'ai préparé ton café.

-tu es une gentille petite fille, je suis certain qu'il et très bon. 

 

Papa s'est penché pour déposé un bisou sur ma tète. Je me rappelerai toute ma vie l'odeur de son eau de toilette dont il avait du s'asperger avant d'enfiler son peignoir.

 

J'étais assez grande pour me servir du percolateur, mais encore trop petite, pour atteindre l'armoire suspendue dans laquelle maman rangeait les tasses. J'essayai néanmoins d'y parvenir. Etirée, sur la pointe des pieds, ma main arrivait à peine à la poignée de la porte.

 

-laisse mon bébé. Je vais le faire. Tu es encore trop petite!

-désolée, papa, j'aurais voulu te servir ton café. C'est moi la femme de la maison maintenant.

-oui, ma chérie.

 

Papa s'était approché et par dessus ma tète il avait ouvert l'armoire et sorti tasses et bols pour notre petit-déjeuner. Un bref instant, il avait été collé contre mon dos. Je me traitai mentalement d'idiote. Si je m'étais retournée à ce moment j'aurais peut être pu effleurer, au travers de son peignoir, ce que je voulais tant découvrir depuis cette nuit.

Quand il s'écarta de moi et que je lui fis face, je le trouvai tout rouge, comme s'il avait courru  en plein soleil.

Après le petit déjeuner vient le moment le plus délicat. C'était toujours maman qui m'avait donné mon bain le samedi matin, qui, chaque jour, me préparait mes vètements, me coiffait; et, depuis 3 jours, me mettait la paumade que le docteur avait prescrit pour soigner un vilain bouton sur la fesse.

 

-Papa! tu vas devoir remplacer maman, maintenant?

-Heu oui mais pourquoi me demandes tu celà?

-je peux faire couler mon bain toute seule? je te promets, j'attendrai que tu sois là pour entrer dans la baignoire.

-Tu ne sais pas encore prendre ton bain toute seule?

-Maman ne veut pas, elle dit que c'est trop dangereux, qu'il y a plein d'enfants qui se sont noyés dans leur bain.

- et toi, ...tu.....tu...penses que tu es trop petite?

 

Papa était devenu encore plus rouge que quand il avait pris tasses et bols dans l'armoire. Je lui expliquai que maman me surveillait dans le bain tout en se préparant elle-même. Elle avait tout une panoplie de crème, d'huile, d'onguant qu'elle se passait sur tout le corps pendant que je barbotait dans l'eau; et que, de ce fait, je n'avais jamais pris de bain sans surveillance.Papa rétorqua qu'il avait déjà fait sa toilette, qu'il ne savait pas......

Plus il essayait d'échapper à la corvée bain, plus il s'embrouillait, bafouillait , rougissait.

 

-De toute façon il faudra bien que tu sois là pour mettre la paumade sur mon bouton. Le docteur a dit 7 jours de suite et il n'y en a encore que 3. Tu vas chercher mes habits et je prépare le bain d'accord?

 

A court d'argument, papa dût bien se résoudre à  passer par cette corvée. Je me rendis dans la salle de bain et ouvris en grand les robinets. J'étais toute nue quand il revint près de moi, et lui, de plus en plus rouge. Je remarquai vite qu'il faisait tout pour ne pas me regarder, mais dans une pièce aussi exigue, il était impossible de l'éviter. 

 

-L'eau est prète, papa, tu m'aide à entrer dans la baignoire?

-Je te tiens la main?

-non, tu me soulèves et tu me dépose dans le bain

 

Je lui tendis les bras. Quand il me souleva la pointe de mon pied entrouvrit son peignoir accidentellement. Il vait bien sur les deux mains prises pour me deposer dans la baignoire et n'a pas pu refermer son vetement avant que j'entr'appercoive une touffe de poils entourant une sorte de tube rose. j'étais toujours sous l'effet de ma découverte nocturne  et, s'il faut en coire les spécialistes, il n'y a pas plus curieux qu'une petite fille

 

-C'est toi qui va me laver maintenant que maman nous a abandonné?

-tu es grande assez pour te laver toue seule tu ne crois pas?

-je ne saurais jamais me laver le dos toute seule , papa!

-d'accord pour ton dos, mais tu te débrouille pour le reste.

- après mon bain, tu me mettras la crème sur le bouton?

-Claire!!!!!! heu pardon je n'avais pas bien compris, maman m'a parlé en effet de ce vilain bouton mais elle ne pas dit où il était.

-hi hi, il est caché tu vas devoir le chercher

-non n'exagère pas

-s'il te plait papa, maman jouait toujours a chercher le bouton

-Ca suffit, lave toi que je te sorte du bain, je dois aller m'habiller. Tes vetements sont près sur ton lit.

 

Une fois lavée, les puissants bras paternels me sortirent de l'eau puis me frictionnèrent avec une grande serviette.

Papa me recomanda de bien éponger mes cheveux et de les peigner avant de sortir de la salle de bain, puis, sans un regard, il s'en alla vers sa chambre pour se vetir.

Il faisait déjà chaud ce matin là et c'est toute nue que je me dirigeai ver ma chambre. En passant devant la porte de papa, je fus prise d'une irrésistible envie de coller mon oeil à la serrure. Ce que je vis me mis littéralement en transe.  Papa était allongé ur son lit, ausi nu que moi, et d'une main vigoureuse il massait le tube a peine appercu plus tot. Tube qui avait énormément grandi et dont le bout, qui dépassait par intermitence de la main paternelle, de rose avait viré au violet.

 

Par mienstring - Publié dans : inceste - Communauté : inceste
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