Maman est partie vivre avec Marc. Ils viennent souvent chez nous mais la maison est bien vide.Jean est souvent en voyage ou occupé avec le cul de sa mère ce qui laisse le mien orphelin. mon
mariage bat de l'aile.
Ce soir, pour le 5eme anniversaire de ma fille, nous organisons un diner avec la famille et des amis. Ma femme a invité un couple de collègues ils sont venus avec leur fils de 15 ans.
je ne les aime pas beaucoup, l'homme est un macho épouvantable et son épouse d'une vulgarité à faire peur. Elle est grosse, suiffeuse, boursouflée de partout. En plus elle a un gout pour
s'habiller!!!!! une jupe en skaî rouge qui lui arrive juste sous les fesses et un chemisier en coton bleu et vert affreux.
Andrée et Jean nous ont appelés pour nous avertir d'un retard d'une demi-heure et l'apéritif en est prolongé d'autant. Aurélie et sa copine boivent comme des trous, l'extra engagé par le
traiteur n'ose pas leur refuser les verres qu'elles vident à la file.
Christine qui est venue avec son compagnon et le fils de celui-ci, m'en fait la remarque discretement:
-Pourquoi laisses tu ta femme boire autant?
-Qu'elle fasse ce qu'elle veut, tant qu'elle boit elle me f... la paix
-Je ne te reconnais plus, il n'y a pas si longtemps une telle attitude lui aurait valu une belle fessée
-Ce n'est pas l'envie qui m'en manque mais il y le fils de ton ami et l'autre gamin
- A leur age, nous avions déjà vu le cul de maman rougir et cela t'avait bien plu.
Le carillon de l'entrée met fin provisoirement à notre conversation. Ma femme étant trop saoule pour ses devoirs d'hotesse, je vais ouvrir moi même la porte: C'est Andrée, jean et avec eux un
jeune homme que je mets du temps à reconnaitre. Sébastien les accompagne. Echange de bisous, de nouvelles de nadine, remise de cadeaux à mon petit bout; la fête bat son plein, j'ai opté
pour un "standing diner" nos invités peuvent ainsi manger ce qu'ils aiment le plus tout en bavardant avec l'un puis l'autre. Deux groupes se sont formés: d'un coté Aurélie , ses amis, maman
et Marc, et de l'autre Chrisitine, son compagnon, Andrée, Jean et Sébastien qui ne quitte pas mon amant d'une semelle. je passe d'un groupe a l'autre, ma fille dans les bras. les deux ados se
racontent leur vie assis sagement dans un coin.
Des rires vulgaires et gras éclatent de plus en plus souvent de la gorge de ma femme, ses interlocuteurs s'unissant à elle. Ils mangent peu mais se rattrapent sur le vin. passant derrière l'amie
de ma femme, je surprends un bout de leur conversation:
-je n'aurais jamais cru que ton frere soit pd et encore moins ton mari!
-si tu savais......
-et bien dis nous! j'aime les belles histoires
- C'est marc, l'ami de ma belle mere qui lui a ouvert le cul et pour avoir ma fille, j'ai du demander à mon frere d'enculer mon mari sinon il ne bande pas
En prononçant cette dernière phrase, ma femme qui me savait près d'eux me regarde dans les yeux semblant me mettre au defi de nier mon homosexualité. Je sens la rage monter en moi. Peu m'importe
que ces gens sachent mais les rires de la grosse me font bouillir le sang. Pour éviter de gacher la fête de ma petite, je m'éloigne vers les toilettes, le temps de me calmer. En sortant du petit
endroit, je me heurte au macho.
-votre femme tout comme la mienne a un peu trop bu!
-j'ai remarqué, oui je suis désolé si elle vous gache la soirée
-non, non ne vous inquietez pas il n'y a pas de soucis; mais si la mienne osait racconter des choses pareilles sur notre intimité, je vous promet que son gros cul le sentirait passé!
-vous la fessez?
-assez souvent oui, en fait presque chaque fois que notre fils n'est pas à la maison. Maintenant qu'il est grand ca devient difficile.
-il a 15 ans je crois? à son age je savais deja que papa fessait maman!
-ah oui? il avait peut etre raison, apres tout à 15 ans il a deja du voir un cul. Vous, vous n'avez pas encore ce probleme avec votre petite merveille
Pour le coup, il me devient beaucoup plus sympatique. Nous continuons à echanger nos idées pour constater que nous avons les mêmes gouts dans bien des domaines excepté les relations gay.
De retour dans le salon, j'apprends que ma fille s'etant endormie sur le canaté, maman l'a emenée chez elle pour la coucher. Andrée est occupée à sermoner sa fille dont l'ivresse va
croissant. C'en est assez! Que je sois homo ne regarde que mon amant et moi. Je ne suis pas "une folle" je ne me travestis pas bien que je n'ai rien contre ceux qui le font. je prend mon plaisir
par mon petit trou plus que par mon sexe, c'est tout.
Je pose une main sur l'epaule de ma belle mere
-Laisse Andrée, les sermons ne font aucun effet dans son état
-tu ne vas quand même pas laisser ta femme continuer ainsi?
-non pas du tout, puisque qu'elle prend un tel plaisir à parler de mon cul, je vais m'occuper du sien!
un silence subit succède à ma dernière remarque. seule la collègue d'Aurélie glousse d'un air idiot. elle aussi a bu plus que de raison.
Ma femme me défie du regard, autaine et c'est la goutte qui fait deborder le vase de ma colère. sans un mot je l'attrape par le poignet et la traine vers un tabouret sur lequel je pose le
pied droit. Dans le même mouvement, je bascule la coupable sur ma cuisse. Elle tente de me resister mais elle n'en a pas la force et l'alcool ne l'y aide pas non plus. De la main gauche je pousse
sa tête vers le sol tandis que de la droite je remonte sa robe dévoilant à tous sa petite culotte. Les deux ados ont rejoint les adultes et comme eux se sont groupés à ma droite pour ne rien
perdre du spectacle que leur offre involontairement ma femme. Un coup d'oeil vers mon nouvel ami me rassure sur son consentement et je glisse mes doigts sous l'elastique de la culotte que je tire
vers le bas. Aurélie comprend enfin ce qui lui arrive, elle se débat, rue des deux jambes perdant dans ce mouvement ses escarpins. Prenant tout mon remps, je baisse lentement la culotte
dévoilant petit à petit un cul dont la blancheur tranche sur son bronzage. une fois le tissus arrivés à mi-fesses, je marque une pause. plusieurs soupir se font entendre: celui des ados et de
certains adultes de deception que je n'aile pas plus loin, celui de ma femme de soulagement.
- Ne te rejouis pas, je n'ai pas l'intention de m'arreter là!
- non tu ne vas quand meme pas me deculotter completement!!!!!
-bien sur que si! et je ne me contenterai pas de te retirer ta culotte,
Sur ces mots, je reprends le déculottage et bientot tous peuvent admirer le cul entièrement nu. Les ruades d'aurélie reprennent de plus belle avec pour conséquence que l'élastique casse, le
tissus se déchire et une derniere traction de ma part est suffisante pour arracher complètement le dernier rempart de la fausse pudeur de ma femme. Je lance le chiffon vers le beau-fils de ma
soeur mais c'est son copain qui s'en saisit.
-tu fais moins la maligne maintenant avec ton cul a l'air!
-Tu vas prendre la fessée que tu mérites
C'est jean qui vient d'invectiver ainsi sa soeur. Encourager par mon amant, je lève la main et l'abbat sur le fessier tendu. Je n'ai pas mis toute ma force, loin de là mais le claquement a pour
echos un cri perçant qui fait rire la collègue. là aussi je prends tout mon temps, je fesse lentement laissant à ma femme tout loisir de "savourer" chaques claques. Après une vingtaine de
giffles, le cul , de blanc, est passé à un beau rouge vif. Un coup d'oeil vers mes invités: tout le monde transpire, les braguettes sont gonflées et pas seulement celles des ados, Christine
a une main sur le pantalon de son compagnon et une sur sa poitrine généreuse. La grosse collègue est aussi rouge que sa jupe et que le cul qu'elle semble admirer.
Je redresse ma femme et, sans lui laisser la moindre chance de m'échapper, descends le zip de sa robe. PLus question de lenteur, j'arrache plus que je ne tire le vetement sous lequel Aurélie n'a
plus que sa ceinture et ses bas.
-je t'avais dit que je ne me contenterais pas de te retirer la culotte, tu devais savoir que je tiens toujours mes promesses
-Jean, veux tu apporter le martinet? il est toujours au même endroit!
Pendant que mon beau frere et amant se dirige vers le secretaire, je fais virevolter ma femme afin que tous voit autant le cote face qu'ils n'ont gouté au coté pile, je l'agenouille de
force sur le taboouret que j'ai libéré. Je maintiens la tète d'Aurélie bas vers le sol tandis que sa position l'oblige a tendre le cul vers le plafond,cuisses assez écartées pour que son
entrée intime paraisse nettement sous ses fesses.
- je propose que chacun et chacune d'entre vous applique 10 cinglades sur le cul que je vous offre. il y a t'il quelqun qui ne soit pas interressé?
Jean qui arrive avec le martinet est le premier à prendre son cadau de fête. Il n'est pas trop méchand,le martinet marque à peine le peau. Christine puis Andrée suivent avec plus de
fermeté. Quand marie-Pierre(la grosse collègue) s'avence, son mari le retient par le bras
- ne sois pas pressée, tu auras ton tour après
Le beau-fils de Chrisitine jette un regard interogateur à son père qui lui répond d'un hochement de tete. C'est certainement la premiere fois qu'il va manier le martinet et probablement
aussi le premier cul qu'il voit nu d'aussi pres.Il s'acquitte tres honetement de sa tache. Aurelie à qui je dis au fur et à mesure le nom de son fesseur hurle de colère en apprenant qu'un
gamin de 15 ans va lui fouetter le cul, ses cris changent vite de ton quand la douleur dépasse sa honte. une fois terminé le martinet passe dans les mains du fils de Marie-Pierre, de
mon beau frere et enfin de Marc. Le dernier coup donné par lui fais couler une ligne rouge de sang.
Tenant toujours sa femme par le poignet, Paul, le mari de Marie-pierre, s'aproche de moi
-Je crois que le cul de ta femme n'est plus en état d'en supporter d'avantage!
-Paul!!! tu m'avais promis que j'aurais mon tour!
-Moi aussi je tiens mes promesses. j'ai dit que tu aurais ton tour, sans préciser. Puisque les fesses d'Aurelie ne peuvent en prendre plus, c'est à toi, maintenant de présenter ton gros
cul,et chacun y applique la même punition, avec la même vigueur que pour le fessier de notre hotesse.
