Mercredi 4 septembre 3 04 /09 /Sep 22:26

6-19-2013_003.JPGLorsque,  juste avant de partir à son bureau, le mari de Lucie, lui a annoncé qu'il voulait divorcer; celle-ci commenca par pleurer toutes les larmes de son corps. Pourquoi lui faisait il celà? Elle était une fille obeissante, ses deux grossesses n'avaient pas abimé son corps, elle était soumise et volontaire pour tout les fantasme de son mari. Elle ne comprenait vraiment pas ce qu'il lui reprochait. Dans l'entrée, tronait un grand miroir triptique, elle fit glisser sa nuisette de ses epaule et, entierement nue se plaça devant pour s'inspecter d'un regard sans concession . Ce qu'elle vit la rassura sur son physique mais augmenta son questionnement. Ni trop grande ni trop petite, ni trop grosse ni trop maigre, des seins toujours fermes, un ventre plat, des fesses rondes sans cellullite, un minou soigneusement épilé comme il l'avait toujours exigé. 

 

Sa nudité commenca à la troubler. Ses mains, comme mues d'une volonté propre, se mirent à carresser tout son corps, s'attardant sur les tétons qui s'érigèrent directement, puis sur son cul, enfin sur sa chatte qui laissait déjà sourdre une humidité odorante. Une fois son clitoris débusqué, elle avait insisté sur ce centre du plaisir jusqu'à obtenir un orgasme aussi rapide qu'inattendu dans sa situation.

 

Elle avait du gémir. Elle sursauta en entendant son fils ainé l'appelé depuis la porte de la chambre qu'il partageait avec son frere.

 

-Maman! ça va? Tu es malade?

 

Reprenant le controle d'elle même, elle rassura son garçon et s'enfuit se cacher dans sa propre chambre. Il était tôt, mais elle décida néanmoins d'appeler ses parents immédiatement. Sa mère fut aussi surprise qu'elle en apprenant la nouvelle. 5 minutes plus tard ce fut son papa qui prit la communication

 

-Que comptes tu faire?

-je n'en sais rien. C'est si brutal, je n'ai pas encore pensé à ce nous allions devenir les garçons et moi

-Tu sais que tu peux toujours venir vivre ici, il ya assez de place mais.....

-Quoi?

-Tu connais les règles de la maison, n'est ce pas?

-Biens sur, que veux tu dire?

-34 ans ou 18 ans ou 6 ans ne changent rien, J'entends etre obéi en toutes circonstances, sinon......

-papa! je ne suis plus la gamine que tu fessais quand elle n'était pas sage. je suis adulte maintenant

-Cela ne change rien, ta maman ou plus précisément son cul pourrait te le confirmer.

 

Lucie n'était pas convaincue que son père fut sérieux ou pas en parlant de fessées, mais elle n'avait pas le choix. La maison qu'elle habitait appartenait à son mari et elle n'avait pas les moyens financiers d'en louer et encore moins d'en acheter une. Trois semaines plus tard, elle arrivait avec armes, bagages et fils chez ses parents.

 

Il ne fallut pas plus d'une semaine pour qu'elle soit fixée. En revenant avec sa maman de l'école où elles avaient conduit les garçons, les deux femmes s'arretèrent dans un magazin de vètements pour se choisir quelques robes d'été. D'un essayage à un autre 2 heures furent vite passées et c'est avec un retard conséquent qu'elles rentrèrent  à la maison.

 

-Où étiez vous passées?

Maurice, le papa de Lucie, attendait les femmes sur le seuil de la maison. A son regard noir, les fautives comprirent immédiatement qu'aucune excuse n'apaiserait la colère du chef de famille. Têtes basses elles se préparèrent  au sermon qui ne manquerait pas de saluer leur retard.

 

-Il est inutile que je me fatigue à vous rappeler ce que signifie ponctualité! Vos fesses s'en chargeront pour un bon moment!

 

- Maurice!

- Papa!

 

Le double cri d'indignation ne perturba pas Maurice un seul instant .  D'un geste, appuyé d'un regard, il savait très bien se faire comprendre de son épouse. Andrée, la maman de Lucie, fit signe à sa fille de se taire et de la suivre dans le salon. Elles restèrent debout  attendant la sentence qui n'allait surement pas tarder. Le père pris son temps pour s'installer sur une chaise au milieu de la pièce. Une fois assis, d'un claquement de doigt, il intima l'ordre à sa femme de s'aprocher.

 

- Deux heures de retard, soit 120 minutes à vous partager équitablement!

 

Sans oser protester, Andrée se pencha  jusqu'à se retrouver couchée en travers des genoux de son mari. D'une main qui visiblement était habituée, Maurice releva  la jupe jusqu'au milieu du dos, dévoilant à sa fille une minuscule culotte de dentelle blanche. Sans fioriture inutile, les doigts glissé sous l'élastique du sous vetement, firent glisser celui-ci jusqu'au creux des genoux, dévoilant un tout petit cul rond. Lucie avait déjà vu sa maman nue et dans cette position humiliante, mais elle ne put s'empecher de deglutir en retrouvant des souvenirs anciens. Elle avait 12 ans la première fois qu'elle avait surpris son papa occupé à fesser sa mère. Toute sa jeunesse avait été marquée par les fessées répétitives aussi bien appliquées à son propre postérieur qu'à celui de sa maman.

 

Sans transition, dès que le cul avait été nu, une pluie de claques fit trembler et rougir rapidement les fesses offertes. La jeune femme était hypnotisée par le cul maternel qui dansait comme mu de sa propre volonté. Andrée ne criait pas. A peine un gémissement accompagnait il chaque coup, Mais, dès la dixième claque, la grand-mère commenca à battre des jambes, inconsiente sans doute du spectacle qu'elle donnait. Chaque écartement  des cuisses, dévoilait par en dessous la fente de sa chatte juste soulignée d'une courte toison dans laquelle les poils gris prenaient le pas sur les poils chatain. Les yeux de Lucie passèrent du cul qui rougissait à la fente rouge qui s'ouvrait et se refermait en cadence. Vers la moitié de la correction infligée à sa mere, Lucie pensa avoir une allucination. Elle écartilla les yeux ne voulant pas croire ce qu'elle voyait. La fente sexuelle de sa mère commencait à briller. Il  n'y avait pas de doute possible, la chatte d'Andrée s'humectait de plus en plus, un mince filet de mouille s'échappait d'entre les poils pour se perdre sur le pantalon du fesseur.

Le cul de sa femme etant tres maigre, les Mains de maurice n'avaient pas tellement de place pour diversifier l'endroit de contact. La peau passa rapidement du blanc au rose, puis du rose au rouge vif pour, par endroit, devenir quasi noir.

La dernière claque fut soulignée d'un cri de la punie qui n'avait rien d'un cri de douleur. Lucie fut consternée de devoir reconnaitre d'une part que sa mere avait joui sous la fessée et d'autre part que sa propre chatte avait elle aussi commencer à s'humidifier.

 

- retire ta jupe et va au coin!

 

Andrée se redressa peniblement et laissa tomber son vetement sur le sol avant de se  diriger vers le coté de l'âtre et de se placer face au mur, juste devant la fenetre grande ouverte qui éclairait tout le coté opposé de la piece.

 

- A ton tour, ma fille! retire ta jupe et viens prendre place.

 

A pas trainant,  Lucie s'approcha de son pere. elle était encore trop remuée d'avoir vu sa maman jouir sous la fessée pour penser à résister. Elle dégraffa sa jupe qui alla rejoindre celle de la première punie dévoilant ainsi une culotte qui n'avait rien à envier à celle d'Andrée sur le point de la finesse et de l'erotisme. Au moment de se pencher sur les cuisses qui l'attendaient elle ne put que constater la tache sur le pantalon et la bosse qui deformait celui-ci.

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives - Communauté : fessées publiques
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