fessées punitives

Jeudi 27 avril 4 27 /04 /Avr 04:15

Sans réfléchir, Sébastien laissa ses doigts s'aventurer plus  haut, entre les cuisses maternelles.  Rapidement, les phalanges trouvèrent le chemin humide que ne bordaient que quelques poils soyeux. C'était la première fois que l'ado touchait une chatte et le fait que cette chatte était  trempée mais qu'en plus c'était celle de sa mère fit grossir encore plus son jeune sexe dans son pyjama.

 

De son coté, Isabelle n'osait plus bouger. Elle se rendait compte du danger de la situation. Elle, le cul nu sous les yeux de son fils, la main de ce dernier qui fouillait son intimité trempée, la bosse qu'elle sentait gossir sous son ventre; tout cela ajouté à la chaleur que la fessée avait apportée à son postérieur et l'absence de rapport physique depuis des années; eurent raison de la jeune femme. D'un coup, elle jouit, inondant les doigts de son fils tout en gémissant de plaisir.

 

Morte de honte, la jeune maman se laissa glisser en bas des cuisses de son fils.  Une fois libérée de son emprise, elle se releva sans penser que son peignoir, dont la ceinture s'était compètement défaite, béait; laissant à la vue de l'ado deux seins durs aux larges aréoles et aux téton longs et encore gonfés par l'orgasme qui venait de la bouleverser. Sa chatte, à peine couverte d'un "ticket de métro" semblait narguer le garçon. Isabelle se ressaisit et s'enfuit dans sa chambre.

 

Sébastien n'en revenait pas. Lui l'ado timide, réservé, respectueux de sa maman; venait de fesser celle-ci, cul nu, et avait vu non seulement son petit cul mis aussi tout le reste.

 

Son regard se posa sur la culotte restée sur le sol. Il se pencha pour la ramasser puis, ayant baissé son pyjama, s'occupa à soulager l'érection quasi douloureuse. Une dizane de va et vient fut suffisante pour que de long jet de sperme viennent tremper le bout de tissu. A peine calmé, le garçon se dirigea vers la sale de bain pour prendre une douche bien nécessaire.

L'eau qu'elle fut chaude ou froide, ne changea rien à son excitation. Il avait toujours devant les yeux ce cul cramoisi, cette raie profonde qui s'ouvrait à chaque claque, dévoilant l'anus plissé. Rien ne pouvait ramener son sexe à une taille plus décente sauf une seconde masturbation. Sébastien se saisit donc de sa queue raide et , prenant cette fois tout son temps, se livra à un branlette dans les règles, tout en se remémorant  les meveilles vues ce matin là. Non seulement le cul mais aussi les seins et la chatte de sa maman.

 

De son coté, Isabelle, couchée nue sur son lit, ne pouvait cesser de penser à la fois à l'orgasme que la main de son fils sur ses fesses lui avait prodigué, ni à la bosse qu'elle avait sentie sous son ventre. Ses doigts trouvèrent d'eux même le chemin de son clitoris érigé entre ses petites lèvres. Son cul était toujours aussi brûlant bien que la fessée n'en soit pas la seule responsable.   C'est en imaginant la queue de son fils qu'elle n'avait que sentit raide sous son ventre mais jamais vue dressée, que la jeune femme inondat ses doigts et ses draps.

 

Habillée dune robe légère ne dépassant pas la moitier de ses cuisses, Isabelle voulu aller dans la salle de bain, se maquiller tout en réfléchissant à la façon de traiter cette situation à la fois si humiliante et si délicieuse: celà ne pouvait plus jamais se produire! De quelle façon aborder le sujet avec Seb sans rougir? Il n'a que 16 ans et c'est mon fils et déjà je pense à lui comme s'il était un amant de longue date! La porte de la salle de bain n'était pas fermée à clé. Le spectacle qui s'offrit à elle en entrant fit s'envoler toutes ses bonnes résolutions. Elle la voyait ,là, la queue de son fils. Dressée, arrogante, bien plus longue et grosse qu'elle aurait du l'etre a son age.Lui, tout à son plaisir solitaire n'avait pas remarqué l'arrivée de sa mère. C'est en gémissant son nom qu'il envoyat de longs jets de sperme contre la vitre de la douche.

 

-Quand tu auras fini tes cochoneries et que tu seras habillé décement viens au salon il faut que nous parlions!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives - Communauté : inceste
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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 05:59

Lorsqu' Isabelle avait surpris Sébastien occupé à fumer, elle avait été prise d'une rage incontrolable. Son mari était mort d'un cancer et la jeune femme ne pouvait imaginer perdre son fils de la même façon. Malgré ses 12 ans, Sébastien avait eu doit à une fessée mémorable. S'en s'occuper de la présence de la famille, ni même de la petite copine qu'elle avait récupérée à la sortie de l'école comme chaque mercredi, Isabelle avait attrappé le gamin sous son bras. Baisser short et slip n'avait pris qu'une demi seconde. A cette époque, Sébastien était encore un poids plume, Les pieds du garçon ne touchaient plus terre et il eut beau gigoter comme un petit diable, le seul effet de ses mouvements de défence fut que ses vètement tombèrent sur le sol avant même que la première claque n'arrive sur les petites fesses.

 

L'oncle, la tante, le cousin et la copine étaient restés silencieux. Etonnés, gènés, mais aussi pour les enfants, intéressés par le petit cul nu qui rougissait au fur et à mesure que la main maternelle ponctuait le sermon sur le danger du tabac.

 

Sébastien, de son coté, n'avait pas encore consience du spectacle qu'il donnait. seul la douleur  de son posterieur  le faisait crier. La pluie de claques semblait ne jamais devoir s'arreter, les fesses et les cuisses brûlaient de plus en plus sans que sa maman ne faiblisse. La correction dura longtemps.

 

Ce n'est que quand la cadence fini enfin par relentir que le pire vint pour le garçon. Son cousin, ami et complice de toujours, confident de tout, fit remarquer en éclatant de rire:

 

Waouhhh! On voit tout son petit zizi sous son cul!

 

Bien sur, le cousin et ses parents avaient déjà vu plus d'une fois le zizi de Sébastien, lors des bains et des changements de vètements; mais, cette fois, il y avait une autre spectatrice et ça, le puni ne pouvait pas le supporter. Ses mouvements frénétiques des jambes qui s'étaient calmés un peu, reprirent de plus belle, quand il entendit le rire de sa copine accompagner celui de celui qui venait de le trahir si honteusement.

 

A peine l'étau du bras maternel se fut il desserré, que le gamin s'enfuit cacher sa honte et sa douleur dans sa chambre.

Etendu en travers de son lit, Sébastien pleura toutes les larmes de son corps. Rien n'aurait pu atténuer la mortification. Il ne vint pas déjeuner, ni gouter , ni dîner. Ce n'est que tard dans la soirée que ses larmes se calmèrent en même temps que la brûlure de ses fesses  s'estompait. Son sommeil fut troublé de cauchemards épouventables. Il revivait  l'humiliation d'avoir été vu cul nu, il entendait le rire de celle qu'il pensait etre son amie, ses reflexions sur le petit cul tout rouge, sur le doigt supplémentaire qui pendait sous son ventre.....

 

Le soleil était à peine levé quand le gamin sortit de sa torpeur. Il réfléchit au fait que les vacances d'été commencaient ce jour là et, qu'en septembre, il allait entrer dans la "grande école". Il n'aurait pas à subir les sarcasmes des copains certanement avertis par les indiscrétions des deux enfants ayant assisté à son humiliation. Très vite, il n'eut plus qu'une seule idée en tête: se venger!

 

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Durant les 4 années qui suivirent, Sébastien se mit au sport. De petit et malingre, il devient un beau jeune-homme musclé. Il avait grandi au point de dépasser Isabelle de 5cm, ses bras , ses jambes, son ventre n'étaient plus que muscles durs sans une once de graisse.

La fameuse fessée, loin d'être oubliée, avait eveillé en lui une libido furieuse. Ses journées commençaient et finissaient  systématiquement par une masturbation frénétique.  Le petit bout de chair qui, à 12 ans, pendait sous son ventre s'était, comme le reste de son corps, développé pour devenir un sexe imposant, exigeant plusieurs fois par jour des carresses que l'ado ne refusait jamais de lui prodiguer. Ses premières éjaculations, il avait pris soin de les eponger ou de les lancer au fond des toilettes. Puis, ses besoins de jouir augmentant de jour en jour, il avait fini par les laisser maculer ses draps. Malgré celà il était resté puceau. ses seules connaisances du corps féminin, il les avait découvertes dans des revues achetées sous le manteau et ensuite grace aux films "X" téléchargés sur internet.

 

Quand elle avait découvert les taches sur les draps de son fils, la première réaction d'Isabelle avait été la colère mélangée de honte et, il faut bien l'avouer, d'un trouble profond à l'idée que son bébé devenait un homme.

Elle s'était confiée à ses parents qui lui avaient conseillé de laisser faire. Son père lui avait expliqué que c'était normal pour un garçon de cet age, que tous le faisaient, que lui-même ........

Si cette discution avait appaisé colère et honte, le trouble qu'elle ressentait à chaque lessive des draps de plus en plus raidis de sperme sèché n'avait cessé d'augmenter. Elle se surprenait de plus en plus souvent à tendre l'oreille, le soir, vers la chambre de son fils, guétant les bruits ou les gémissements révélateurs de l'activité de sa progéniture. Bien souvent, quand elle percevait le son caratéristique de l'agitation nocturne de Sébastien, les mains de cette maman veuve deuis trop longtemps, s'égaraient comme de leur propre volonté, vers son entre-cuisses. les samedi, au moment de la lessive, les draps de sébastien n'étaient plus les seuls à être maculés.

Bientot ce furent ses culottes qui disparurent pour réapparaitre sous le lit du garnement. Dans un premier temps des dessous propres, volés dans son armoire, mais bien vite remplacés par des culottes portees et mise dans le panier à linge sale qu'Isabelle retrouvait maculées de sperme dans la chambre de son fils.

 

Enfin, elle s'arma de courage et cécida d'avoir une discution avec le coupable.  Toutes les mamans en auraient fait de même, malheureusement pour celle-ci, elle avait très mal choisi le jour: Le 30 juin, date anniversaire de la fessée mémorable appliquée sur le petit cul de celui qui, depuis, était devenu un ado de grande taille entretenant avec soin sa musculature.

Elle attendit que Sébastien descende pour le petit-déjeuner. Dans la poche de son peignoir, la culotte de l'avant-veille retouvée une fois de plus sous le lit du garçon. 

 

-Il faut que nous ayons une conversation tout les deux

-A quel sujet maman?

-tu deviens un homme et je comprends que tu ais des envies, mais....;

-mais quoi, maman? Où veux tu en venir?

-A ceci! dit-elle en sortant de sa poche le bout de tissus sali. 

 

Sébastien reconnut immédiatement la culotte qui avait si bien epongé sa jouissance de la veille. Il sentit son sang refluer , ses jambes trembler comme si elles allaient cesser de le supporter. Il s'assit su la chaise la plus proche tête basse, honteux, ne sachant que répondre. En un instant le souvenir de l'odeur délectable qu'il avait trouvée dans ce bout de tissus si intime lui submergeat l'esprit. Il se revit le sexe tendu, gonflé; les couilles lui faisant mal à force de vouloir libérer le flot de sperme qu'il avait tenté de retenir au maximum, et enfin la jouissance. La culotte avait à peine pu absorber la totalité de ses jets tant l'odeur de femmelle qu'il avait inhalée était forte ce soir là.

 

-Je te préviens, mon garçon! Si tu n'arrêtes pas de faire tes saletés dans mes sous-vètements, je vais devoir m'occuper de ton peit cul malgré tes 16 ans!

-maman!!!!

-tu as compris?

 

Reprenant du poil de la bête, Sébastien se releva. Et, fixant sa maman droit dans les yeux, s'approcha d'elle au point de la dominer de toute sa taille. Isabelle recula jusqu'a ce que ses fesses viennent buter contre la table. son fils, son petit garçon chéri avait un air si menaçant qu'elle prit peur. Elle comprit enfin son erreur. Parler de fessée à cet ado devenu presqu'un homme le jour anniversaire de la terrible humiliation qu'elle lui avait infligée, avait été une maladresse considérable. Elle tournait la tête de gauche à droite, cherchant une possibilité d'échapper à son rejeton. Mais c'était trop tard, Elle était coincée. Elle aurait voulu ravaler ses derniers mots, mais celà aussi était impossible.

 

Ne se controlant plus, Sébastien prit sa mère par le col du peignoir et, reculant avec elle jusqu'a la chaise qu'il avait quittée l'instant précédant se laissa tomber renversant dans le même mouvement la pauvre femme en travers de ses cuisses.

 

-Tu parles facilement de fessées! Je pense qu'il serait temps que tu sache vraiment ce que c'est!

-Sébastien!!!!!! Lache moi immédiatement!

 

Plutot que de répondre, le garçon appliqua dérechef une solide claque sur la croupe tendue que ne protégeait que le fin tissus. La surprise plus que la douleur fit crier Isabelle. Elle se débatit tentant d'échapper à l'emprise du bras qui la retenait dans cette position humiliante. Rien n'y fit. Son fils était bien trop fort pour elle. Au contraire, les mouvements frénétiques de ses cuisses firent remonter le court vètement, dévoilant le bas du derrière.Les claques continuaient de tomber, de plus en plus fortes, imposant des battements de jambes de plus en plus amples. Au fur et à mesure ,les cris s'amplifiaient et le tisus remontait. Les fesses, petit à petit, se dénudaient. Bientot la main vengeresse entra en contact avec la peau que ne protégeait aucune culotte.

 

Lorsqu'il s'appercut que ses doigts touchaient le cul nu, Sébastien entreprit de maintenir sa maman en place par la seule force de son bras gauche laissant ainsi toute liberté à la main de remonter le peignoir. Aidé par les mouvements desordonnés qui avaient, en plus, fait se relacher le noeud de la ceinture, la main du garçon parvint à decouvrir le fondement d'Isabelle jusqu'au milieu du dos. De son coté, la main doite continuait inlassablement ses va et vient fesseurs. Le cul devenait de plus en plus rouge voire écarlate.

 

D'un seul coup, les cris de la punie cessèrent. Le silence uniquement troublé par le son des claques sur le gros fessier surprit l'ado. Il mit un certain temps pour comprendre la raison du changement. Etait-ce le cul nu, le fait que ce soir le cul de sa mère, la première fessée qu'il administrait ou plus probablement un mélange de tout celà; toujours est-il que son sexe avait pris une ampleur rarement atteinte même dans ses rèves les plus érotiques. En un mot, le garnement bandait comme un ane et sa mère l'avait senti sous son ventre dénudé. La punition cessa. La main corectrice vint se poser sous le gras des fesses, entre les cuisses, au ras de la toison.

 

Aucun de deux ne parlait ni ne bougeait. Leurs respirations haletantes, seules, provoquaient un mouvement rapide des poitrines.

 

Sébastien fut le premier à rerendre contact avec la réalité. L'odeur! L'odeur si souvent humée ces six derniers mois!

L'odeur des jolies culottes qu'il volait dans le bac à linge sale! L'odeur de la chatte d'une femme avait envahi l'athmosphère de la pièce.

 

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives
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Mercredi 13 août 3 13 /08 /Août 06:40

Quand je me réveillai, il faisait jour. Je n'avais pas entendu papa rentrer, ni se coucher et encore moins se lever. Pourtant il avait dormi prè de moi, le drap froissé et encore tiède à sa place en témoignait. Je descendis sans prendre la peine de m'habiller. Il était dans la cuisine, aussi nu que moi, buvant son café. 

 

-Bonjour p.......

 

Trônant sur la table, le gode et le martinet me narguaient. Je me sentis rougir jusqu'à la pointe des cheveux

 

-Bonjour Claire. Alors tu n'as pas pu t'empecher de fouiller dans mes affaires?

-je....je voulais faire de la plce pour mettre les miennes dans notre chambre

-même ta maman ne

-ce n'est pas ma mère, elle nous a abandonnés c'est juste ton ex femme

-ne me coupe pas quand je te parles

-bien papa

-Tu es peut être une jeune-fille depuis 2 jours mis ca ne t'éviteras pas d'être punie

-Tu n vas pas me rejetter toi aussi????

-non, je vai te fesser comme la gamine que tu étais encore il y a peu

-me...me....me fesser??????????????

-oui bien sur, ton derriere ne sert pas uniquement à 't'asseoir 

 

Avant que je ne puisse réagir, il m'agrippa le poignet et me bascula en travers de ses cuisses. Sans atendre il commença à me claquer les fesses. Je criai, je hurlai, je me débattis, battant l'air de mes pieds mais rien n'y fit. Les claques continuaient à pleuvoir sur mon derrière. 

Après une dizaine de minutes de correction, je m'appercu que mon cul n'était pas le seul à brûler. Sous mon ventre, le sexe de papa commençait à raidir et entre mes cuisses, une douce chaleur que je connaissais bien se répendait. Papa s'en était rendu compte aussi et il m'en fit la remarque.

 

-La fessée te fait de l'effet ailleur que sur ton petit cul me semble t'il

-arrete s'il te plait je te promets de ne plus jamais bouger à tes affaires

-Ce n'est pas tant le fait que tu ai découvert nos jouets à ta maman, enfin mon ex-femme, et moi; c'est le fait que tu m'ais désobéi que je puni

-Je comprends papa

- le gode et le martinet sont les choses que tu ais touchées?

-o..oui papa

-Dans ce cas j'arrete la fessee mais pas la punition. Mets toi à genoux en face de moi!

 

Je m'empressai d'obéir et de prendre la position exigée. J'avais le nez  à hauteur de sa bite dressée. Papa passa la main derrière a nuque et me poussa la tête vers la colonne de chair au bout de laquelle une perle suintait déjà. Sans attendre l'ordre, j'ouvris grand la bouche et commençai à lècher le gland puis toute la longueur du sexe, m 'attardant chaque fois sur l'orifice. Papa gémit de plaisir et en quelques minutes je reçus sur la langue la preuve liquide que j'étais douée pour les fellations.

 

Nous prîmes notre petit-déjeuner nus tout les deux, puis papa me demanda si j'avais envie de regarder un film x

Je fis l'innocente qui ne comprenait pas de quel genre de film il s'agissait. papa m'invita a m'installer dans le salon et il monta chercher les cassettes que je connaissais déjà.  Quand le premier film commença, je compris de suite l'erreur supplémentaire que j'avais comise la veille. Au lieu d'un simple film x , c'est le cul nu de papa qui apparu sur l'écran et le bras de maman , armé du martinet qui donnait aux fesses paternelles une belle couleur rouge striée de cramoisi.

Là, j'avais mal remis les film dans leur boitier respectif. Je n'osais pas bouger, sentant encore la brulure de mes fesses.

 

-oh! les cassettes ont été mal rangées, ce n'est pas ce film là que je voulais regarder avec toi. ta..mon ex-femme a du les intervertir.

-Je ne savais pas qu'elle te fouettait

-je lui avait demandé de le faire

- dis papa!

-quoi ma chérié?

-C'est moi maintenant ta petite femme

-oui pourquoi?

-C'est moi alors qui vai te donner le martinet sur ton cul tout nu!

-Tu aurais envie de le faire?

-Si toi aussi tu en as envie oui bien sur

-nous en reparlerons plus tard, je vais changer le film

-non laisse, j'aime bien tu as un si beau derrière et puis le martinet te fait durcir le zizi c'est exitant! Dis moi papa, le zizi en plastique c'était pourquoi?

-heu...

-dis moi je veux savoir.

-Et bien, tu as du plaisir quand je te chatouile le petit trou, tu as même joui quand j'y ai mis un doigt

-oui

- moi aussi j'aime ça et comme mon ex femme n'avait pas de zizi et bien....

-Elle t'enculait avec celui en plastique c'est ça?

-oui.

-Ca aussi je te le ferai si tu veux

 

 

 

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives - Communauté : inceste
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Mercredi 4 septembre 3 04 /09 /Sep 22:26

6-19-2013_003.JPGLorsque,  juste avant de partir à son bureau, le mari de Lucie, lui a annoncé qu'il voulait divorcer; celle-ci commenca par pleurer toutes les larmes de son corps. Pourquoi lui faisait il celà? Elle était une fille obeissante, ses deux grossesses n'avaient pas abimé son corps, elle était soumise et volontaire pour tout les fantasme de son mari. Elle ne comprenait vraiment pas ce qu'il lui reprochait. Dans l'entrée, tronait un grand miroir triptique, elle fit glisser sa nuisette de ses epaule et, entierement nue se plaça devant pour s'inspecter d'un regard sans concession . Ce qu'elle vit la rassura sur son physique mais augmenta son questionnement. Ni trop grande ni trop petite, ni trop grosse ni trop maigre, des seins toujours fermes, un ventre plat, des fesses rondes sans cellullite, un minou soigneusement épilé comme il l'avait toujours exigé. 

 

Sa nudité commenca à la troubler. Ses mains, comme mues d'une volonté propre, se mirent à carresser tout son corps, s'attardant sur les tétons qui s'érigèrent directement, puis sur son cul, enfin sur sa chatte qui laissait déjà sourdre une humidité odorante. Une fois son clitoris débusqué, elle avait insisté sur ce centre du plaisir jusqu'à obtenir un orgasme aussi rapide qu'inattendu dans sa situation.

 

Elle avait du gémir. Elle sursauta en entendant son fils ainé l'appelé depuis la porte de la chambre qu'il partageait avec son frere.

 

-Maman! ça va? Tu es malade?

 

Reprenant le controle d'elle même, elle rassura son garçon et s'enfuit se cacher dans sa propre chambre. Il était tôt, mais elle décida néanmoins d'appeler ses parents immédiatement. Sa mère fut aussi surprise qu'elle en apprenant la nouvelle. 5 minutes plus tard ce fut son papa qui prit la communication

 

-Que comptes tu faire?

-je n'en sais rien. C'est si brutal, je n'ai pas encore pensé à ce nous allions devenir les garçons et moi

-Tu sais que tu peux toujours venir vivre ici, il ya assez de place mais.....

-Quoi?

-Tu connais les règles de la maison, n'est ce pas?

-Biens sur, que veux tu dire?

-34 ans ou 18 ans ou 6 ans ne changent rien, J'entends etre obéi en toutes circonstances, sinon......

-papa! je ne suis plus la gamine que tu fessais quand elle n'était pas sage. je suis adulte maintenant

-Cela ne change rien, ta maman ou plus précisément son cul pourrait te le confirmer.

 

Lucie n'était pas convaincue que son père fut sérieux ou pas en parlant de fessées, mais elle n'avait pas le choix. La maison qu'elle habitait appartenait à son mari et elle n'avait pas les moyens financiers d'en louer et encore moins d'en acheter une. Trois semaines plus tard, elle arrivait avec armes, bagages et fils chez ses parents.

 

Il ne fallut pas plus d'une semaine pour qu'elle soit fixée. En revenant avec sa maman de l'école où elles avaient conduit les garçons, les deux femmes s'arretèrent dans un magazin de vètements pour se choisir quelques robes d'été. D'un essayage à un autre 2 heures furent vite passées et c'est avec un retard conséquent qu'elles rentrèrent  à la maison.

 

-Où étiez vous passées?

Maurice, le papa de Lucie, attendait les femmes sur le seuil de la maison. A son regard noir, les fautives comprirent immédiatement qu'aucune excuse n'apaiserait la colère du chef de famille. Têtes basses elles se préparèrent  au sermon qui ne manquerait pas de saluer leur retard.

 

-Il est inutile que je me fatigue à vous rappeler ce que signifie ponctualité! Vos fesses s'en chargeront pour un bon moment!

 

- Maurice!

- Papa!

 

Le double cri d'indignation ne perturba pas Maurice un seul instant .  D'un geste, appuyé d'un regard, il savait très bien se faire comprendre de son épouse. Andrée, la maman de Lucie, fit signe à sa fille de se taire et de la suivre dans le salon. Elles restèrent debout  attendant la sentence qui n'allait surement pas tarder. Le père pris son temps pour s'installer sur une chaise au milieu de la pièce. Une fois assis, d'un claquement de doigt, il intima l'ordre à sa femme de s'aprocher.

 

- Deux heures de retard, soit 120 minutes à vous partager équitablement!

 

Sans oser protester, Andrée se pencha  jusqu'à se retrouver couchée en travers des genoux de son mari. D'une main qui visiblement était habituée, Maurice releva  la jupe jusqu'au milieu du dos, dévoilant à sa fille une minuscule culotte de dentelle blanche. Sans fioriture inutile, les doigts glissé sous l'élastique du sous vetement, firent glisser celui-ci jusqu'au creux des genoux, dévoilant un tout petit cul rond. Lucie avait déjà vu sa maman nue et dans cette position humiliante, mais elle ne put s'empecher de deglutir en retrouvant des souvenirs anciens. Elle avait 12 ans la première fois qu'elle avait surpris son papa occupé à fesser sa mère. Toute sa jeunesse avait été marquée par les fessées répétitives aussi bien appliquées à son propre postérieur qu'à celui de sa maman.

 

Sans transition, dès que le cul avait été nu, une pluie de claques fit trembler et rougir rapidement les fesses offertes. La jeune femme était hypnotisée par le cul maternel qui dansait comme mu de sa propre volonté. Andrée ne criait pas. A peine un gémissement accompagnait il chaque coup, Mais, dès la dixième claque, la grand-mère commenca à battre des jambes, inconsiente sans doute du spectacle qu'elle donnait. Chaque écartement  des cuisses, dévoilait par en dessous la fente de sa chatte juste soulignée d'une courte toison dans laquelle les poils gris prenaient le pas sur les poils chatain. Les yeux de Lucie passèrent du cul qui rougissait à la fente rouge qui s'ouvrait et se refermait en cadence. Vers la moitié de la correction infligée à sa mere, Lucie pensa avoir une allucination. Elle écartilla les yeux ne voulant pas croire ce qu'elle voyait. La fente sexuelle de sa mère commencait à briller. Il  n'y avait pas de doute possible, la chatte d'Andrée s'humectait de plus en plus, un mince filet de mouille s'échappait d'entre les poils pour se perdre sur le pantalon du fesseur.

Le cul de sa femme etant tres maigre, les Mains de maurice n'avaient pas tellement de place pour diversifier l'endroit de contact. La peau passa rapidement du blanc au rose, puis du rose au rouge vif pour, par endroit, devenir quasi noir.

La dernière claque fut soulignée d'un cri de la punie qui n'avait rien d'un cri de douleur. Lucie fut consternée de devoir reconnaitre d'une part que sa mere avait joui sous la fessée et d'autre part que sa propre chatte avait elle aussi commencer à s'humidifier.

 

- retire ta jupe et va au coin!

 

Andrée se redressa peniblement et laissa tomber son vetement sur le sol avant de se  diriger vers le coté de l'âtre et de se placer face au mur, juste devant la fenetre grande ouverte qui éclairait tout le coté opposé de la piece.

 

- A ton tour, ma fille! retire ta jupe et viens prendre place.

 

A pas trainant,  Lucie s'approcha de son pere. elle était encore trop remuée d'avoir vu sa maman jouir sous la fessée pour penser à résister. Elle dégraffa sa jupe qui alla rejoindre celle de la première punie dévoilant ainsi une culotte qui n'avait rien à envier à celle d'Andrée sur le point de la finesse et de l'erotisme. Au moment de se pencher sur les cuisses qui l'attendaient elle ne put que constater la tache sur le pantalon et la bosse qui deformait celui-ci.

Par mienstring - Publié dans : fessées punitives - Communauté : fessées publiques
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